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Bulletin Officiel
de l'Education Nationale
et du ministère de la Recherche 

N°39 du 02 novembre

2000

www.education.gouv.fr/bo/2000/39/ensel.htm - nous écrire



ENSEIGNEMENTS ÉLÉMENTAIRE ET SECONDAIRE



Modification du calendrier de l'année 2000-2001
VACANCES SCOLAIRES
NOR : MENE0002670A
RLR : 507-0
ARRETÉ DU 18-10-2000
JO DU 21-10-2000
MEN
DESCO B6
Vu art L. 521-1 du code de l'éducation ; D. n° 90-236 du 14-3-1990 ; D. n° 90-788 du 6-9-1990, mod. ; D. n° 91-383 du 22-4-1991, not. art 10, 10-1 et 10-2 ; A. du 30-7-1998 ; avis du CSE du 21-9-2000
Article 1 - L'annexe II à l'arrêté du 30 juillet 1998 susvisé, en tant qu'elle fixe les dates des vacances de Noël pour l'année scolaire 2000-2001, est abrogée
et
remplacée par les dispositions annexées au présent arrêté.
Article 2 ­ Le directeur de l'enseignement scolaire et les recteurs d'académie sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.


Fait à Paris, le 18 octobre 2000


Le ministre de l'éducation nationale

Jack LANG


Annexe II
ANNÉE SCOLAIRE 2000-2001

ZONE A
ZONE B
ZONE C
Noël
Samedi 23 décembre 2000
Lundi 8 janvier 2001



Épreuves anticipées des enseignements scientifiques des séries littéraire et économique et sociale, et de l'enseignement de mathématiques-informatique de la série littéraire au baccalauréat général
BACCALAURÉAT
NOR : MENE0002708N
RLR : 544-0a
NOTE DE SERVICE N°2000-178
DU 25-10-2000
MEN
DESCO A3
Réf. : A. du 21-8-2000 mod. A. du 15-9-1993 mod.
Texte adressé aux rectrices et aux recteurs d'académie ; au directeur du service interacadémique des examens et concours d'Ile de France ; aux inspectrices et aux inspecteurs pédagogiques régionaux ; aux chefs d'établissement ; aux professeures et professeurs

Définition de l'épreuve anticipée d'enseignement scientifique pour les candidats de la série littéraire - année scolaire 2000-2001
Conformément à la nouvelle structure des enseignements délivrés dans les lycées, le nouvel enseignement scientifique obligatoire de la série littéraire n'est organisé que pour le seul niveau de la classe de première. Les instructions suivantes sont donc applicables uniquement pour les candidats qui passent, en fin de classe de première, en 2001, l'épreuve écrite anticipée du baccalauréat au titre de la session 2002 de l'examen et qui pourront bénéficier d'un "rattrapage" par l'épreuve orale de contrôle qui sera organisée en 2002.
Par contre, les candidats qui présentent, en 2001, les épreuves terminales au titre de la session 2001 de l'examen, sont évalués pour l'enseignement scientifique conformément à la définition d'épreuve publiée par note de service du 7 novembre 1995.
Épreuve écrite anticipée
Durée : 1 h 30 ; coefficient : 2.
L'épreuve permet d'apprécier la culture scientifique et la compréhension des enjeux de société dans lesquels la science est impliquée.
Le sujet de l'épreuve comporte deux parties :
- la première partie porte sur l'un des thèmes obligatoires du programme commun aux sciences de la vie et de la Terre et à la physiquechimie ; elle est donc constituée de questions relatives aux sciences de la vie et de la Terre et de questions relatives à la physique-chimie.
- la seconde partie porte soit sur l'un des thèmes spécifiques aux sciences de la vie et de la Terre inscrits dans le programme, soit sur le thème "enjeux planétaires énergétiques" de physique-chimie du programme. Si la seconde partie porte sur le thème "enjeux planétaires et énergétiques", le sujet comporte des questions auxquelles tous les candidats doivent répondre. Si la seconde partie porte sur les sciences de la vie et de la Terre, le sujet propose des questions relatives aux trois thèmes au choix du programme mais les candidats ne traitent que les questions relatives au thème qu'ils ont étudié durant l'année scolaire.
Les deux parties de l'épreuve s'appuient sur des documents relatifs au thème retenu par la commission de choix des sujets : texte scientifique qui traite de questions d'actualité, faits d'observation et d'expérience, etc.
Chaque discipline contribue pour moitié à la note globale. La première partie de l'épreuve représente la majorité des points.
Épreuve orale de contrôle (2002)
Durée : 15 minutes ; temps de préparation : 15 minutes ; coefficient : 2.
Le sujet permet d'évaluer les connaissances de base et les compétences méthodologiques acquises par les candidats, notamment leur réflexion critique sur les applications et les implications des sciences expérimentales (sciences de la vie et de la Terre et physique-chimie) dans la société.
Le candidat choisit un des deux sujets proposés par les examinateurs. L'un porte sur un des deux thèmes obligatoires du programme, l'autre porte sur l'un des thèmes au choix en physique-chimie ou en sciences de la vie et de la Terre, étudié en classe et qui figure dans le livret scolaire du candidat.
Chaque sujet comporte une question qui s'appuie sur l'exploitation de documents scientifiques de nature variée (textes d'actualité, images, enregistrements...) ou sur des activités pratiques.
L'épreuve orale de contrôle est une interrogation dialoguée de 15 minutes après un travail de préparation de même durée.
Compétences exigibles en sciences physiques et chimiques pour l'épreuve anticipée d'enseignement scientifique de la série littéraire - année 2000-2001
Le nouveau programme de l'enseignement scientifique en classe de première de la série littéraire pour l'année 2000-2001 est défini dans le B.O. hors-série n° 7 du 31 août 2000.
La liberté pédagogique de l'enseignant s'inscrit dans le cadre des notions, contenus et activités envisageables, décrits dans ce programme, en tenant compte des limites explicitement mentionnées.
Pour ce qui est de l'évaluation dans l'épreuve écrite anticipée, il importe de préciser que les compétences recherchées correspondent aux objectifs qui figurent dans le livret scolaire du candidat :
1 - mobiliser les connaissances du programme ;
2 - maîtriser des éléments de la démarche scientifique ;
3 - appréhender et échanger de l'information scientifique, communiquer.
Commentaires
1 - Par mobilisation des connaissances, il faut entendre, en référence à l'esprit du programme, ce qui privilégie le repérage, la compréhension et l'utilisation des vocables et concepts plutôt que leur explicitation précise. La compréhension peut être approfondie si l'enseignement réussit à donner l'envie aux élèves d'aller plus loin grâce à de bons ouvrages de vulgarisation. Ainsi, à propos du foyer d'une lentille, il ne s'agira pas tant d'en demander la définition formelle même s'il est éminemment souhaitable qu'elle soit connue, que de savoir le repérer à partir du trajet d'un faisceau lumineux que l'élève aura à expliquer et commenter.
Il s'agira donc, d'une façon générale, de pouvoir restituer des connaissances et savoir-faire scientifiques, de reconnaître et réinvestir les concepts, méthodes, outils, comportements à mettre en œuvre dans une situation analogue à une situation connue ce qui, pour le présent programme, concerne les points explicités dans le tableau ci-après.
2 - Les éléments de la démarche scientifique proposables à des élèves de première de la série littéraire mobilisent des compétences de nature transversale telles que :
- effectuer (mise en œuvre d'un protocole, utilisation d'instruments de mesure et d'outils informatiques, effectuation d'un bilan des informations, suivi d'une procédure, gestion du temps, respect de la sécurité des personnes et des biens...)
- identifier un problème (repérage des formulations d'un problème scientifique, dégagement des relations possibles entre des faits, des situations, des comportements...) ;
- adopter une démarche de résolution (formuler et expliciter une hypothèse, faire un choix d'action, concevoir une expérience en sachant séparer les variables tout en les mettant en relation entre elles et/ou avec des connaissances, synthétiser...) ;
- proposer et tester une solution (construire une démarche expérimentale synthétique et globale, construire un modèle explicatif simple, comparer les résultats avec l'hypothèse, synthétiser et prolonger...) ;
- organiser son poste de travail (respect des consignes, construction d'un montage à partir d'un schéma...).
3 - En ce qui concerne l'information scientifique et la communication, il s'agit de compétences qui s'étendent de la source à son usage dans le cadre d'une éducation à la citoyenneté, soit :
- trouver l'information (savoir utiliser les centres de documentation, les bibliothèques, les media scientifiques, l'Internet ...) ;
- la traiter (recenser, sélectionner, classer, hiérarchiser, combiner, synthétiser...) ;
- la produire, en utilisant des outils de communication (tableau, graphique, traitement de texte...) ;
- décrire par oral ou écrit, un phénomène (légender, rédiger, respecter la chronologie et la syntaxe, utiliser un vocabulaire précis, manier les symboles conventionnels, gérer son support de notes...) ;
- développer son sens des responsabilités à partir des acquis du programme (environnement, hygiène, sécurité...) ;
- former son jugement par une appréhension globale de la réalité (souci de l'interdisciplinarité) et savoir l'exprimer (aptitude au dialogue et à l'échange).

Connaissances et savoir­faire exigibles pour la physique-chimie

Représentation visuelle du monde Alimentation et environnement Enjeux planétaires et énergétiques
- Reconnaître une lentille convergente ou divergente par une méthode au choix : par la déviation produite par un faisceau de lumière parallèle, par effet de grossissement ou de réduction des objets, par le toucher.
- Savoir que plus une lentille est bombée, plus elle est convergente.
- Connaître les schémas de représentation d'une lentille mince convergente ou divergente.
- Déterminer ou reconnaître sur un schéma la distance focale d'une lentille mince convergente. Reconnaître ou positionner le foyer sur un schéma.
- Reconnaître la nature CV ou DV d'une lentille mince par la donnée de la vergence.
- Utiliser la relation de définition de la vergence.
- Savoir que tout rayon optique d'un point-objet qui tombe sur la lentille, émerge de celle-ci en passant par le point-image correspondant.
- Lire sur un schéma la position, le sens et la taille d'une image d'un point lumineux à travers une lentille.
- Savoir que l'œil est un système optique CV, à distance focale variable.
- Savoir qu'un œil myope est trop CV, qu'un œil hypermétrope ne l'est pas assez et qu'un œil presbyte ne peut pas accommoder.
- Savoir que ces défauts peuvent être corrigés par l'utilisation de lentilles ou par modification de la courbure de la cornée.
- Savoir que la lumière blanche est constituée d'une infinité de radiations monochromatiques. Connaître le spectre en longueur d'onde de la lumière blanche.
- Savoir que la couleur d'un objet dépend de la lumière qu'il reçoit.
- Savoir que la couleur d'un objet éclairé est complémentaire de celle qu'il absorbe.
- Utiliser la notion de persistance rétinienne pour interpréter un mouvement apparent.
- Distinguer les phénomènes de réflexion, de réfraction.
- Connaître les ions responsables de la dureté de l'eau : Mg 2+ et Ca
- Connaître quelques conséquences de la dureté de l'eau.
- Dégager les notions d'acidité et de basicité de la mesure du pH.
- Utiliser des résultats expérimentaux pour comparer différentes eaux.
- Reconnaître les différents changements d'état intervenant dans le cycle de l'eau.
- Utiliser les termes décantation, filtration, distillation.
- Identifier des techniques de séparation utilisées dans le cas d'exemples proposés.
- Repérer, dans un document, différents agents responsables de la pollution de l'eau.
- Dégager, dans un document, les sources, le rôle et les apports nécessaires en oligoéléments.
- Connaître l'existence des sucres : glucose, fructose, saccharose.
- Identifier l'amidon et le glucose à partir de résultats d'expériences.
- Reconnaître une réaction d'hydrolyse ou de polycondensation à partir d'un exemple concret.
- Repérer, dans un document, un antioxydant ; dégager des précautions élémentaires pour la bonne conservation des aliments.
- Dégager, dans un document, des enjeux planétaires énergétiques et les choix de société induits.
- Identifier, parmi les ressources énergétiques, les sources d'énergie fossile.
- Connaître les principaux produits de combustion du gaz naturel, du bois...
- Identifier dans un document les effets des polluants atmosphériques, les solutions de remédiation.
- Connaître les principales sources énergétiques utilisées dans les centrales.
- Conduire une analyse macroscopique globale d'une chaîne énergétique : les différentes formes d'énergie, leurs transformations, ordres de grandeur.
- Utiliser la terminologie : nucléide, noyau, nucléon, proton, neutron, isotope, radioactivité, fission.
- Savoir que la stabilité du noyau dépend du nombre de nucléons.
- Utiliser des courbes de décroissance radioactive pour déterminer la période radioactive.
- Analyser un document de vulgarisation relatif aux dangers de la radioactivité, à la radioprotection, à la gestion des déchets, à la sécurité des centrales.


Définition de l'épreuve anticipée d'enseignement scientifique pour les candidats de la série économique et sociale - année scolaire 2000-2001
Conformément à la nouvelle structure des enseignements délivrés dans les lycées, le nouvel enseignement scientifique obligatoire de la série économique et sociale n'est organisé que pour le seul niveau de la classe de première. Les instructions suivantes sont donc applicables uniquement pour les candidats qui passent, en fin de classe de première, en 2001, l'épreuve écrite anticipée du baccalauréat au titre de la session 2002 de l'examen et qui pourront bénéficier d'un "rattrapage" par l'épreuve orale de contrôle qui sera organisée en 2002.
Par contre, les candidats qui présentent, en 2001, les épreuves terminales au titre de la session 2001 de l'examen, sont évalués pour l'enseignement scientifique conformément à la définition d'épreuve publiée par note de service du 7 novembre 1995.
Épreuve écrite anticipée
Durée : 1 h 30 ; coefficient : 2
L'épreuve permet d'apprécier la culture scientifique et la réflexion critique des candidats sur les problèmes soulevés dans la société par les applications et les implications des sciences de la vie.
Le sujet de l'épreuve comporte deux parties. La première partie porte sur l'un des trois thèmes obligatoires du programme. La seconde partie porte sur les thèmes au choix ; les candidats choisissent les questions relatives au thème qu'ils auront étudié pendant l'année.
Chaque partie de l'épreuve est constituée d'une série de deux ou trois questions courtes, d'importance égale, indépendantes et appelant une rédaction brève.
Ces questions s'appuient sur un texte scientifique d'actualité, sur des faits d'observation et d'expérience, sur des documents concernant la responsabilité individuelle et collective de l'homme face aux grands problèmes actuels de société en relation avec la santé ou l'environnement.
Chaque partie est évaluée sur 20 points répartis de façon à peu près égale entre les différentes questions.
Épreuve orale de contrôle (2002)
Durée : 15 minutes ; temps de préparation : 15 minutes ; coefficient : 2.
Le sujet permet d'évaluer les connaissances de base et les compétences méthodologiques acquises par les candidats, notamment leur réflexion critique sur les applications et les implications des sciences de la vie dans la société.
L'examinateur propose au choix du candidat, deux sujets se rapportant respectivement à un thème obligatoire du programme et à un thème au choix étudié au cours de l'année.
Chaque sujet comporte une question qui s'appuie sur l'exploitation de documents scientifiques de nature variée (textes d'actualité, images, enregistrements...) ou sur des observations pratiques.
L'épreuve orale de contrôle est une interrogation dialoguée de 15 minutes qui s'appuie sur un travail de préparation de même durée.
Définition de l'épreuve anticipée de mathématiques-informatique pour les candidats de la série littéraire - année scolaire 2000-2001
Conformément à la nouvelle structure des enseignements délivrés dans les lycées, le nouvel enseignement obligatoire de mathématiques-informatique de la série littéraire n'est organisé que pour le seul niveau de la classe de première.
Les instructions suivantes sont donc applicables uniquement pour les candidats qui passent en fin de classe de première, en 2001, les épreuves anticipées du baccalauréat au titre de la session 2002 de l'examen et qui pourront bénéficier d'un "rattrapage" par l'épreuve orale de contrôle qui sera organisée en 2002.
Épreuve écrite anticipée
Durée : 1 h 30 ; Coefficient : 2.
L'épreuve est constituée de deux exercices de valeurs voisines (8 à 12 points). Chaque exercice peut comporter plusieurs questions.
Tous les alinéas du programme, à l'exclusion de ceux de la partie 4 (activités d'ouverture), peuvent constituer le support de questions.
Les exercices pourront comporter des vérifications de connaissances, des calculs, des travaux utilisant des graphiques ou des tableaux, etc. Certaines questions pourront être à choix multiples (dans ce cas, les modalités d'évaluation seront précisées dans le sujet).
Pour des parties du sujet faisant appel à des expérimentations sur tableurs ou à des traitements de données statistiques, les énoncés seront adaptés aux modalités de l'épreuve. Certains éléments qui pourraient s'avérer nécessaires (copies d'écran, certains résultats de calculs, etc.) seront fournis sur papier avec le sujet.
Étant donné le contenu du programme sur lequel s'appuie cette évaluation, il n'y a pas de formulaire de mathématiques. En revanche, l'usage de la calculatrice est autorisé.
Épreuve orale de contrôle (2002)
Durée : 15 min ; temps de préparation : 15 min ; coefficient : 2.
L'épreuve orale de contrôle porte sur les mêmes contenus que l'épreuve écrite.
On s'en tiendra à des questions variées et modestes, dont les énoncés seront adaptés aux modalités orales de l'épreuve et s'appuieront, éventuellement, sur des documents proposés au candidat par l'examinateur.
Étant donné le contenu du programme sur lequel s'appuie cette évaluation, il n'y a pas de formulaire de mathématiques. En revanche, l'usage de la calculatrice est autorisé.


Pour le ministre de l'éducation nationale

et par délégation,

Le directeur de l'enseignement scolaire

Jean-Paul de GAUDEMAR



Baccalauréat professionnel - session de juin 2001
BACCALAURÉAT
NOR : MENE0002646V
RLR : 543-1b
AVIS DU 22-10-2000
JO DU 22-10-2000
MEN
DESCO A6


o Les registres d'inscription à la session de juin 2001 seront clos le lundi 13 novembre 2000 , pour toutes les spécialités de baccalauréat professionnel mentionnées dans l'annexe ci-jointe.
Les candidats s'inscrivent auprès de la division des examens et concours du rectorat de leur lieu de résidence.
Toute précision relative aux modalités d'inscription peut être demandée à ce service.



Annexe

- Aéronautique :

. option mécanicien, systèmes-cellule
. option mécanicien, systèmes-avionique
- Aménagement - finition
- Artisanat et métiers d'art :
. option arts de la pierre
. option communication graphique
. option ébéniste
. option horlogerie
. option photographie
. option tapissier d'ameublement
. option vêtement et accessoire de mode
- Bâtiment "étude de prix, organisation et gestion de travaux"
- Bâtiment : métal-aluminium-verre-matériaux de synthèse
- Bio-industries de transformation
- Bois-construction et aménagement du bâtiment
- Carrosserie :
. option construction
. option réparation
- Commerce
- Comptabilité
- Construction-bâtiment gros œuvre
- Cultures marines
- Énergétique :
. option A installation et mise en œuvre des systèmes énergétiques et climatiques
. option B gestion et maintenance des systèmes énergétiques et climatiques
- Équipements et installations électriques
- Étude et définition de produits industriels
- Exploitation des transports
- Hygiène et environnement
- Industries de procédés
- Industries graphiques (impression)
- Industries graphiques (préparation de la forme imprimante)
- Logistique
- Maintenance automobile :
. option voitures particulières
. option véhicules industriels
. option bateaux de plaisance
. option motocycles
- Maintenance de l'audiovisuel électronique
- Maintenance des systèmes mécaniques automatisés :
. option systèmes mécaniques automatisés
. option fabrication des pâtes, papiers, cartons
. option systèmes ferroviaires
- Maintenance des appareils et équipements ménagers et de collectivités
- Maintenance et exploitation des matériels agricoles, de travaux publics, de parcs et jardins
- Maintenance réseaux-bureautique-télématique
- Métiers de la sécurité
. option police nationale
- Métiers de l'alimentation
- Mise en oeuvre des matériaux :
. option matériaux céramiques
. option matériaux métalliques moulés
. option industries textiles
- Outillage de mise en forme des matériaux :
. option réalisation des outillages métalliques
. option réalisation des outillages non métalliques
- Pilotage de systèmes de production automatisée
- Plasturgie
- Productique bois
- Productique matériaux souples (textile, cuir, habillement)
- Productique mécanique :
. option usinage
. option décolletage
- Réalisation d'ouvrages chaudronnés et de structures métalliques
- Restauration
- Secrétariat
- Services (accueil, assistance, conseil)
- Traitements de surfaces
- Travaux publics
- Vente-représentation.



Mise en œuvre - session 2001
CONCOURS GÉNÉRAL DES MÉTIERS
NOR : MENE0002736N
RLR : 546-3
NOTE DE SERVICE N°2000-181
DU 25-10-2000
MEN
DESCO A6
Texte adressé aux rectrices et recteurs d'académie ; au directeur du SIEC d'Arcueil
o Le concours général des métiers a été organisé en 2000 pour dix-sept spécialités ou options de spécialités de baccalauréat professionnel. Il est reconduit à l'identique pour la session 2001.
La présente note de service a pour objet de vous apporter des précisions sur les modalités de mise en œuvre de la session de 2001 de ce concours général.
Je vous rappelle les dispositions suivantes :
Conditions de candidature
Les élèves ou apprentis que les chefs d'établissement ou directeurs de CFA souhaitent présenter au concours doivent en principe être âgés de vingt-cinq ans au plus.
Ils doivent être en classe terminale de baccalauréat professionnel :
- soit dans des établissements publics ou privés sous contrat relevant du ministère de l'éducation nationale,
- soit dans des centres de formation d'apprentis, que ces centres soient habilités à pratiquer ou non le contrôle en cours de formation à l'examen du baccalauréat professionnel,
- soit dans des lycées publics ou des établissements privés sous contrat relevant du ministère de l'agriculture.
Ces établissements doivent se trouver en France métropolitaine ou dans les départements et territoires d'outre-mer.
Les jeunes ne peuvent concourir que dans la spécialité de baccalauréat professionnel dont ils suivent la formation.
Procédure de sélection des candidats
Ce sont les chefs d'établissement et les directeurs de CFA qui proposent les candidats, après avis des enseignants.
Les enseignants et les chefs d'établissement ou directeurs de CFA doivent impérativement veiller à proposer la candidature de jeunes présentant les meilleures chances de succès, ce qui implique de restreindre la présentation à cinq élèves ou apprentis.
Le recteur doit vérifier l'équilibre des propositions entre candidats scolaires et apprentis au regard des effectifs en formation dans son académie.
Épreuves
Le concours général des métiers repose sur une épreuve en deux parties disjointes dans le temps, dont les modalités sont précisées en annexes I, II, III, IV et V de la présente note de service.
- La première partie se déroule dans chaque académie. Des regroupements interacadémiques pour les spécialités à petits flux peuvent cependant être effectués.
- À l'issue de la première partie, les candidats retenus par le jury subissent la deuxième partie de l'épreuve, dite "finale". Cette partie de l'épreuve est pratique et/ou orale, adaptée aux spécificités de chaque baccalauréat. Elle se déroule en un lieu unique au plan national.
Les épreuves du concours général des métiers se dérouleront :
- le mercredi 14 mars 2001 pour la première partie,
- dans le courant du mois de mai 2001 pour la deuxième partie. La date et le lieu de la deuxième partie de l'épreuve de chaque spécialité concernée seront précisés dans une note de service ultérieure, qui sera également publiée au B.O.
Calendrier des inscriptions
Les chefs d'établissement et les directeurs de CFA doivent faire parvenir au recteur les dossiers de candidature avant le mercredi 10 janvier 2001,
date de clôture des inscriptions (chaque dossier de candidature devra être rédigé en lettres majuscules).



Pour le ministre de l'éducation nationale

et par délégation,

Le directeur de l'enseignement scolaire

Jean-Paul de GAUDEMAR



Annexe I
BACCALAURÉATS PROFESSIONNELS DU SECTEUR INDUSTRIEL
L'épreuve comporte deux parties disjointes dans le temps.
Première partie (durée : 6 heures maximum - écrite)
Elle conduit à la recherche de solutions compatibles avec une réalisation imposée et aboutit à l'élaboration de documents techniques.
Seconde partie (durée : 30 heures maximum - pratique)
Elle s'appuie principalement sur une réalisation qui vise à apprécier les compétences des candidats pour :
- le décodage et l'analyse des données opératoires,
- la préparation des éléments nécessaires à la mise en œuvre d'une production ou d'une réalisation,
- la mise en œuvre des moyens permettant la fabrication ou la réalisation attendue,
- le contrôle de conformité des produits fabriqués ou des réalisations.
Annexe II
BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL RESTAURATION
L'épreuve comporte deux parties disjointes dans le temps.
Première partie (durée : 3 heures - écrite et pratique)
Cette partie de l'épreuve doit permettre au jury d'apprécier :
- d'une part, les connaissances technologiques du candidat dans le domaine de la restauration,
- d'autre part, sa maîtrise des techniques professionnelles de base dans le cadre de l'approfondissement choisi.
Seconde partie (durée : 4 à 5 heures - pratique)
Cette seconde partie doit permettre au jury d'apprécier les compétences du candidat dans le domaine de la restauration ainsi que sa maîtrise de la pratique professionnelle et des connaissances technologiques associées, dans le cadre de l'approfondissement choisi.
Cette partie d'épreuve comporte une phase de réalisation et une phase d'entretien.
En ce qui concerne la phase de réalisation
Pour les candidats ayant opté pour l'approfondissement "organisation et production culinaire", la phase de réalisation consiste :
- à réaliser une production culinaire pour 8 personnes, à partir d'une fiche technique ou d'un panier remis au candidat. La présentation s'effectue au plat et/ou à l'assiette,
- à concevoir et/ou à réaliser un dessert pour 4 personnes, dont les éléments principaux peuvent être fournis au candidat, ceci afin de privilégier le dressage, la finition et le décor. La présentation s'effectue au plat et/ou à l'assiette. Le candidat travaille seul.
Pour les candidats ayant opté pour l'approfondissement "service et commercialisation", il s'agit de :
- préparer et exécuter un service pour une table de 4 couverts et/ou une table de 2 couverts avec un ou deux menus et boissons imposés,
- assurer la prise de commande et le service de l'apéritif, ainsi que la décoration florale.
Le candidat travaille seul.
En ce qui concerne la phase d'entretien
La phase d'entretien concerne l'organisation et la réalisation de la prestation ainsi que son incidence dans le contexte professionnel de la restauration.
Cette phase s'applique à l'ensemble des candidats indépendamment de l'approfondissement choisi.

Annexe III
BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL COMMERCE
L'épreuve comporte deux parties disjointes dans le temps :
Première partie (durée : 3 heures - écrite)
La première partie d'épreuve prend appui sur un dossier documentaire.
Elle vise à évaluer la capacité du candidat à mobiliser des informations afin de les exploiter dans une perspective professionnelle.
Seconde partie (préparation : 4 heures, prestation orale : 30 minutes - pratique)
La seconde partie d'épreuve prend appui sur une situation d'entreprise.
Elle vise à apprécier l'aptitude du candidat :
- à analyser cette situation,
- à mettre en œuvre les techniques propres à la spécialité,
- à résoudre des problèmes,
- à communiquer dans une perspective professionnelle.

Annexe IV
BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EXPLOITATION DES TRANSPORTS
L'épreuve comporte deux parties disjointes dans le temps :
Première partie (durée : 3 heures - écrite)
La première partie d'épreuve prend appui sur un dossier documentaire remis au candidat.
Elle doit permettre au jury d'évaluer :
- les compétences acquises par le candidat dans le domaine de l'exploitation et de la gestion des transports,
- la capacité du candidat à mobiliser ses connaissances dans une perspective professionnelle.
Seconde partie (préparation : 4 heures, prestation orale : 30 minutes - pratique)
La seconde partie d'épreuve prend appui sur une situation d'entreprise de transport.
Elle vise à apprécier l'aptitude du candidat :
- à analyser cette situation,
- à mettre en œuvre les techniques appropriées, dans le cadre de solutions pertinentes,
- à communiquer dans une perspective professionnelle.

Annexe V
BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL VENTE-REPRÉSENTATION
L'épreuve comporte deux parties disjointes dans le temps :
Première partie (durée : 3 heures - écrite)
Elle consiste à rechercher des solutions pour la mise en place, la gestion et/ou le fonctionnement d'une force de vente. Elle repose sur l'exploitation d'un dossier documentaire emprunté à la réalité professionnelle.
Elle vise à évaluer la capacité du candidat à mobiliser ses connaissances, à utiliser judicieusement les informations fournies, à élaborer des propositions pertinentes.
Seconde partie (préparation : 4 heures, prestation orale : 30 minutes)
Elle repose sur une situation de vente.
Elle vise à apprécier les compétences du candidat pour :
- analyser la situation,
- résoudre des problèmes commerciaux,
- communiquer dans une perspective professionnelle,
- mettre en œuvre ses qualités de négociateur-vendeur,
- apprécier sa prestation afin d'en tirer parti dans une perspective professionnelle.



Liste des établissements scolaires français à l'étranger
ENSEIGNEMENT FRANÇAIS À L'ÉTRANGER
NOR : MENE0002517A
RLR : 501-7
ARRETÉ DU 3-10-2000
JO DU 24-10-2000
MEN - DESCO B7
MAE
Vu L. n° 89-486 du 10-7-1989 mod., not. art. 31 ; D. n° 93-1084 du 9 -9-1993
Article 1 - Les établissements scolaires français à l'étranger dont la liste figure en annexe sont reconnus comme satisfaisant aux conditions fixées par le décret n° 93-1084 du 9 septembre 1993 susvisé, notamment son article 2.
Article 2 - La scolarité accomplie par les élèves dans ces établissements est assimilée à celle effectuée en France dans un établissement d'enseignement public, en vue de la poursuite des études et de la délivrance des diplômes.
Article 3 - Les décisions prises par ces établissements relativement à la scolarité des élèves, notamment en matière d'orientation, s'appliquent en France dans les établissements d'enseignement public et dans les établissements d'enseignement privés sous contrat. Elles s'appliquent également dans les autres établissements scolaires français à l'étranger.
Article 4 - Le directeur de l'enseignement scolaire au ministère de l'éducation nationale, le directeur général de la coopération internationale et du développement au ministère des affaires étrangères sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.


Fait à Paris, le 3 octobre 2000


Pour le ministre de l'éducation nationale

et par délégation,

Le directeur de l'enseignement scolaire

Jean-Paul de GAUDEMAR

Pour le ministre des affaires étrangères

et par délégation,

Le directeur général de la coopération
internationale et du développement
Bruno DELAYE



Annexe

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Semaine nationale de la presse dans l'école
ACTIVITÉS ÉDUCATIVES
NOR : MEND0002711C
RLR : 554-9
CIRCULAIRE N°2000-183
DU 25-10-2000
MEN
DA MICOM


Présentation

La douzième Semaine nationale de la Presse dans l'école aura lieu, en france métropolitaine, du lundi 12 au samedi 17 mars 2001.
Dans les DOM-TOM, les dates et les modalités de la semaine sont arrêtées par chaque recteur.

La Semaine de la Presse dans l'école s'adresse aux enseignants volontaires et à tous les élèves, de l'école maternelle à l'université. Elle permet aux élèves d'approfondir leur connaissance critique et raisonnée des messages médiatiques tout en leur donnant le goût de l'information. Temps fort d'une véritable éducation aux médias d'information, la Semaine de la presse dans l'école s'inscrit tout naturellement dans la formation du citoyen. La part croissante de l'information dans la vie quotidienne rend, en effet, indispensable l'apprentissage d'une lecture critique et raisonnée des médias, c'est un enjeu de démocratie.
Pour le système éducatif, il s'agit d'accueillir les médias d'information dans toute leur variété et leur pluralisme : d'abord la presse écrite, mais aussi la radio, la télévision et Internet, enfin la parole des jeunes quel qu'en soit le support.
Comme chaque année, la presse écrite offre des exemplaires de journaux et magazines aux établissements qui en font la demande. Avec ces exemplaires, ainsi que les divers titres qu'ils se procurent par leurs propres moyens, en particulier toute la presse étrangère, les enseignants peuvent entreprendre de multiples activités pédagogiques liées à l'information : ériger des kiosques présentant aussi bien les journaux et magazines reçus que la presse faite par les jeunes, concevoir des ateliers d'analyse de la presse écrite, audiovisuelle ou électronique, réaliser des revues de presse, organiser des débats et conférences, participer à des visites d'entreprises, fabriquer des journaux scolaires, monter des expositions, lancer des concours, mettre en ligne des journaux électroniques...
Thématique
Pour favoriser la maîtrise des langages - lecture, écriture mais aussi expression orale et éducation à l'image - il est proposé aux enseignants, cette année encore, de travailler sur "l'analyse et la production de messages d'information écrits, parlés, télévisés ou électroniques".
Un livret "Presse et justice"
À l'occasion de la 12ème édition de la Semaine de la presse dans l'école sera réalisé, en complément de l'habituel dossier pédagogique, un livret spécifique sur le thème "Presse et justice". Il s'agit de proposer une douzaine de fiches pour donner aux enseignants les moyens concrets de sensibiliser les élèves au traitement de la justice dans les médias.
Parmi les thèmes envisagés : le juste et l'injuste, la liberté de la presse, la justice qui protège et la justice qui punit, la liberté de l'information, le droit à l'image, la présomption d'innocence, les médias et les mineurs, médias et institution scolaire, médias et prison, le temps des médias et le temps de la justice, les thèmes de la justice qui apparaissent dans les médias...
Chaque fiche présentera l'aspect législatif ou réglementaire du thème (accessible sans formation juridique) et le regard d'un professionnel des médias. Des questionnements pédagogiques et des pistes de travail accompagneront l'ensemble.
Ce livret est conçu en étroite collaboration avec le ministère de la justice.
Une activité de partenariat
Initiative du ministère de l'éducation nationale, la Semaine de la presse dans l'école est organisée en étroit partenariat avec l'ensemble des professionnels de l'information, le ministère de la culture et de la communication et son service juridique et technique de l'information (SJTI).
La Semaine de la presse dans l'école est placée sous la responsabilité des recteurs d'académie. Elle est coordonnée, au titre du ministère de l'éducation nationale, par le CLEMI (Centre de liaison de l'enseignement et des moyens d'information), 391 bis, rue de Vaugirard, 75015 Paris, téléphone : 01 53 68 71 00, télécopie : 01 42 50 16 82, Internet : <www. clemi.org>, mél : <semaine-presse@clemi.org>, en étroite liaison avec les directions du ministère de l'éducation nationale, le CNDP <www.cndp.fr> et son réseau décentralisé.
Une cellule de pilotage académique sera constituée sous l'autorité du recteur dans les centres régionaux et départementaux de documentation pédagogique, en relation avec les coordonnateurs académiques du CLEMI. Cette cellule sera chargée de l'organisation matérielle et du suivi pédagogique de la semaine. Elle pourra aussi intégrer, ponctuellement, les professionnels des médias particulièrement investis dans l'opération.
Les modalités pratiques
Cette année, pour prendre en compte les observations des enseignants, les modalités de distribution de la presse écrite évoluent. Tous les journaux et magazines à diffusion nationale seront envoyés par la poste, sous deux formes :
- un "colis-poste" livré en deux temps : le vendredi 9 mars pour les mensuels et le lundi 12 mars pour les hebdomadaires et les quotidiens ;
- des envois à l'unité pour la presse quotidienne et les magazines dont les éditeurs n'ont pas souhaité faire partie du "colis-poste".
Les établissements scolaires pourront réserver, au maximum, 60 titres. Cette limitation a pour objectif de mieux répartir le nombre de titres entre les établissements. En effet, l'an passé, certains ont reçu plus de 150 titres et d'autres, les plus nombreux, quelques dizaines.
Dans le cadre de cette nouvelle organisation, les entreprises de presse et La Poste ont décidé de se partager les frais d'expédition des exemplaires. Ces nouvelles modalités conditionneront donc la participation de certains éditeurs.
Pour participer à la Semaine de la presse dans l'école
Un seul moyen : le minitel, un seul code : 36 14 EDUTEL, mot clé PRESSE.
Les enseignants qui n'ont pas accès au minitel sont invités à contacter leur inspection académique ou leur CRDP-CDDP, qui pourront les inscrire.
L'inscription sur Internet n'est pas encore possible. Cependant les enseignants trouveront sur le site du CLEMI <www.clemi.org> de très nombreuses informations pratiques et pédagogiques pour préparer la Semaine de la presse dans l'école : les coordonnées de tous les médias inscrits, des fiches pédagogiques des années passées, des liens avec les différents partenaires de l'opération et les informations de dernière minute.
Les établissements scolaires s'inscrivent du jeudi 11 janvier 2001 à 14 heures au vendredi 2 février à 18 heures ; les médias d'information s'étant inscrits préalablement du lundi 27 novembre au vendredi 22 décembre 2000. Sur le minitel, 36 14 EDUTEL, mot clé PRESSE, les enseignants choisissent et réservent des titres (un exemplaire par titre et par établissement scolaire dans la limite de 60 titres). À l'issue de l'inscription, un code personnel attribué par EDUTEL valide la participation de l'établissement.
Environ dix jours après leur inscription, les enseignants reçoivent, à l'adresse qu'ils ont indiquée sur le minitel, un "bon de retrait" confirmant leur inscription, deux affiches, le dossier pédagogique conçu par le CLEMI, le livret spécial "Presse et justice" et un cahier d'évaluation.
Lors de la 11ème édition, en mars 2000, 3,8 millions d'élèves et 255 698 enseignants répartis dans 12 717 établissements scolaires ont participé volontairement à la 11ème Semaine de la presse dans l'école. L'an passé, 745 médias ont été leurs partenaires : 440 quotidiens et magazines d'information ont offert environ 1 800 000 exemplaires aux établissements scolaires. 234 stations de radio, 71 télévisions et agences de presse se sont aussi associées à l'événement.
Pour organiser les animations pédagogiques
La Semaine de la presse dans l'école laisse toute initiative pédagogique aux équipes éducatives. Les enseignants doivent contacter directement les professionnels des médias qu'ils souhaitent accueillir. Leurs adresses seront disponibles sur EDUTEL mot clé presse et sur le site Internet du CLEMI <www.clemi.org>. Les professionnels des médias sont très sollicités pendant la Semaine et désirent pouvoir répondre au mieux à la demande des enseignants et des élèves. Il est donc conseillé aux enseignants de bien définir le thème de la rencontre, de préparer un ordre du jour, de recenser les questions des élèves... sans négliger les détails matériels (quel jour ? quelle heure ? où ? avec combien d'élèves ? de quel âge ?...).
Rien n'interdit aux établissements scolaires de prolonger la semaine si l'emploi du temps des journalistes est trop rempli et dans la mesure où le chef d'établissement donne son accord.
Mise en garde importante
Le choix des titres doit être fait avec le plus grand soin, uniquement par le responsable pédagogique du projet et sous sa responsabilité. En effet, tous les titres vendus chez les marchands de journaux sont susceptibles de participer à la semaine, quels qu'en soient l'opinion, l'illustration, le contenu rédactionnel ou la ligne éditoriale. Aussi est-il fondamental que ce choix corresponde à un réel projet pédagogique et que cette activité soit menée en respectant le pluralisme des opinions et la sensibilité des élèves.
La Semaine de la presse dans l'école n'a pas pour finalité de faire la promotion de tel ou tel titre ou d'un courant de pensée. Il s'agit, à cette occasion, de passer tous les médias au crible de l'intelligence et de bien montrer aux élèves l'importance d'une lecture critique des moyens d'information par la mise en perspective et la comparaison des informations. Cette année la participation de sites Internet doit encore renforcer cette distanciation et ce questionnement sur l'origine des informations qui sont mises à la disposition des enseignants et des élèves.
Concernant la participation de la presse d'opinion, la Semaine de la presse dans l'école doit être l'occasion de former des esprits indépendants et responsables, ouverts aux idées de liberté, de justice, de tolérance et de solidarité. C'est la force de notre démocratie que d'accueillir des opinions parfois gênantes et d'en débattre sur la base de la prise en compte de la dignité des élèves et le respect des lois de la République.
Les trois principes de la Semaine de la presse dans l'école
Le partenariat
Plusieurs institutions s'associent pour la semaine : le système éducatif, les médias d'information et La Poste. Chacune d'elles est responsable de son domaine d'activité. L'école assure l'accueil des moyens d'information et le travail pédagogique avec les élèves (débats, ateliers...) ; les éditeurs de presse garantissent le nombre et la date de parution des quotidiens et des magazines mis à la disposition des établissements. La Poste gère l'acheminement des exemplaires.
Le volontariat
Chaque établissement scolaire ou média est libre de participer, ou non, à la Semaine de la presse dans l'école. Chacun décide de son degré d'implication.
La gratuité
Pendant la Semaine de la presse dans l'école, enseignants et professionnels de l'information acceptent de donner beaucoup de temps et d'argent pour que la semaine soit une réussite et pour que les élèves découvrent le pluralisme et la variété de la presse française.
Il est souhaitable que le plus grand nombre d'élèves et d'enseignants des écoles, des collèges, des lycées et des établissements de formation participent à la douzième Semaine de la presse dans l'école. Nous confirmerons ainsi l'aptitude du système éducatif à s'ouvrir au monde qui l'entoure à partir d'un solide projet pédagogique et nous démontrerons aussi sa capacité à former les citoyens de demain.


Pour le ministre de l'éducation nationale

et par délégation,

La directrice de l'administration

Hélène BERNARD



Annexe
ACCORD CADRE ENTRE LE MINISTÈRE DE L'ÉDUCATION NATIONALE ET L'ARPEJ (ASSOCIATION RÉGIONS PRESSE ENSEIGNEMENT JEUNESSE)
Article 1- Déclaration de principe
Le ministère de l'éducation nationale s'efforce de développer chez les jeunes une prise de conscience des valeurs de la République à travers une éducation à la citoyenneté. Les mesures qui entrent en vigueur à la rentrée 2000 vont dans ce sens : qu'il s'agisse du développement interdisciplinaire de l'éducation civique, juridique et sociale, ou du nouveau statut des lycéens avec l'élection au suffrage direct des conseils des délégués pour la vie lycéenne. L'éducation aux médias tient une place déterminante dans cette démarche.
Le Syndicat de la presse quotidienne régionale, qui délègue à l'Association Régions Presse Enseignement Jeunesse toutes ses actions dans ce domaine, s'efforce d'apporter tout l'appui de ses 33 membres à l'éveil des jeunes à la citoyenneté. En effet : "apprendre le journal" permet de mieux comprendre les médias et "apprendre avec le journal" de mieux comprendre le fonctionnement de la cité, de la commune au monde. La valeur pédagogique du recours aux quotidiens régionaux et à l'intervention de journalistes dans les établissements scolaires est désormais unanimement reconnue, notamment lors de la Semaine nationale de la presse dans l'école, annuelle.
Article 2 - Actions
L'ARPEJ est habilitée à mener des actions d'animation et de formation dans le cadre du système éducatif, en liaison avec tous les organismes concernés. En particulier par le CLEMI (Centre de liaison de l'enseignement et des moyens d'information), le CNDP (Centre national de documentation pédagogique) et ses centres locaux, les IUFM (instituts universitaires de formation des maîtres), les services rectoraux de formation continue et les corps d'inspection. Elle travaille également avec les associations parascolaires reconnues.
Le ministère de l'éducation nationale apporte son patronage à l'ARPEJ dans ses actions en cours :
- "La presse des régions", avec le CNDP dans Textes et Documents pour la Classe, une sélection d'articles à usage pédagogique ;
- "L'enfant écrit la Ville" et "Les jeunes écrivent la France" avec le ministère de la ville, le CLEMI, J.Presse et le soutien d'EDF pour la mise en valeur de l'expression des jeunes dans les journaux et le développement de la lecture ;
- "La Semaine nationale de la presse dans l'école" avec le CLEMI pour mettre en exergue la lecture de la presse comme outil pédagogique de base dans l'éducation aux médias ;
- La formation des enseignants, notamment dans les IUFM en formation initiale mais aussi dans les actions de formation continue.
Article 3 - Modalités
Les actions susmentionnées feront ou ont déjà fait l'objet de conventions séparées :
- avec le CNDP pour "La presse des régions" ;
- avec le ministère de la ville pour "L'enfant écrit la Ville" ;
- avec le CLEMI pour la formation des maîtres, la parole des jeunes, la Semaine de la presse ;
- avec J. Presse pour l'expression des lycéens ;
- avec EDF pour "Les jeunes écrivent la France".
Toutes nouvelles actions, y compris impliquant les nouvelles technologies et ayant des objectifs conformes à la déclaration de l'article 1, pourront faire l'objet d'avenants à la présente convention.


Fait à Paris, le 3 octobre 2000


Pour le ministère de l'éducation nationale,

Jack LANG, ministre de l'éducation nationale

Pour l'ARPEJ,

Jean-Louis PREVOST, président du Syndicat de la presse quotidienne régionale, vice-président de l'ARPEJ



Journée nationale célébrant le 82ème anniversaire de l'armistice du 11 novembre 1918
ACTIVITÉS ÉDUCATIVES
NOR : MENB0002836X
RLR : 554-9
NOTE DU 27-10-2000
MEN
BDC


o Le 11 novembre prochain, le 82ème anniversaire de l'armistice du 11 novembre 1918, la Nation rendra un hommage solennel aux combattants et victimes de la Grande Guerre.
Comme chaque année, les chefs d'établissement, les directrices et directeurs d'école sont invités à faire évoquer dans les classes les événements historiques qui seront commémorés ce jour, notamment en rappelant aux élèves le bilan humain des quatre années de guerre jusqu'à la fin des hostilités.
Ce bilan doit être l'occasion d'insister sur le fait que la Première Guerre mondiale a pesé très lourdement sur la jeunesse. Elle a causé 9 millions de morts et 17 millions de blessés dont 6,5 millions sont restés invalides. Dans leur immense majorité, les victimes étaient des hommes jeunes. Les soldats morts au combat ont laissé 8 millions d'enfants orphelins et 4 millions de veuves, jeunes femmes dont la vie a été brisée.
Cette saignée démographique a touché très durement la jeunesse européenne et particulièrement celle de la France qui a vu disparaître quinze pour cent de ses jeunes adultes masculins. À ces pertes directes, il faut ajouter l'impact du déficit des naissances qui a résulté de la mobilisation. On estime à environ 20 millions ce déficit cumulé pour l'ensemble des belligérants européens.
Ce phénomène, à l'origine des "classes creuses" , va, par un effet rebond, accroître la tendance au vieillissement de la population : en France, dans les années trente, "on fabrique plus de cercueils que de berceaux !". C'est dire tout le prix que la jeunesse a payé à ce conflit.
Ce 11 novembre doit aussi être l'occasion de rappeler la place que la jeunesse francaise a occupée dans la Résistance face à l'agression et à l'occupation nazie. Ainsi, le 11 novembre 1940, la manifestation parisienne des étudiants et des lycéens pour commémorer l'armistice, malgré les risques encourus, a été l'un des premiers signes forts de la Résistance, dans laquelle beaucoup de jeunes hommes et femmes s'engagèrent, parfois très jeunes comme ces lycéens du lycée Buffon qui moururent pour la liberté. Il faut penser aussi aux jeunes soldats qui sont tombés au combat en 1940, puis dans les Forces francaises libres et dans la Résistance intérieure.
En rappelant aux élèves les sacrifices énormes que consentirent tous ces jeunes, on leur transmettra un message de paix et de fraternité. Le terrible bilan de ces conflits monstrueux doit sonner comme un appel à la raison, au respect de l'homme, de la vie et de la jeunesse.
Je vous demande, avec une instance toute particulière, de prendre contact avec les autorités locales afin d'assurer la participation la plus large possible des écoliers, des collégiens et des lycéens aux cérémonies de commémoration.


Pour le ministre de l'éducation nationale

et par délégation,

Le directeur adjoint du Cabinet

André HUSSENET



Concours "Poèmes à chanter" - année 2000-2001
ACTIVITÉS ÉDUCATIVES
NOR : MENE0002707C
RLR : 554-9
CIRCULAIRE N°2000-177
DU 25-10-2000
MEN
DESCO A9
Texte adressé aux rectrices et recteurs d'académie ; aux inspectrices et inspecteurs d'académie, directrices et directeurs des services départementaux de l'éducation nationale
o Pour la troisième année consécutive, le Printemps des poètes invite avec la France entière tout l'espace francophone à vivre en poésie durant toute une semaine.
Avec plus de 5 000 initiatives au printemps dernier, cette manifestation, soutenue conjointement par les ministères de l'éducation nationale et de la culture et de la communication, s'impose désormais comme un rendez-vous culturel essentiel.
La troisième édition du "Printemps des poètes" se tiendra dans la semaine du 26 mars au 1er avril 2001 . Les écoles, les collèges et les lycées sont invités à prendre part à cette manifestation en développant des initiatives originales et variées telles lectures, écritures de textes, échanges de poèmes, expositions... Les enseignants de toutes disciplines pourront consacrer une partie de leurs activités à la poésie durant cette période, l'inspiration poétique pouvant trouver sa source dans tout support, qu'il soit littéraire, scientifique ou artistique.
Il est souhaitable que cette semaine soit considérée comme l'aboutissement d'un travail mené tout au long de l'année et le point de départ d'autres actions inscrites dans la durée.
Pour cette troisième édition, c'est l'ensemble des élèves, écoliers, collégiens et lycéens qui sont appelés à participer à un concours de poésie intitulé "Poèmes à chanter".
Les enseignants pourront développer autour de ce thème un travail de recherche basé non seulement sur la mélodie, mais aussi sur la musicalité spécifique du vers à l'écoute de la prosodie puis des rythmes modernes ; l'origine chantée de la poésie : en Grèce avec l'aède et la poésie lyrique, en langue française où le premier texte littéraire serait une chanson (la Cantilène de Sainte Eulalie, IXème siècle), puis aux XIIème et XIIIème avec les troubadours et trouvères, les chansons de geste, au XVIème avec la Pléiade (l'Art poétique de Ronsard dont les poèmes, comme ceux de Marot, s'accompagnent de partitions), la romance du XVIIIème (Plaisir d'amour de Florian) ; la distinction nécessaire du poème et de la chanson, mais aussi la persistance de la notion de chant dans la poésie écrite au XIXème (chanson d'automne, chanson de la plus haute tour, chants de Maldoror) et au XXè siècle (Cantique à Elsa, chant des morts, chants d'ombre, etc.).
Par ailleurs, les lycéens sont de nouveau appelés à participer via Internet, comme l'année dernière, au concours intitulé "Poésie en liberté", coordonné par le lycée Henri Wallon d'Aubervilliers en Seine-Saint-Denis. Un jury de lycéens décernera des prix. Le règlement de cette opération pourra être consulté sur le site internet suivant : http ://www.poesie-en-liberte.org.

Règlement du concours "Poèmes à chanter" - année 2000-2001

Article 1 - Dans le cadre du "Printemps des poètes", le ministère de l'éducation nationale organise un concours intitulé "Poèmes à chanter". Ce concours est ouvert à tous les élèves des écoles, des collèges et des lycées des établissements publics et privés sous contrat. Il comporte quatre catégories de participation :
- première catégorie "école" :
création d'un poème individuel ou collectif ;

- deuxième catégorie "collège" :
création d'un poème individuel ;

- troisième catégorie "lycée" :
création d'un poème individuel ;

- quatrième catégorie :
création d'un poème mis en musique (individuel ou collectif, tous niveaux).

Article 2 - Les élèves sont invités à créer une œuvre poétique sans contrainte de thème. La construction de ce texte devra cependant permettre une éventuelle mise en musique. Ces poèmes seront rédigés en une page maximum, avec une écriture très lisible ou dactylographiés. Pour le cas ou les élèves proposeraient un poème mis en musique, il convient d'accompagner la cassette audio, le disque ou la partition de la page écrite retranscrivant le poème.
Article 3 - Les poèmes et leurs éventuels supports auditifs doivent être adressés aux responsables de l'action culturelle des rectorats au plus tard le 30 mars 2001 . Ils doivent comporter en en-tête le nom de l'élève ou de la classe, le nom de l'établissement et ses coordonnées (adresse, numéros de téléphone et de télécopie).
Article 4 - Un jury académique, présidé par le recteur et composé, par exemple, d'un inspecteur pédagogique régional de lettres, de poètes, d'enseignants de lettres et de représentants de la direction régionale de l'action culturelle, se réunit pour désigner deux lauréats pour chaque catégorie. Il est recommandé aux recteurs de valoriser ces lauréats au niveau académique, suivant les procédures de leur choix.
Article 5 - Le jury académique transmet les poèmes primés pour sélection par le jury national, au plus tard le 2 mai 2001, par courrier postal à la direction de l'enseignement scolaire, bureau des actions éducatives, culturelles et sportives, DESCO A9, 107, rue de Grenelle, 75007 Paris.
Article 6 - Le jury national du concours "Poèmes à chanter" est composé de représentants du ministère de l'éducation nationale, du ministère de la culture et de la communication, d'artistes et de poètes. Sa composition sera précisée ultérieurement.
Article 7 - Après avoir examiné les poèmes primés par les jurys académiques, il établit son palmarès au cours du mois de mai. Il retient deux lauréats pour chacune des catégories. Les lauréats, ainsi que leurs enseignants, recevront leur prix lors d'une cérémonie nationale qui se déroulera à Paris fin mai 2001.
Les poèmes primés par le jury national feront l'objet d'une mise en musique et d'une interprétation par des artistes contemporains reconnus. Un disque rassemblant ces œuvres sera diffusé lors du "Printemps des poètes 2002" et sera envoyé à l'ensemble des lauréats.
Nous vous remercions de bien vouloir faire diffuser très rapidement cette circulaire et de l'attention que vous portez à cette action éducative.
Contacts
- Ministère de l'éducation nationale, direction de l'enseignement scolaire, DESCO A9, 107, rue de Grenelle, 75007 Paris, mél : Pascale. Thibault@education.gouv.fr
- Association "Printemps des Poètes", 51, rue Olivier Metra, 75020 Paris, mél : printempsdespoetes@wanadoo.fr, site Internet : www.printempsdespoetes.com


Pour le ministre de l'éducation nationale
et par délégation,

Le directeur de l'enseignement scolaire

Jean-Paul de GAUDEMAR



Opération "Pièces jaunes 2001"
ACTIVITÉS ÉDUCATIVES
NOR : MENE0002735N
RLR : 554-9
NOTE DE SERVICE N°2000-180
DU 25-10-2000
MEN
DESCO A9
Texte adressé aux rectrices et recteurs d'académie ; au directeur de l'académie de Paris ; aux inspectrices et inspecteurs d'académie, directrices et directeurs des services départementaux de l'éducation nationale
o L'opération "Pièces jaunes...Soleil" organisée par la fondation Hôpitaux de Paris-Hôpitaux de France, est reconduite pour l'année 2001 et se déroulera pour la septième année consécutive du 8 au 31 janvier 2001 .
Les conditions de participation à cette opération des classes élémentaires publiques et privées sous contrat, reprennent les dispositions prévues par la circulaire n° 97-217 du 13 octobre 1997 parue au B.O. du 23 octobre 1997.


Pour le ministre de l'éducation nationale

et par délégation,

Le directeur de l'enseignement scolaire

Jean-Paul de GAUDEMAR