PERSONNELS
CONCOURS
Recrutement
des IA-IPR - session 2002
NOR : MENA0102389N
RLR : 631-1
NOTE DE SERVICE N°2001-233
DU 7-11-2001
MEN
DPATE B2
Réf. : D. n° 90-675
du 18-7-1990 mod. ; A. du 25-10-1990
Texte adressé aux rectrices et recteurs d'académie ; aux vice-recteurs
; au chef du service de l'éducation nationale de Saint-Pierre-et-Miquelon
; aux inspectrices et inspecteurs d'académie, directrices et directeurs
des services départementaux de l'éducation nationale ; au directeur
du service interacadémique des examens et concours d'Ile-de-France
o Les
dispositions relatives au recrutement des inspecteurs d'académie-inspecteurs
pédagogiques régionaux sont fixées par le décret
n° 90-675 du 18 juillet 1990 modifié portant statuts particuliers
des inspecteurs d'académie-inspecteurs pédagogiques régionaux
et des inspecteurs de l'éducation nationale, l'arrêté du
25 octobre 1990 relatif à l'organisation générale des concours
de recrutement des inspecteurs de l'éducation nationale et des inspecteurs
d'académie-inspecteurs pédagogiques régionaux.
Vous trouverez, ci-dessous,
les précisions relatives à l'organisation du concours 2002.
Vous voudrez bien assurer
la plus large diffusion de ce document afin que les dates et les modalités
d'inscription à ce concours soient portées à la connaissance
de l'ensemble des candidats potentiels. Vous veillerez à informer particulièrement
les personnels qui, selon vous, seraient les plus aptes à exercer les
fonctions d'inspecteur d'académie-inspecteur pédagogique régional,
notamment en organisant une réunion spécialement conçue
à cette fin.
I - Dispositif réglementaire et conditions d'inscription
I.1 Organisation
du concours
Le concours de recrutement
des inspecteurs d'académie-inspecteurs pédagogiques régionaux
est ouvert par spécialité. Le nombre d'emplois offerts, répartis
par spécialité, est fixé, chaque année, par un arrêté
conjoint des ministres chargés de l'éducation nationale et de
la fonction publique.
I.2 Conditions de candidature
Les conditions de candidature
sont appréciées au 1er janvier de l'année au titre de laquelle
le concours est ouvert.
Peuvent se présenter
au concours les personnels suivants, relevant du ministère de l'éducation
nationale : professeurs des universités de 2ème classe, maîtres
de conférences hors classe, maîtres de conférences de 1ère
classe, maîtres-assistants de 1ère classe, professeurs de chaire
supérieure, professeurs agrégés, personnels de direction
de 1ère catégorie, personnels de direction de 2ème catégorie,
1ère classe, et inspecteurs de l'éducation nationale ayant accompli
cinq ans de services effectifs à temps complet ou leur équivalent
dans des fonctions d'enseignement, de direction ou d'inspection.
En outre, je vous rappelle
qu'en application de l'article 19-2° de la loi n° 84-16 du 11 janvier
1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la
fonction publique de l'État, seuls les fonctionnaires en activité,
en détachement, en congé parental ou accomplissant le service
national ainsi que ceux en fonction dans une organisation internationale intergouvernementale
peuvent être autorisés à subir les épreuves d'un
concours.
II - Modalités d'inscription et de dépôt
des candidatures
Les inscriptions
sont reçues par la division des examens et concours des rectorats du
lundi 5 novembre 2001 au vendredi 30 novembre 2001 à 17 heures. Les candidats
des académies de Créteil, Paris et Versailles s'inscriront auprès
du service interacadémique des examens et concours, 7, rue Ernest Renan,
94114 Arcueil, tél. 01 49 12 23 00.
Un même candidat peut
souhaiter concourir au titre de plusieurs spécialités. Les demandes
qui vous seront présentées en ce sens sont recevables. Dans cette
hypothèse, il doit procéder à autant d'inscriptions que
de spécialités choisies et doit constituer un dossier de candidature
par spécialité. En cas d'admission multiple, le candidat optera
pour une des spécialités présentées.
Je vous demande de me signaler
ces cas dans la liste des candidats que vous me ferez parvenir.
Les candidats en résidence
dans les pays suivants pourront se procurer un dossier de candidature auprès
de la division des examens et concours des académies désignées
ci-après :
Lieux de résidence |
Académies habilitées
à recevoir les inscriptions |
Asie - Océanie (sauf
Turquie et Proche-Orient) - Philippines |
Aix-Marseille |
Amérique latine -
Brésil |
Guadeloupe - Martinique
- Guyane |
Afrique de l'Ouest - Espagne
- Portugal - Afrique occidentale |
Bordeaux |
Amérique du Nord
- Canada - Saint-Pierre-et-Miquelon |
Caen |
Italie - Turquie - Balkans |
Grenoble |
Benelux - Grande-Bretagne
- Irlande |
Lille |
Autriche - CEI et pays de
l'ancienne URSS - Europe centrale |
Lyon |
Algérie - Afrique
centrale, australe et orientale |
Montpellier |
Tunisie - Proche-Orient
- Égypte |
Nice |
Nouvelle-Calédonie |
Nouvelle-Calédonie |
Maroc |
Poitiers |
Madagascar - Comores - Maurice
- Mayotte |
La Réunion |
Polynésie française |
Polynésie française |
Allemagne - Finlande - Scandinavie |
Strasbourg |
Wallis-et-Futuna |
Wallis-et-Futuna |
Les candidats en résidence
dans des pays ne figurant pas sur cette liste s'inscriront auprès du
service interacadémique des examens et concours, 7, rue Ernest Renan,
94114 Arcueil.
Les dossiers de candidature
devront être :
- soit déposés
à la division des examens et concours des rectorats et au service interacadémique
des examens et concours pour les académies de Paris, Créteil et
Versailles le vendredi 30
novembre 2001 à 17 heures au plus tard
;
- soit confiés aux
services postaux en temps utile pour que l'enveloppe soit oblitérée
au plus tard le vendredi
30 novembre 2001 à minuit, le
cachet de la poste faisant foi.
Tout dossier déposé
ou posté hors délai ne pourra être pris en considération.
III - Vérification, transmission des dossiers à
l'administration centrale
III.1 Recevabilité
Conformément aux
dispositions de l'arrêté du 25 octobre 1990, vous êtes chargés
d'examiner la recevabilité des candidatures.
En effet, l'autorisation
à poursuivre le concours se fondant sur l'examen des dossiers des candidats,
toutes les pièces réclamées seront impérativement
jointes au dossier, notamment la photocopie de l'arrêté de titularisation
dans le corps ouvrant droit au concours.
J'appelle tout particulièrement
votre attention sur l'importance de la vérification de la recevabilité
du dossier notamment sur l'accomplissement de cinq ans de services effectifs
à temps complet ou leur équivalent dans des fonctions d'enseignement,
de direction ou d'inspection.
Vous veillerez, par ailleurs,
à ce que les candidats indiquent clairement leurs nom, prénom
et spécialité d'inscription au dos de la photographie qu'ils doivent
obligatoirement apposer sur la première page de leur dossier d'inscription.
Il vous appartient également
de renvoyer à chaque candidat l'accusé de réception qui
figure dans son dossier.
III.2 Avis sur les candidatures
Je vous demande d'accorder
une attention toute particulière à l'avis que vous devez formuler
après l'entretien avec le candidat. Je vous rappelle en effet que cet
élément du dossier est fondamental pour la première sélection
effectuée par le jury au moment de l'admissibilité du concours.
Cet avis doit notamment prendre en compte :
- la valeur professionnelle
et la manière de servir du candidat ;
- la richesse du parcours
professionnel ;
- ses qualités relationnelles
et d'animation pédagogique ;
- la pertinence de ses motivations
;
- l'intérêt
qu'il porte au fonctionnement du système éducatif.
III.3 Saisie informatique
des dossiers recevables
Je tiens à vous signaler
que vous devez effectuer la saisie informatique des candidatures recevables
dans l'application nationale OCEAN. Des informations techniques vous seront
transmises prochainement par l'équipe de diffusion du SERIA de Rennes.
Le fichier informatique devra être transmis à Montrouge pour le
lundi 7 janvier 2002.
III.4 Transmission à
la DPATE B2
À la date limite
de retour des dossiers de candidature (30
novembre 2001), vous me ferez
parvenir par télécopie au 01 55 55 16 70 ou 01 55 55 21 88 ou
par messagerie électronique (geo.fonade@education.gouv.fr), le nombre
de candidats inscrits dans votre académie, en détaillant notamment
le nombre de candidats par spécialité.
Les listes de candidats
arrêtées par vos soins, établies en un seul exemplaire,
seront accompagnées des dossiers d'inscription complets. Seuls les dossiers
recevables me seront transmis. Les listes de candidats seront classées
par ordre alphabétique et par spécialité. L'ensemble de
ces documents me sera adressé pour le lundi
7 janvier 2002 dernier délai.
L'enveloppe de transmission
doit être libellée de la façon suivante : ministère
de l'éducation nationale, direction des personnels administratifs, techniques
et d'encadrement, bureau DPATE B2, concours IA-IPR, session 2001, 142, rue du
Bac, 75007 Paris.
IV - Déroulement des épreuves et résultats
du concours
Une première
sélection sera effectuée par le jury sur examen des dossiers présentés
par les candidats du 4 au 8 mars 2002.
Les candidats autorisés
à poursuivre le concours seront convoqués à Paris du 22
au 27 avril 2002 afin d'y subir l'épreuve orale d'admission, constituée
d'un entretien avec le jury d'une durée de 45 minutes.
Les candidats sont avisés
individuellement par courrier de leur résultat (1ère sélection
et admission).
Les candidats peuvent également
obtenir les résultats par Minitel en composant le 3615 EDUTELPLUS ou
bien sur Internet : www.education.gouv.fr, rubrique "Personnels ; concours,
carrière" puis "Personnels administratifs, techniques et d'encadrement".
Le rapport du jury analysant
les résultats du concours précédent est en vente auprès
du CNDP et des CRDP.
Pour le ministre de l'éducation
nationale
et par délégation,
La directrice des personnels
administratifs, techniques
et d'encadement
Béatrice GILLE
CONCOURS
Programme
de l'agrégation externe, sections grammaire et lettres classiques - session
2002
NOR : MENP0101066Z
RLR : 820-2b ; 820-2d
RECTIFICATIF DU 7-11-2001
MEN
DPE E1
o Le programme d'auteurs grecs
et latins aux agrégations de grammaire et de lettres classiques est modifié
comme suit :
Grec
Au lieu de : Théocrite
(Bucoliques grecs I, dans la collection Budé, dont nous suivons ci-après
la numérotation), Idylles I-XI et XV-XVI,
lire : Théocrite
(Bucoliques grecs I, dans la collection Budé : Idylles I à VII,
X-XI et XV-XVI.
N.B. 1 : Pour les explications
de texte sur programme, les candidats seront interrogés à l'oral
dans les éditions suivantes :
Grec
Au lieu de : Sophocle
(Oxford),
lire : Sophocle
(Oxford, éd. Lloyd-Jones et Wilson).
Latin
Au lieu de : Cicéron
(Oxford),
lire : Cicéron
(Teubner).
CONCOURS
NOR : MENP0101990A
RLR : 824-1d
ARRÊTÉ DU 16-10-2001
JO DU 24-10-2001
MEN - DPE A3
FPP
Sections
et modalités d'organisation des concours d'accès au corps des
professeurs de lycée professionnel
Vu D. n° 92-1189 du 6-11-1992
mod. ; A. du 6-11-1992 mod.
Article 1 - L'arrêté
du 6 novembre 1992 susvisé est modifié
comme suit :
I - L'article
1er est ainsi modifié
:
1) En ce qui concerne la
section ci-après :
Section génie
industriel
Les mots : "Option construction
et réparation en carrosserie" sont remplacés
par les mots : "Option construction
en carrosserie".
2) Le groupe A de la liste
des sections et options pour lesquelles il n'existe pas de diplôme supérieur
au niveau IV au sens de la loi d'orientation n° 71-577 du 16 juillet 1971
modifiée sur l'enseignement technologique (niveau baccalauréat)
est modifié comme
suit :
Il est inséré
après les mots : "Section
décolletage" les mots suivants : " Section réparation et revêtement
en carrosserie".
II - L'annexe
II relative aux épreuves du concours interne du concours d'accès
au corps des professeurs de lycée professionnel (CAPLP), est modifiée
ainsi qu'il suit en ce qui
concerne la section génie électrique :
- Au dernier paragraphe
du a) définissant l'épreuve écrite d'admissibilité,
les mots : "huit heures" sont remplacés
par les mots : "six heures".
Article 2 - Le
présent arrêté prendra effet à compter de la session
de l'an 2002 des concours, à l'exception du I de l'article 1er pour lequel
il prendra effet à compte de la session de l'an 2003 des concours.
Article 3 - Le
directeur des personnels enseignants est chargé de l'exécution
du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel
de la République française.
Fait à Paris, le
16 octobre 2001
Pour le ministre de l'éducation
nationale et par délégation,
Le directeur des personnels
enseignants
Pierre-Yves DUWOYE
Pour le ministre de la fonction publique et
de la réforme de l'État
et par délégation,
Par empêchement du
directeur général de
l'administration et de la fonction publique,
Le sous-directeur
B. COLONNA D'ISTRIA
FORMATION CONTINUE
Actions
de formation continue destinées aux enseignants en fonction dans les
établissements scolaires français à l'étranger -
session 2002
NOR : MENE0102378N
RLR : 601-3
NOTE DE SERVICE N°2001-228
DU 7-11-2001
MEN
DESCO B7 - A10
Texte adressé aux ambassadeurs
et chefs de poste diplomatique français à l'étranger
o Le
ministère de l'éducation nationale, avec le concours de l'Agence
pour l'enseignement français à l'étranger (AEFE), organisera
au cours du mois de mars 2002, deux actions de formation continue à destination
des personnels qui enseignent dans des établissements scolaires français
à l'étranger, qu'ils soient en gestion directe, conventionnés
ou simplement homologués par le ministère de l'éducation
nationale.
Ces deux actions, d'une
durée de deux semaines chacune, doivent permettre la formation d'une
centaine de personnels enseignants des premier et second degrés. Ces
actions de formation, qui se dérouleront à Grenoble pour le premier
degré et à Lyon pour le second degré, s'adressent en priorité
aux enseignants non titulaires français ou étrangers et aux titulaires
résidents qui exercent depuis longtemps dans des établissements
scolaires français à l'étranger.
Au moment où le système
éducatif connaît de profonds changements, la formation continue
des enseignants constitue un moyen privilégié d'accompagner la
mise en uvre des orientations prioritaires de la politique éducative
dans les établissements français à l'étranger et
de contribuer ainsi au rayonnement de la langue et de la culture françaises
dans le monde.
Ces deux actions de formation
s'attacheront à présenter les évolutions du système
éducatif ainsi que leurs enjeux. Elles veilleront à mettre l'accent
sur les thèmes suivants :
- les langues vivantes et
la maîtrise de la langue à l'école ;
- l'exploitation pédagogique
des évaluations au collège ;
- l'interdisciplinarité
au collège et au lycée ;
- les enseignements artistiques.
Les formateurs s'attacheront
à prendre en compte les besoins des enseignants afin de permettre à
ces derniers une réappropriation dans leur pratique. À l'issue
de cette formation, un rapport de stage devra être remis au chef d'établissement,
à l'inspecteur de l'éducation nationale en résidence pour
les enseignants du 1er degré et au ministère de l'éducation
nationale (bureau DESCO B7).
I - Action de formation de Grenoble (enseignants du 1er degré)
1)
Dates : du lundi 18 mars
au vendredi 29 mars 2002 inclus ; l'accueil des stagiaires sera assuré
le dimanche 17 mars au soir.
2) Nombre de participants
: 50
3) Public : enseignants
des grandes sections de maternelle au cours moyen deuxième année.
4) Contenu
Il sera proposé des
travaux d'atelier permettant d'aborder les questions relatives aux évolutions
de l'école élémentaire. Ces ateliers, dont le nombre et
le contenu seront précisés ultérieurement par les responsables
pédagogiques du stage, pourront aborder un certain nombre de thèmes
tels que :
- l'apprentissage de la
langue orale et écrite et la maîtrise des langages ;
- la prise en charge pédagogique
de la diversité des élèves et le rôle des évaluations
;
- l'utilisation pédagogique
des technologies de l'information et de la communication ;
- l'éducation artistique
et l'action culturelle dans le 1er degré.
En outre, les enseignants
seront amenés à participer à l'activité d'une classe
au cours de la session.
II - Action de formation de Lyon (professeurs de collège et de lycée)
1) Dates : du
lundi 11 mars au vendredi 22 mars 2002 inclus ; l'accueil des stagiaires sera
assuré le dimanche 10 mars au soir.
2) Nombre de participants
: 50
3) Public : enseignants
de collège et de lycée dans les disciplines suivantes : lettres,
histoire et géographie, mathématiques, sciences de la vie et de
la Terre, sciences physiques.
4) Contenu
Les ateliers constitués
au cours de la première semaine permettront d'aborder les thèmes
suivants :
- le dispositif d'aide individualisée
;
- la transdisciplinarité,
les parcours diversifiés, les travaux croisés, les TPE ;
- l'utilisation pédagogique
des TICE ;
- l'évaluation et
son utilisation dans les dispositifs de remédiation ;
- la maîtrise des
langages ;
- l'organisation de la vie
scolaire.
Les enseignants seront amenés,
sous la responsabilité d'un professeur référent, à
participer à l'activité d'une classe au cours de la deuxième
semaine.
III - Dépôt des candidatures
Les personnels enseignants
qui désirent participer à l'un de ces deux stages devront remplir
en double exemplaire la notice de candidature jointe en annexe. Un exemplaire
sera remis au chef d'établissement pour être acheminé par
la voie hiérarchique aux services de l'AEFE ; le second sera transmis
directement par le chef d'établissement au ministère de l'éducation
nationale, direction de l'enseignement scolaire, bureau des relations internationales,
DESCO B7, 107, rue de Grenelle, 75357 Paris 07 SP, tél. 01 55 55 11 52,
télécopie 01 55 55 06 35, adresse électronique : michel.cervoni@education.
gouv.fr
Ces candidatures dûment
remplies devront parvenir au bureau DESCO B7 avant
le 14 janvier 2002, délai de rigueur. Les
autorités hiérarchiques, IEN en résidence, chefs d'établissement
et chefs de poste diplomatique procéderont à un classement des
candidatures. Pour la session 2002, priorité sera accordée aux
enseignants n'ayant pas bénéficié récemment d'une
formation.
IV - Informations pour les candidats retenus
L'Agence pour l'enseignement
français à l'étranger (AEFE) communiquera la liste des
candidats admis par télégramme circulaire à tous les postes
diplomatiques concernés. Un programme détaillé de ces stages
et des informations pratiques seront adressés à chacun des stagiaires.
Les frais d'hébergement
seront pris en charge par le ministère de l'éducation nationale.
En ce qui concerne les frais de voyage (de l'étranger jusqu'à
Grenoble ou Lyon), l'AEFE précisera les conditions d'attribution de la
subvention destinée au remboursement des frais engagés par les
établissements.
Pour le ministre de l'éducation
nationale
et par délégation,
Le directeur de l'enseignement
scolaire
Jean-Paul de GAUDEMAR
Annexe
NOTICE
DE CANDIDATURE
Actions de formation continue destinées aux enseignants des établissements
scolaires français à l'étranger - session 2002
Action de Grenoble (premier
degré) ou de Lyon (second degré) (rayer
la mention inutile)
Nom du candidat / M. Mme
Mlle ...................................................................................................
Prénom ......................................................................................................................................
Date de naissance .......................................................................................................................
Depuis combien d'années
êtes-vous en exercice à l'étranger ? .........................................................
Titulaire résident
o Non
titulaire o
(cocher la case correspondante)
Grade (ex. : professeur
des écoles, instituteur, PEGC, professeur certifié, professeur
agrégé, ...)
...................................................................................................................................................
Discipline enseignée .....................................................................................................................
Classes .......................................................................................................................................
Lieu d'exercice et adresse
précise de l'établissement ......................................................................
....................................................................................................................................................
Mél. de l'établissement ..................................................................................................................
Coordonnées personnelles
(en cas de fermeture de l'établissement en février) ....................................
....................................................................................................................................................
Avez-vous déjà participé à un stage de formation
en France ? ............................................................
Si oui, lequel et en quelle
année ? ..................................................................................................
Avez-vous déjà
posé votre candidature à un stage de formation en France ? .......................................
Si oui, lequel et en quelle
année ? ..................................................................................................
Date de nomination dans
le poste actuel .........................................................................................
Date de fin de mission
...................................................................................................................
Je m'engage à participer,
si ma candidature est retenue, au stage de .................................................
et, au cas où je
serais dans l'impossibilité de participer, à en informer la
DESCO dans les délais les plus brefs.
Fait
à ,
le
Avis du chef d'établissement
RECRUTEMENT
Techniciens
de l'éducation nationale, spécialité professionnelle
informatique, bureautique et audiovisuel
NOR : MENA0102143A
RLR : 624-4
ARRÊTÉ DU
10-10-2001
JO DU 18-10-2001
MEN - DPATE A1
FPP
Vu L. n° 83-634 du 13-7-1983
mod., ens. L. n° 84-16 du 11-1-1984 mod. ; D. n° 91-462 du 14-5-1991
mod. ; arrêtés du 15-2-1995
Article 1 - L'article
3 de l'arrêté du 15 février 1995 relatif aux modalités
de recrutement des techniciens de l'éducation nationale dans la spécialité
professionnelle informatique, bureautique et audiovisuel est remplacé
par les dispositions suivantes
:
"Article 3 - Les concours
externe et interne prévus à l'article 62 du décret du 14
mai 1991 susvisé comportent deux épreuves d'admissibilité
et une épreuve d'admission. Ces épreuves seront conçues
de façon à permettre au jury d'apprécier la capacité
du candidat à exercer des missions de conseil technique et d'assistance
et/ou des fonctions d'encadrement conduisant à organiser le travail d'une
équipe ouvrière."
Article 2 - Le
dernier alinéa de l'article 4 du même arrêté est remplacé
par les dispositions suivantes
:
"La deuxième épreuve
consiste en une étude de cas ou d'un dossier technique permettant d'apprécier
et de vérifier les compétences du candidat. Elle vise à
apprécier également l'aptitude du candidat à l'analyse
d'une situation donnée et sa capacité à proposer un projet
d'organisation avec son programme d'actions incluant l'ensemble des paramètres
de réalisation. Le dossier technique peut comporter la manipulation de
pièces et d'éléments matériels."
Article 3 - L'article
5 du même arrêté est remplacé
par les dispositions suivantes
:
"Article 5 - L'épreuve
d'admission consiste en un entretien avec le jury permettant d'apprécier
l'aptitude du candidat à exercer de façon satisfaisante les missions
de conseil technique et d'assistance du technicien de l'éducation nationale,
son degré de connaissance du système éducatif et de son
environnement, ainsi que sa capacité à encadrer une équipe
ouvrière."
Article 4 - Le
tableau figurant à l'article 8 du même arrêté est
remplacé par
le tableau ci-dessous :
ÉPREUVES
|
DURÉES
|
COEFFICIENTS
|
Externe
|
Interne
|
Admissibilité :
- 1ère épreuve
- 2ème épreuve
Admission |
2 heures
5 heures
45 minutes maximum
|
2
3
5
|
2
3
5
|
Article 5 - L'article
9 du même arrêté est modifié
ainsi qu'il suit :
I - Au
1er alinéa, les mots : "les épreuves d'admission auxquelles" sont
remplacés par
les mots : "l'épreuve d'admission à laquelle".
II - Au
2ème alinéa, les mots : "des épreuves d'admission" sont
remplacés par
les mots : "l'épreuve d'admission".
III - Le
dernier alinéa est remplacé
par les dispositions suivantes
:
"Les ex æquo éventuels
sont départagés par la meilleure note obtenue à l'épreuve
d'admission, puis, le cas échéant, par la meilleure des notes
obtenues à l'épreuve d'admissibilité dotée du coefficient
le plus élevé".
Article 6 - L'article
14 du même arrêté est remplacé
par les dispositions suivantes
:
"Article 14 - L'épreuve
d'admission consiste en un entretien avec le jury portant sur le parcours professionnel
et sur le projet professionnel du candidat et permettant d'apprécier
son aptitude à exercer de façon satisfaisante les missions de
conseil technique et d'assistance du technicien de l'éducation nationale,
son degré de connaissance du système éducatif et de son
environnement ainsi que sa capacité à encadrer une équipe
ouvrière."
Article 7 - Le
tableau figurant à l'article 17 du même arrêté est
remplacé par le tableau ci-dessous :
ÉPREUVES
|
DURÉES
|
COEFFICIENTS
|
Admissibilité :
- 1ère épreuve
- 2ème épreuve
Admission |
2 heures
5 heures
45 minutes maximum
|
2
3
5
|
Article 8 - L'annexe
du même arrêté est remplacée
par l'annexe du présent
arrêté.
Article 9 - La
directrice des personnels administratifs, techniques et d'encadrement est chargée
de l'exécution du présent arrêté qui sera publié
au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 10 octobre 2001
Pour le ministre de l'éducation
nationale
et par délégation,
La directrice des personnels
administratifs, techniques
et d'encadrement
Béatrice GILLE
Pour le ministre de la fonction publique et
de la réforme de l'État
et par délégation,
Par empêchement du
directeur général de
l'administration et de la fonction publique,
Le sous-directeur
B. COLONNA D'ISTRIA
Annexe
PROGRAMME ET MODALITÉS
PRATIQUES DES ÉPREUVES DE RECRUTEMENT
I - LES PROGRAMMES
1 - Programme des épreuves d'admissibilité des concours et de
l'examen professionnel (articles 4 et 13)
Le niveau des savoirs
demandé dans les champs technologiques énumérés
ci-après, est établi par référence à celui
nécessaire pour obtenir le baccalauréat professionnel bureautique
(décret du 27 novembre 1985), le baccalauréat professionnel maintenance
des réseaux bureautique et télématique (décret du
27 novembre 1985) et le baccalauréat professionnel maintenance de l'audiovisuel
électronique (décret du 27 novembre 1985). Les tests pourront
porter sur les champs technologiques suivants :
1) L'électricité
(notions appliquées à la bureautique)
- les grandeurs caractéristiques
;
- les lois du courant électrique
;
- l'électrostatique
(notions) ;
- les composants de base
(diodes, transistors, photocoupleurs, amplificateur opérationnel, circuits
intégrés spécialisés), leurs caractéristiques,
leurs principes de fonctionnement, leur fonction.
2) L'informatique (notions
appliquées à la bureautique)
- la logique combinatoire
(les principales fonctions logiques, les théorèmes fondamentaux,
les états logiques, interprétation des logigrammes) ;
- la logique séquentielle
(les bascules, les mémoires) ;
- la logique programmable
(les principes de base de numération, les notions de codage de l'information,
les interfaces, les bus...).
3) Les matériels
bureautiques (matériels de traitement de texte, de gestion d'informations,
de calcul de monétique, de reprographie...), leur installation, leur
maintenance
- les différents
types de matériels bureautiques (y compris les périphériques),
leurs principes généraux de fonctionnement, leurs principaux éléments
et leur utilisation ; les câblages et les systèmes de connexion
(types, rôles, principes de fonctionnement, utilisations) ;
- l'installation des matériels
bureautiques et des systèmes d'exploitation : les règles générales,
les normes, les outils et les matériels utilisés ;
- le diagnostic du degré
de gravité des pannes (les appareils de mesures et de tests), la lecture
des schémas techniques, la maintenance (maintenance de premier niveau)
des matériels bureautiques (les règles générales,
les normes, les outils et les matériels utilisés), l'établissement
de la fiche d'intervention.
4) Le conseil en utilisation
des matériels
- la lecture et la compréhension
des notices techniques, instructions, modes d'emploi, catalogues... ;
- l'explication vis-à-vis
de l'utilisateur du matériel, de ses règles de fonctionnement
et d'utilisation conformément aux prescriptions du fabricant (notamment
en matière de protection des utilisateurs et des matériels) ;
- le conseil dans le choix
des fournitures et dans leur bonne utilisation ;
- le conseil d'utilisation
destiné à pallier les erreurs d'utilisation, les pannes à
répétition...
5) La gestion des fournitures
- les notions de base de
gestion d'un stock de fournitures ;
- l'évaluation des
besoins d'une installation en fournitures (périphériques, accessoires,
pièces de rechange, consommables), les notions de coûts d'utilisation
;
- l'adaptation des fournitures
aux besoins de l'utilisateur, aux caractéristiques du matériel
;
- les règles de stockage
des fournitures.
6) L'hygiène et
la sécurité
- les précautions
à prendre lors du transport des matériels, de l'installation ou
des opérations de maintenance, la prévention des accidents ;
- la conformité de
l'installation et des matériels aux normes de sécurité
en vigueur (les règles, les instruments de vérification, la protection
des installations) ;
- les règles d'utilisation
correcte des matériels et installations, les matériels de protection
de l'utilisateur, les notions de base d'ergonomie.
7) Matériels audiovisuels
- les différents
types de matériels audiovisuels, leurs principes de fonctionnement et
leur utilisation ;
- les installations et équipements
électriques (la structure, les règles générales,
les normes) ;
- les principes généraux
de fonctionnement et le rôle des éléments de base des matériels
audiovisuels (amplificateurs, tuners, antennes, microphones, têtes de
lecture, faisceaux optiques, lampes...) et de leurs principaux composants (transistors,
diodes, tubes, lentilles, membranes, circuits intégrés et hybrides...).
8) Sciences appliquées
à l'audiovisuel
- les principales lois du
courant électrique, de l'optique et de l'acoustique ;
- les principaux systèmes
de codification, de stockage, de transfert et de restitution de l'information
sonore et visuelle ;
- la transmission de l'information
sonore ou visuelle, les pertes durant cette transmission ;
- les éléments
constitutifs de la qualité de la restitution de l'information sonore
ou visuelle.
9) Installation et maintenance
des matériels audiovisuels
- les câblages et
les systèmes de connexion (types, rôles, principes de fonctionnement,
utilisation) ;
- l'installation des matériels
audiovisuels (les règles générales, les standards, les
outils et les matériels utilisés) ;
- la maintenance (maintenance
de premier niveau) des matériels audiovisuels (les règles générales,
les outils et les matériels utilisés).
2 - Programme de l'épreuve d'admission des concours (article 5) et de
l'épreuve d'admission de l'examen professionnel (article 14)
Ces épreuves
nécessitent de tous les candidats une bonne connaissance générale
de l'organisation et du fonctionnement du système éducatif et
de son environnement.
1) Organisation et fonctionnement
du système éducatif
- l'échelon national
: l'administration centrale du ministère de l'éducation nationale
; les inspections générales ; les principaux organismes consultatifs
nationaux ;
- l'échelon académique
: le recteur ; les services administratifs rectoraux ; les inspections régionales
; les conseillers techniques du recteur ; les principaux organismes consultatifs
académiques ;
- l'échelon départemental
: l'inspecteur d'académie, directeur des services départementaux
de l'éducation nationale ; les conseillers techniques de l'inspecteur
d'académie ; les organismes consultatifs départementaux ; les
inspecteurs de l'échelon départemental ;
- les différents
établissements d'enseignement ;
- notions générales
sur les principaux établissements publics sous tutelle ;
- les personnels enseignants
et non enseignants et notamment le statut des personnels ouvriers de l'éducation
nationale, leurs missions et leurs obligations de service ;
- la formation initiale
et continue des personnels ;
- les relations entre les
divers intervenants.
2) L'environnement du
système éducatif
Les candidats doivent avoir
des notions sur :
- le rôle, les compétences
et les structures des collectivités territoriales dans le domaine de
l'éducation nationale ;
- les autres services de
l'État pouvant intervenir dans ce domaine ;
- les entreprises du secteur
privé et parapublic. Par ailleurs, des questions pourront être
posées afin d'apprécier le degré des connaissances du candidat
sur les différents contrats de maintenance et d'exploitation ainsi que
sur l'estimation des interventions et des systèmes (coût d'une
solution technique et d'une intervention, moyens de réduire les coûts
du système et du service).
II - LES MODALITÉS PRATIQUES
1 - Dispositions communes à toutes les épreuves
Les épreuves
ne portent pas obligatoirement sur l'ensemble des points du programme, mais
sur un nombre suffisant de champs pour permettre d'apprécier les qualités
professionnelles des candidats ; les épreuves peuvent combiner plusieurs
de ces champs au sein d'un même test.
Les épreuves des
concours et de l'examen professionnel font appel à la fois aux connaissances
théoriques et pratiques des candidats.
Une attention toute particulière
sera portée aux connaissances théoriques attendues de la part
des candidats au concours externe.
Dans le cadre du concours
interne et de l'examen professionnel, le jury s'attachera à déceler
les connaissance pratiques acquises par le candidat ainsi que le profit qu'il
aura tiré de ses activités professionnelles antérieures
et il les privilégiera par rapport aux connaissances théoriques.
L'aptitude à l'encadrement
du candidat doit être entendue comme l'aptitude à assumer tous
les aspects de la direction d'une équipe ouvrière et doit être
mesurée essentiellement dans ses manifestations pratiques : capacité
à analyser une tâche à effectuer, à en apprécier
la difficulté, la durée et le coût, à concevoir et
organiser l'ensemble de sa réalisation et à en répartir
les différents éléments entre tous les membres de l'équipe,
à s'assurer de la bonne exécution de la tâche et particulièrement
à veiller au respect par tous des règles d'hygiène et de
sécurité, à connaître les normes et les organismes
responsables dans ce domaine, à apporter conseils et aide aux membres
de l'équipe, à se tenir au courant de l'évolution des matériels
et des techniques.
Au début de chaque
épreuve les documents professionnels que le jury a estimé nécessaires
au passage de l'épreuve (schémas, plans, catalogues, tables...)
sont mis à disposition du candidat.
2 - Dispositions propres aux épreuves d'admissibilité des concours
et de l'examen professionnel
Ces épreuves
ont pour objet de vérifier la capacité des candidats à
:
1) Dans les domaines
de compétences communes à l'informatique, la bureautique et l'audiovisuel
- définir le système
technique dont l'objet technique, sur lequel il est susceptible d'intervenir,
est un des éléments ;
- situer l'objet technique
au sein du système technique auquel il appartient ;
- citer la fonction d'usage
de l'objet technique et à l'expliciter par la justification de l'agencement
des fonctions principales qui contribuent à la réalisation de
cette fonction d'usage ;
- appréhender et
maîtriser, à l'aide de concepts, les caractéristiques de
l'objet technique en fonctionnement, lesquelles constitueront la référence
;
- énoncer le processus
de fonctionnement de l'objet technique en suivant une démarche algorithmique,
après étude des documents nécessaires à l'appropriation
de l'objet technique ;
- déterminer les
causes certaines de dysfonctionnement imputables au matériel, pour cela
: effectuer les mesures les plus pertinentes sur des supports physiques d'interconnexion,
interpréter et exploiter les résultats des mesurages afin de pouvoir
identifier au plus près les causes de dysfonctionnement, identifier les
modes de fonctionnement de réseaux tant du point de vue des supports
physiques d'interconnexion que des procédures utilisées ;
- effectuer des mesures
et des essais pertinents en ayant la connaissance de l'utilisation des appareils
de mesure, de réglage en usage en électronique et en interpréter
correctement les résultats ;
- effectuer les mesures
les plus pertinentes dont l'exploitation des résultats doit permettre
de réduire le champ d'investigation afin de définir la (ou les)
fonction(s) secondaire(s) en cause ;
- comparer les résultats
de mesures obtenus aux résultats attendus afin de pouvoir délimiter
l'ensemble des composants qui est en dysfonctionnement ; choisir, à ce
stade du processus d'intervention, la méthode et les outils les mieux
appropriés pour remédier au dysfonctionnement ;
- mettre en uvre cette
méthode, en prenant en compte la dimension économique ; restituer
l'objet technique, conforme aux spécifications du constructeur ; assurer
une maintenance préventive, quand elle est prévue, des matériels
de l'audiovisuel électronique ;
- mettre en situation l'objet
technique, en se référant éventuellement à la documentation
appropriée, de façon à permettre le constat de dysfonctionnement
ou de non-fonctionnement ;
- analyser, en cas de dysfonctionnement,
la nature de celui-ci afin d'en déduire la (ou les) fonction(s) principale(s)
dont les caractéristiques devront être contrôlées
afin de cerner la cause possible de ce dysfonctionnement ;
- repérer, en cas
de non-fonctionnement ou de dysfonctionnement, sur le schéma structurel
sélectionné dans le manuel technique, les structures qui remplissent
les fonctions principales sur lesquelles vont porter les investigations ;
- réaliser le raccordement
de systèmes reconnus compatibles ;
- préparer, installer,
conseiller un réseau multimédia ;
- mettre en uvre les
normes d'hygiène et de sécurité.
2) Dans les domaines
de compétence propres à l'informatique et à la bureautique
- exploiter les normes concernant
les services du réseau public ;
- sur un système,
déterminer les causes de dysfonctionnement de matériels micro-informatiques,
soit : identifier la configuration du système, procéder à
l'analyse fonctionnelle des mécanismes et procédures de commande,
repérer les différentes technologies mises en uvre dans
les unités centrales et les périphériques, identifier le
sous-système cause du dysfonctionnement, utiliser un système d'exploitation
et les progiciels couramment utilisés en bureautique ;
- dans un système
micro-informatique, appréhender les principes de fonctionnement mis en
uvre, pour la gestion des ressources, par l'unité de traitement,
et résoudre les problèmes de connectique liés à
l'hétérogénéité des matériels.
3) Dans les domaines
de compétences propres à l'audiovisuel
- expliciter les normes
applicables aux équipements audiovisuels ;
- analyse et synthèse
de l'image ;
- production de signaux
sinusoïdaux radio-fréquences ;
- synthèse de fréquence
;
- transposition de fréquence
;
- transmission de signaux
: analogiques, numériques.
Par ailleurs, s'agissant
de chacune des épreuves, les précisions suivantes doivent être
apportées :
Première épreuve
: l'épreuve comporte
plusieurs tests distincts susceptibles d'appeler des réponses brèves
ou des réponses rédigées sans qu'il s'agisse de dissertations.
Deuxième épreuve
: cette épreuve se
présente sous la forme d'une étude de cas ou d'un dossier technique
pouvant comporter notamment une note technique, des schémas ou croquis
à analyser, à remplir ou à compléter, des grilles,
des diagrammes, la détection de panne. Elle vise à apprécier
l'aptitude du candidat à analyser une situation donnée, un besoin,
une commande, un problème technique ponctuel, ainsi qu'à proposer
un projet d'organisation avec son programme d'actions incluant l'ensemble des
paramètres de réalisation, tels que par exemple le calendrier,
le coût, la formation. L'épreuve peut également impliquer
la manipulation de pièces et d'éléments matériels.
3 - Dispositions propres à l'épreuve d'admission des concours
Le jury appréciera
les qualités de communication du candidat, son aptitude à négocier,
à fournir des prestations de conseil technique et d'assistance, de même
que sa capacité à encadrer une équipe ouvrière et
à jouer un rôle de formateur.
L'épreuve inclut
également une vérification du degré de connaissance du
système éducatif et de son environnement que possède le
candidat. Celui-ci doit notamment posséder des notions quant au mode
de fonctionnement d'un établissement au plan interne comme dans ses relations
avec l'extérieur et quant aux rôles respectifs des personnes qui
participent à l'action éducative.
Pour les candidats au concours
externe, le niveau demandé ne devra pas dépasser celui des connaissances
de base.
Il est demandé aux
candidats au concours interne de bonnes connaissances du niveau académique
et des connaissances élémentaires sur les autres niveaux.
Tous les candidats (concours
externe et interne) doivent également posséder une bonne connaissance
des statuts des personnels ouvriers de l'éducation nationale, de leurs
missions et de leurs obligations de service.
4 - Dispositions propres à l'épreuve d'admission de l'examen professionnel
L'appréciation
du jury porte sur les mêmes points que ceux énoncés ci-dessus
pour l'épreuve d'admission des concours.
Comme pour le concours interne,
il est demandé au candidat, pour ce qui concerne la connaissance du système
éducatif et de son environnement, de bonnes connaissances du niveau académique
et des connaissances élémentaires sur les autres niveaux, ainsi
qu'une bonne appréhension des statuts, des missions et des obligations
de service des personnels ouvriers.
En outre, l'entretien portera
sur le parcours professionnel du candidat et sur son projet professionnel.
RECRUTEMENT
Techniciens
de l'éducation nationale, spécialité professionnelle restauration
collective
NOR : MENA0102146A
RLR : 624-4
ARRÊÉ DU 10-10-2001
JO DU 18-10-2001
MEN - DPATE A1
FPP
Vu L. n° 83-634 du 13-7-1983
mod., ens. L. n° 84-16 du 11-1-1984 mod ; D. n° 91-462 du 14-5-1991
mod. ; arrêtés du 15-2-1995
Article 1 - L'article
3 de l'arrêté du 15 février 1995 relatif aux modalités
de recrutement des techniciens de l'éducation nationale dans la spécialité
professionnelle restauration collective est remplacé
par les dispositions suivantes
:
"Article 3 - Les concours
externe et interne prévus à l'article 62 du décret du 14
mai 1991 susvisé comportent deux épreuves d'admissibilité
et une épreuve d'admission. Ces épreuves seront conçues
de façon à permettre au jury d'apprécier la capacité
du candidat à exercer des missions de conseil technique et d'assistance
et/ou des fonctions d'encadrement conduisant à organiser le travail d'une
équipe ouvrière."
Article 2 - Le
dernier alinéa de l'article 4 du même arrêté est remplacé
par les dispositions suivantes
:
"La deuxième épreuve
consiste en une étude de cas ou d'un dossier technique portant sur l'étendue
de la spécialité et permettant d'apprécier et de vérifier
les compétences du candidat. Elle vise à apprécier également
l'aptitude du candidat à l'analyse d'une situation donnée et sa
capacité à proposer des conseils en organisation de la restauration
collective."
Article 3 - L'article
5 du même arrêté est remplacé
par les dispositions suivantes
:
"Article 5 - L'épreuve
d'admission consiste en un entretien avec le jury permettant d'apprécier
l'aptitude du candidat à exercer de façon satisfaisante les missions
de conseil technique et d'assistance du technicien de l'éducation nationale,
son degré de connaissance du système éducatif et de son
environnement, ainsi que sa capacité à encadrer une équipe
ouvrière."
Article 4 - Le
tableau figurant à l'article 8 du même arrêté est
remplacé par
le tableau ci-dessous :
ÉPREUVES
|
DURÉES
|
COEFFICIENTS
|
Externe
|
Interne
|
Admissibilité :
- 1ère épreuve
- 2ème épreuve
Admission |
2 heures
4 heures
45 minutes maximum
|
2
3
5
|
2
3
5
|
Article 5 - L'article
9 du même arrêté est modifié
ainsi qu'il suit :
I - Au
1er alinéa, les mots : "les épreuves d'admission auxquelles" sont
remplacés par
les mots : "l'épreuve d'admission à laquelle".
II - Au
2ème alinéa, les mots : "des épreuves d'admission" sont
remplacés par
les mots : "l'épreuve d'admission".
III - Le
dernier alinéa est remplacé
par les dispositions suivantes
:
"Les ex æquo éventuels
sont départagés par la meilleure note obtenue à l'épreuve
d'admission, puis, le cas échéant, par la meilleure des notes
obtenues à l'épreuve d'admissibilité dotée du coefficient
le plus élevé."
Article 6 - L'article
14 du même arrêté est remplacé
par les dispositions suivantes
:
"Article 14 - L'épreuve
d'admission consiste en un entretien avec le jury portant sur le parcours professionnel
et sur le projet professionnel du candidat et permettant d'apprécier
son aptitude à exercer de façon satisfaisante les missions de
conseil technique et d'assistance du technicien de l'éducation nationale,
son degré de connaissance du système éducatif et de son
environnement ainsi que sa capacité à encadrer une équipe
ouvrière."
Article 7 - Le
tableau figurant à l'article 17 du même arrêté est
remplacé par le tableau ci-dessous :
ÉPREUVES
|
DURÉES
|
COEFFICIENTS
|
Admissibilité :
- 1ère épreuve
- 2ème épreuve
Admission |
2 heures
4 heures
45 minutes maximum
|
2
3
5
|
Article 8 - L'annexe
du même arrêté est remplacée
par l'annexe du présent
arrêté.
Article 9 - La
directrice des personnels administratifs, techniques et d'encadrement est chargée
de l'exécution du présent arrêté qui sera publié
au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le
10 octobre 2001
Pour le ministre de l'éducation
nationale
et par délégation,
La directrice des personnels
administratifs, techniques
et d'encadrement
Béatrice GILLE
Pour le ministre de la fonction publique et
de la réforme de l'État
et par délégation,
Par empêchement du
directeur général de
l'administration et de la fonction publique,
Le sous-directeur
B. COLONNA D'ISTRIA
Annexe
PROGRAMME ET MODALITÉS
PRATIQUES DES ÉPREUVES DE RECRUTEMENT
I - LES PROGRAMMES
1 - Programme des
épreuves d'admissibilité des concours et de l'examen professionnel
(articles 4 et 13)
Le niveau des savoirs
demandé dans les champs technologiques énumérés
ci-après est établi par référence à celui
nécessaire pour obtenir le baccalauréat professionnel restauration
(arrêté du 27 août 1987). Les tests pourront porter sur les
champs technologiques suivants :
1) Les produits alimentaires
- les produits d'origine
végétale et animale ;
- les produits semi-élaborés
;
- les vins et alcools utilisés
en cuisine ;
- la gestion des produits
;
- la conservation des produits.
2) Les préparations
et les cuissons
Les fonds et sauces de base,
les hors-d'uvre, les modes de liaison, les pâtes, farinages à
base de céréales, les plats cuisinés à l'avance
(gestion, conservation), les potages, les préparations de base, les sauces
émulsionnées.
3) La culture technologique
(connaissances de base)
- l'éducation du
goût et de l'odorat ;
- le vocabulaire culinaire
;
- la diététique.
4) Les personnels
- les règles d'hygiène
corporelle et vestimentaire ;
- l'ensemble des règles
de comportement à observer dans une cuisine ;
- le rôle de conseil
en organisation du travail, notamment en cuisine centrale.
5) L'hygiène générale
et alimentaire
- les besoins de l'organisme
;
- l'étude des nutriments
;
- les notions élémentaires
sur les fermentations ;
- l'étude des aliments
usuels, leur utilisation, leur conservation ;
- la pratique de l'alimentation
;
- l'hygiène générale
et professionnelle ;
- le rôle de conseil
aux personnels ;
- le cadre de vie (environnement,
sécurité) ;
- la réglementation,
les normes.
6) Les notions de gestion
- l'évaluation des
coûts, les commandes ;
- la réception des
produits, la gestion des stocks ;
- les logiciels de restauration.
7) L'entretien des matériels
et les équipements de la cuisine
- les installations de cuisine
;
- le matériel de
cuisine ;
- les équipements
fondamentaux de la cuisine et du restaurant ;
- la protection des équipements.
8) Les recettes et les
menus
Il est demandé une
connaissance des données de base nécessaires pour l'élaboration
des recettes et des menus, à savoir :
- les rationnaires ;
- les personnels à
disposition (quantité et qualité) ;
- les matériels à
disposition ;
- les produits disponibles
;
- le budget ;
- les fiches techniques.
9) Les domaines connexes
Savoirs de base dans les
trois domaines suivants :
- pâtisserie ;
- boucherie ;
- charcuterie-traiteur.
Pour chacun des champs ci-dessus,
sera vérifiée la connaissance des évolutions technologiques
récentes concernant, d'une part, les matériels de cuisine, d'autre
part, la présentation, la préparation, le conditionnement des
produits (produits déshydratés, sous vide...) et, en conséquence,
les modes d'utilisation de ceux-ci ; à cette occasion, une attention
particulière sera portée aux savoirs concernant la liaison chaude,
la liaison froide (réfrigérée, surgelée...), et
les cuisines centrales.
En outre, seront demandées
des connaissances concernant les normes d'hygiène et de sécurité
propres à l'exercice professionnel, notamment celles propres à
la restauration collective, ainsi que sur les matériels courants utilisés
et leur mode d'utilisation normal.
2 - Programme de l'épreuve d'admission des concours (article 5) et
de l'épreuve d'admission de l'examen professionnel (article 14)
Ces épreuves
nécessitent de tous les candidats une bonne connaissance générale
de l'organisation et du fonctionnement du système éducatif et
de son environnement.
1) Organisation et fonctionnement
du système éducatif
- l'échelon national
: l'administration centrale du ministère de l'éducation nationale
; les inspections générales ; les principaux organismes consultatifs
nationaux ;
- l'échelon académique
: le recteur ; les services administratifs rectoraux ; les inspections régionales
; les conseillers techniques du recteur ; les principaux organismes consultatifs
académiques ;
- l'échelon départemental
: l'inspecteur d'académie, directeur des services départementaux
de l'éducation nationale ; les conseillers techniques de l'inspecteur
d'académie ; les organismes consultatifs départementaux ; les
inspecteurs de l'échelon départemental ;
- les différents
établissements d'enseignement ;
- notions générales
sur les principaux établissements publics sous tutelle ;
- les personnels enseignants
et non enseignants et notamment le statut des personnels ouvriers de l'éducation
nationale, leurs missions et leurs obligations de service ;
- la formation initiale
et continue des personnels ;
- les relations entre les
divers intervenants.
2) L'environnement du
système éducatif
Les candidats doivent avoir
des notions sur :
- le rôle, les compétences
et les structures des collectivités territoriales dans le domaine de
l'éducation nationale ;
- les autres services de
l'État pouvant intervenir dans ce domaine ;
- les entreprises du secteur
privé et parapublic.
Par ailleurs, des questions
pourront être posées afin d'apprécier le degré des
connaissances du candidat sur les différents contrats de maintenance
et d'exploitation ainsi que sur l'estimation des interventions et des systèmes
(coût d'une solution technique et d'une intervention, moyens de réduire
les coûts du système et du service).
II - LES
MODALITÉS PRATIQUES
Les épreuves
ne portent pas obligatoirement sur l'ensemble des points du programme, mais
sur un nombre suffisant de champs pour permettre d'apprécier les qualités
professionnelles des candidats ; les épreuves peuvent combiner plusieurs
de ces champs au sein d'un même test.
Les épreuves des
concours et de l'examen professionnel font appel à la fois aux connaissances
théoriques et pratiques des candidats.
Une attention toute particulière
sera portée aux connaissances théoriques attendues de la part
des candidats au concours externe.
Dans le cadre du concours
interne et de l'examen professionnel, le jury s'attachera à déceler
les connaissances pratiques acquises par le candidat ainsi que le profit qu'il
aura tiré de ses activités professionnelles antérieures
et il les privilégiera par rapport aux connaissances théoriques.
L'aptitude à l'encadrement
du candidat doit être entendue comme l'aptitude à assumer tous
les aspects de la direction d'une équipe ouvrière et doit être
mesurée essentiellement dans ses manifestations pratiques : capacité
à analyser une tâche à effectuer, à en apprécier
la difficulté, la durée et le coût, à concevoir et
organiser l'ensemble de sa réalisation et à en répartir
les différents éléments entre tous les membres de l'équipe,
à s'assurer de la bonne exécution de la tâche et particulièrement
à veiller au respect par tous des règles d'hygiène et de
sécurité, à connaître les normes et les organismes
responsables dans ce domaine, à apporter conseils et aide aux membres
de l'équipe, à se tenir au courant de l'évolution des matériels
et des techniques.
Au début de chaque
épreuve les documents professionnels que le jury a estimé nécessaires
au passage de l'épreuve (schémas, plans, catalogues, tables...)
sont mis à disposition du candidat.
1 - Dispositions propres
aux épreuves d'admisssibilité des concours et de l'examen professionnel
La deuxième épreuve
vise à apprécier les capacités du candidat en matière
d'analyse et de conseil en organisation de la restauration collective. Elle
est conçue sous la forme d'une étude de cas ou d'un dossier technique.
Le candidat devra rédiger une note contenant des propositions motivées
à partir de l'analyse des avantages et des inconvénients d'une
installation déjà existante ou à venir
2 - Dispositions propres
à l'épreuve d'admission des concours
Le jury appréciera
les qualités de communication du candidat, son aptitude à négocier,
à fournir des prestations de conseil technique et d'assistance, de même
que sa capacité à encadrer une équipe ouvrière et
à jouer un rôle de formateur.
L'épreuve inclut
également une vérification du degré de connaissance du
système éducatif et de son environnement que possède le
candidat. Celui-ci doit notamment posséder des notions quant au mode
de fonctionnement d'un établissement au plan interne comme dans ses relations
avec l'extérieur et quant aux rôles respectifs des personnes qui
participent à l'action éducative.
Pour les candidats au concours
externe, le niveau demandé ne devra pas dépasser celui des connaissances
de base.
Il est demandé aux
candidats au concours interne de bonnes connaissances du niveau académique
et des connaissances élémentaires sur les autres niveaux.
Tous les candidats (concours
externe et interne) doivent également posséder une bonne connaissance
des statuts des personnels ouvriers de l'éducation nationale, de leurs
missions et de leurs obligations de service.
3 - Dispositions propres
à l'épreuve d'admission de l'examen professionnel
L'appréciation
du jury porte sur les mêmes points que ceux énoncés ci-dessus
pour l'épreuve d'admission des concours.
Comme pour le concours interne,
il est demandé au candidat, pour ce qui concerne la connaissance du système
éducatif et de son environnement, de bonnes connaissances du niveau académique
et des connaissances élémentaires sur les autres niveaux, ainsi
qu'une bonne appréhension des statuts, des missions et des obligations
de service des personnels ouvriers.
En outre, l'entretien portera
sur le parcours professionnel du candidat et sur son projet professionnel.
RECRUTEMENT
Techniciens
de l'éducation nationale, spécialité professionnelle équipements
techniques et énergie
NOR : MENA0102147A
RLR : 624-4
ARRÊTÉ DU 10-10-2001
JO DU 18-10-2001
MEN - DPATE A1
FPP
Vu L. n° 83-634 du 13-7-1983
mod., ens. L. n° 84-16 du 11-1-1984 mod. ; D. n° 91-462 du 14-5-1991
mod. ; arrêtés du 15-2-1995
Article 1 - L'article
3 de l'arrêté du 15 février 1995 relatif aux modalités
de recrutement des techniciens de l'éducation nationale dans la spécialité
professionnelle équipements techniques et énergie est remplacé
par les dispositions suivantes
:
"Article 3 - Les concours
externe et interne prévus à l'article 62 du décret du 14
mai 1991 susvisé comportent deux épreuves d'admissibilité
et une épreuve d'admission. Ces épreuves seront conçues
de façon à permettre au jury d'apprécier la capacité
du candidat à exercer des missions de conseil technique et d'assistance
et/ou des fonctions d'encadrement conduisant à organiser le travail d'une
équipe ouvrière."
Article 2 - Le
dernier alinéa de l'article 4 du même arrêté est remplacé
par les dispositions suivantes
:
"La deuxième épreuve
consiste en une étude de cas ou d'un dossier technique permettant d'apprécier
les qualités de réflexion et le sens de l'organisation du candidat.
Elle comporte l'analyse d'une situation nécessitant le traitement et
la réalisation d'une opération de maintenance et/ou de rénovation,
ainsi que la présentation d'un compte rendu et/ou d'une proposition de
modification. Le questionnement pourra porter sur l'exploitation et l'utilisation
des matériels et outils de mesure couramment utilisés dans la
profession et impliquer la réalisation de schémas ou croquis partiels."
Article 3 - L'article
5 du même arrêté est remplacé
par les dispositions suivantes
:
"Article 5 - L'épreuve
d'admission consiste en un entretien avec le jury permettant d'apprécier
l'aptitude du candidat à exercer de façon satisfaisante les missions
de conseil technique et d'assistance du technicien de l'éducation nationale,
son degré de connaissance du système éducatif et de son
environnement, ainsi que sa capacité à encadrer une équipe
ouvrière."
Article 4 - Le
tableau figurant à l'article 8 du même arrêté est
remplacé par
le tableau ci-dessous :
ÉPREUVES
|
DURÉES
|
COEFFICIENTS
|
Externe
|
Interne
|
Admissibilité :
- 1ère épreuve
- 2ème épreuve
Admission |
2 heures
4 heures
45 minutes maximum
|
2
3
5
|
2
3
5
|
Article 5 - L'article
9 du même arrêté est modifié
ainsi qu'il suit :
I - Au
1er alinéa, les mots : "les épreuves d'admission auxquelles" sont
remplacés par
les mots : "l'épreuve d'admission à laquelle".
II - Au
2ème alinéa, les mots : "des épreuves d'admission" sont
remplacés par
les mots : "l'épreuve d'admission".
III - Le
dernier alinéa est remplacé
par les dispositions suivantes
:
"Les ex æquo éventuels
sont départagés par la meilleure note obtenue à l'épreuve
d'admission, puis, le cas échéant, par la meilleure des notes
obtenues à l'épreuve d'admissibilité dotée du coefficient
le plus élevé."
Article 6 - L'article
14 du même arrêté est remplacé
par les dispositions suivantes
:
"Article 14 - L'épreuve
d'admission consiste en un entretien avec le jury portant sur le parcours professionnel
et sur le projet professionnel du candidat et permettant d'apprécier
son aptitude à exercer de façon satisfaisante les missions de
conseil technique et d'assistance du technicien de l'éducation nationale,
son degré de connaissance du système éducatif et de son
environnement ainsi que sa capacité à encadrer une équipe
ouvrière."
Article 7 - Le
tableau figurant à l'article 17 du même arrêté est
remplacé par
le tableau ci-après :
ÉPREUVES
|
DURÉES
|
COEFFICIENTS
|
Admissibilité :
- 1ère épreuve
- 2ème épreuve
Admission |
2 heures
5 heures
45 minutes maximum
|
2
3
5
|
Article 8 - L'annexe
du même arrêté est remplacée
par l'annexe du présent
arrêté.
Article 9 - La
directrice des personnels administratifs, techniques et d'encadrement est chargée
de l'exécution du présent arrêté qui sera publié
au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le
10 octobre 2001
Pour le ministre de l'éducation
nationale
et par délégation,
La directrice des personnels
administratifs, techniques et d'encadrement
Béatrice GILLE
Pour le ministre de la fonction publique et de la réforme de l'État
et par délégation,
Par empêchement du
directeur général de
l'administration et de la fonction publique,
Le sous-directeur
B. COLONNA D'ISTRIA
Annexe
PROGRAMME ET MODALITÉS
PRATIQUES DES ÉPREUVES DE RECRUTEMENT
I - LES PROGRAMMES
1 - Programmes des épreuves d'admissibilité des concours et
de l'examen professionnel (articles 4 et 13)
Le niveau des savoirs
demandé dans les champs technologiques énumérés
ci-après est établi par référence à celui
nécessaire pour obtenir le baccalauréat professionnel équipements
et installations électriques (arrêté du 3 septembre 1997),
le baccalauréat professionnel énergétique options A et
B (arrêté du 29 juillet 1998). Les tests pourront porter sur les
champs technologiques suivants :
1) Physique appliquée
1.1 Mécanique
- Statique : modélisation
des actions ; conditions d'équilibre ;
- Cinématique : translation
; rotation ; transformation des mouvements ;
- Résistance des
matériaux : traction ; flexion ; torsion ; flambage.
1.2 Mécanique des
fluides
- Statique des fluides :
pressions ; conversion d'unités ; fluides compressibles, forces engendrées
par une pression ;
- Dynamique des fluides
: écoulements gravitaires ; écoulements forcés ; compresseurs
; pompes ; ventilateurs.
1.3 Thermodynamique
- Vaporisation, condensation
;
- Air humide ;
- Diagramme d'air humide
;
- Climatisation ;
- Point de rosée.
1.4 Thermocinétique
- Transmission de chaleur
: conduction ; rayonnement ; convection ;
- Caractéristiques
des bâtiments : résistance thermique ; inertie.
1.5 Électricité
- Mesures des courants :
tension ; intensité ; puissance ; résistance ; appareillage de
protection ; moteurs mono et triphasés ;
- Couplage étoile-triangle.
2) Automatisme régulation
2.1 Commandes
- Boucles de régulation
;
- Régulateurs non
progressifs ;
- Régulateurs progressifs
;
- Programmateurs.
2.2 Mesures
- Transducteurs : température
; pression ; humidité ; métrologie ; débit ; vitesse d'air
; présence ; pollution ;
- Mesures des organes de
puissance.
2.3 Transmissions
Transmission des données
: analogiques, logiques ; numériques ; pneumatiques.
2.4 Gestion des processus
- Domotique ;
- Gestion de technique centralisée
(GTC) ;
- Automates ;
- Télématique
;
- Modem ;
- Télésurveillance.
3) Chimie
3.1 Fluides
- Fluides frigorigènes
;
- Fluides frigoporteurs
;
- Fluides caloporteurs ;
- Huiles frigorifiques ;
- Missibilité.
3.2 Traitement des eaux
- Caractéristiques
de l'eau : pH, TH, TAC... ;
- Principe de traitement
des eaux ;
- Protections sanitaires
des réseaux.
3.3 Combustion
- Brûleurs 1 et 2
allures ;
- Chaudières gaz,
fuel ;
- Méthodes de réglages
;
- Consommation combustible
: ponctuelle ; annuelle.
3.4 Conservation des produits
- Risques d'altération
des produits ;
- Plats cuisinés
à l'avance et réfrigérés ou congelés.
3 bis) Électricité
3 bis.1 Distribution de
l'énergie
- Réseaux MT et postes
MT ;
- Transformateurs MT/BT
;
- Réseaux BT ;
- Gestion de l'énergie
;
- Régimes de neutre
;
- Protection des matériels
(coordination et sélectivité) ;
- Apareillages.
3 bis.2 Utilisation de l'énergie
Éclairagisme.
3 bis.3 Installations industrielles
et équipements
- Installations domestiques,
industrielles ;
- Équipements BT
;
- Équipements HT.
4) Étude et participation
à la conception
4.1 Décodage
- Conventions spécifiques
;
- Étude des formes,
des fonctions, des modes d'assemblages...
4.2 Schéma
- Symbolisation ;
- Grapho-analytique ;
- Association pompe-réseaux
;
- Ventilateur-réseaux
;
- Compresseur-échangeurs
;
- Circuit de commande, de
puissance et de protection ;
- Schémas fonctionnels
de principe et de raccordement ;
- Algorithmes, GRAFCET...;
- Schématisation
des appareils et des conducteurs ;
- Programmation des régulations.
4.3 Conception et implantation
des dispositifs (rénovation et extension)
Projet du bureau d'étude.
5) Dimensionnement (rénovation
et extension)
5.1 Réseaux fluidiques
Règles de calculs
et participation au projet du bureau d'étude.
5.2 Réseaux électriques
- Conducteurs ;
- Règles en vigueur
;
- Projet du bureau d'étude
;
- Circuit commande ;
- Circuit puissance ;
- Schéma de régulation
électronique et pneumatique.
6) Sécurité
6.1 Personnels
- Agencement du poste de
travail ;
- Mise en conformité
de sécurité du poste de travail ;
- Règles de déplacement
;
- Ergonomie de la manipulation
;
- Règles de manipulation
des matériels, des énergies et des produits toxiques ;
- Mise à la terre
;
- Règles d'accès
aux parties commandes sous tension et hors tension ;
- Indice de protection des
enveloppes ;
- Règles de mise
hors tension ;
- Habilitation des personnes
;
- Sélectivité
des protections différentielles...;
- Régimes de neutre.
6.2 Matériels
- Risques d'incendie et
d'explosion ;
- Choix des extincteurs
;
- Risques de pollution associés
: aux équipements ; aux matériaux utilisés ; aux fluides
utilisés ;
- Organismes de sécurité
agréés ;
- Contrôles obligatoires
;
- Sécurité
et prévention dans l'établissement.
2 - Programme de l'épreuve d'admission des concours (article 5) et
de l'épreuve d'admission de l'examen professionnel (article 14)
Ces épreuves
nécessitent de tous les candidats une bonne connaissance générale
de l'organisation et du fonctionnement du système éducatif et
de son environnement.
1) Organisation et fonctionnement
du système éducatif
- l'échelon national
: l'administration centrale du ministère de l'éducation nationale
; les inspections générales ; les principaux organismes consultatifs
nationaux ;
- l'échelon académique
: le recteur ; les services administratifs rectoraux ; les inspections régionales
; les conseillers techniques du recteur ; les principaux organismes consultatifs
académiques ;
- l'échelon départemental
: l'inspecteur d'académie, directeur des services départementaux
de l'éducation nationale ; les conseillers techniques de l'inspecteur
d'académie ; les organismes consultatifs départementaux ; les
inspecteurs de l'échelon départemental ;
- les différents
établissements d'enseignement ;
- notions générales
sur les principaux établissements publics sous tutelle :
- les personnels enseignants
et non enseignants et notamment le statut des personnels ouvriers de l'éducation
nationale, leurs missions et leurs obligations de service ;
- la formation initiale
et continue des personnels ;
- les relations entre les
divers intervenants.
2) L'environnement du
système éducatif
Les candidats doivent avoir
des notions sur :
- le rôle, les compétences
et les structures des collectivités territoriales dans le domaine de
l'éducation nationale ;
- les autres services de
l'État pouvant intervenir dans ce domaine ;
- les entreprises du secteur
privé et parapublic.
Par ailleurs, des questions
pourront être posées afin d'apprécier le degré des
connaissances du candidat sur les différents contrats de maintenance
et d'exploitation ainsi que sur l'estimation des interventions et des systèmes
(coût d'une solution technique et d'une intervention, moyens de réduire
les coûts du système et du service).
II - LES MODALITÉS PRATIQUES
1 - Dispositions communes à toutes les épreuves
Les épreuves
ne portent pas obligatoirement sur l'ensemble des points du programme, mais
sur un nombre suffisant de champs pour permettre d'apprécier les qualités
professionnelles des candidats ; les épreuves peuvent combiner plusieurs
de ces champs au sein d'un même test.
Les épreuves des
concours et de l'examen professionnel font appel à la fois aux connaissances
théoriques et pratiques des candidats.
Une attention toute particulière
sera portée aux connaissances théoriques attendues de la part
des candidats au concours externe.
Dans le cadre du concours
interne et de l'examen professionnel, le jury s'attachera à déceler
les connaissances pratiques acquises par le candidat ainsi que le profit qu'il
aura tiré de ses activités professionnelles antérieures
et il les privilégiera par rapport aux connaissances théoriques.
L'aptitude à l'encadrement
du candidat doit être entendue comme l'aptitude à assumer tous
les aspects de la direction d'une équipe ouvrière et doit être
mesurée essentiellement dans ses manifestations pratiques : capacité
à analyser une tâche à effectuer, à en apprécier
la difficulté, la durée et le coût, à concevoir et
organiser l'ensemble de sa réalisation et à en répartir
les différents éléments entre tous les membres de l'équipe,
à s'assurer de la bonne exécution de la tâche et particulièrement
à veiller au respect par tous des règles d'hygiène et de
sécurité, à connaître les normes et les organismes
responsables dans ce domaine, à apporter conseils et aide aux membres
de l'équipe, à se tenir au courant de l'évolution des matériels
et des techniques.
Au début de chaque
épreuve les documents professionnels que le jury a estimé nécessaires
au passage de l'épreuve (schémas, plans, catalogues, tables...)
sont mis à disposition du candidat.
2 - Dispositions propres aux épreuves d'admissibilité des concours
et de l'examen professionnel
Première épreuve
: à partir de documents
fournis (dossiers techniques, dossiers-machines, dossiers de maintenance, plans
industriels...), l'épreuve a pour but de vérifier que, à
partir de ses connaissances scientifiques et techniques, le candidat est en
mesure de les mobiliser pour conduire l'étude d'un système pluritechnique.
À partir d'un ou
plusieurs champs figurant au programme, le candidat doit être capable
de définir son organisation et sa méthode et de montrer sa maîtrise
des savoirs et des savoirs-faire requis au niveau demandé.
Deuxième épreuve
: cette épreuve se
présente sous la forme d'une étude de cas ou d'un dossier technique
permettant de vérifier que le candidat est capable de mener à
bien une opération de maintenance et/ou de rénovation.
Il doit être en mesure
d'établir un bilan technique et économique de l'opération.
Il lui appartient de présenter
un compte rendu et/ou une proposition de modification.
La pertinence des conclusions
sera privilégiée par rapport à la forme du document écrit.
3 - Dispositions propres à l'épreuve d'admission des concours
Le jury appréciera
les qualités de communication du candidat, son aptitude à négocier,
à fournir des prestations de conseil technique et d'assistance, de même
que sa capacité à encadrer une équipe ouvrière et
à jouer un rôle de formateur.
L'épreuve inclut
également une vérification du degré de connaissance du
système éducatif et de son environnement que possède le
candidat. Celui-ci doit notamment posséder des notions quant au mode
de fonctionnement d'un établissement au plan interne comme dans ses relations
avec l'extérieur et quant aux rôles respectifs des personnes qui
participent à l'action éducative.
Pour les candidats au concours
externe, le niveau demandé ne devra pas dépasser celui des connaissances
de base.
Il est demandé aux
candidats au concours interne de bonnes connaissances du niveau académique
et des connaissances élémentaires sur les autres niveaux.
Tous les candidats (concours
externe et interne) doivent également posséder une bonne connaissance
des statuts des personnels ouvriers de l'éducation nationale, de leurs
missions et de leurs obligations de service.
4 - Dispositions propres à l'épreuve d'admission de l'examen professionnel
L'appréciation
du jury porte sur les mêmes points que ceux énoncés ci-dessus
pour l'épreuve d'admission des concours.
Comme pour le concours interne,
il est demandé au candidat, pour ce qui concerne la connaissance du système
éducatif et de son environnement, de bonnes connaissances du niveau académique
et des connaissances élémentaires sur les autres niveaux, ainsi
qu'une bonne appréhension des statuts, des missions et des obligations
des personnels ouvriers.
En outre, l'entretien portera
sur le parcours professionnel du candidat et sur son projet professionnel.
MOUVEMENT
Mouvement
des médecins de l'éducation nationale, des conseillers techniques
de service social et des assistants de service social - rentrée 2002
NOR : MENA0102395X
RLR : 627-0
NOTE DU 7-11-2001
MEN
DPATE C1
o Le
mouvement des personnels s'inscrit dans une démarche destinée
à réaliser la meilleure adéquation possible entre les compétences
des agents et la nature des emplois à pourvoir.
L'organisation du mouvement
et l'examen des demandes de mutation des agents doivent tenir compte de cette
démarche. Ils s'effectueront de manière à concilier au
mieux l'intérêt du service et l'intérêt des agents,
pour lesquels le mouvement constitue un moyen de satisfaire leurs vux
de mobilité géographique et fonctionnelle.
Les notes de services qui
suivent précisent les modalités de la mise en uvre des demandes
de participation au mouvement pour les corps des médecins de l'éducation
nationale, des conseillers techniques de service social et des assistants de
service social.
Les demandes de mutation
ou de réintégration au titre de la rentrée scolaire de
septembre 2002 devront être enregistrées par les personnels à
partir du site Internet AMI (ATOS : Mouvement sur Internet) disponible à
l'adresse suivante : www.education.gouv.fr (rubrique "personnels").
I - Rappel des corps concernés
L'application AMI devra
être utilisée par les personnels des corps suivants :
- médecins de l'éducation
nationale (MEN) ;
- conseillers techniques
de service social (CTSS) ;
- assistants de service
social (ASS).
II - Formulation des vux
Le site AMI est accessible
depuis un ordinateur personnel ou à partir des postes installés
dans les services et les établissements ayant une connexion à
Internet. Plusieurs fonctions sont proposées :
- consultation des postes
vacants ;
- saisie des vux ;
- consultation des résultats
du mouvement.
La confidentialité
des informations relatives aux agents est assurée par la saisie obligatoire
de l'identifiant éducation nationale (NUMEN) de chaque utilisateur et
du mot de passe qu'il se choisit. En cas de non connaissance du NUMEN, les intéressés
s'adresseront aux services administratifs du rectorat de leur académie.
Par ailleurs, lors de la
saisie des vux, l'agent doit contrôler l'exactitude des informations
à caractère administratif ou familial affichées à
l'écran. Pour toute correction d'erreur, il lui appartient de communiquer
avec sa confirmation de mutation, au service de gestion du rectorat, les éléments
justifiant la mise à jour de sa situation.
Une période de saisie
des vux est déterminée pour chaque corps. Pendant cette
période, l'agent effectue sa demande et peut y accéder autant
de fois qu'il le souhaite pour la consulter, la modifier ou l'annuler. À
l'issue de la période de saisie des vux, la confirmation de demande
de mutation est envoyée par courrier à l'adresse personnelle de
l'intéressé.
La confirmation de demande
de mutation accompagnée des pièces justificatives éventuelles
doit parvenir par la voie hiérarchique au bureau DPATE C1 conformément
aux dates indiquées dans le calendrier ci-dessous.
Il est conseillé
aux agents de préparer l'ensemble des documents dès la saisie
des vux sur internet sans attendre la réception de la confirmation.
Selon le motif de la demande, les pièces suivantes devront accompagner
la demande de mutation :
- une attestation des services
effectués dans la fonction publique de l'État ;
- dans le cas d'un rapprochement
de conjoints : une attestation de la résidence professionnelle du conjoint
et une copie du livret de famille lorsqu'il y a des enfants à charge
;
- pour les partenaires d'un
PACS, une attestation établie par le greffe du tribunal d'instance qui
a enregistré le PACS doit être jointe à la demande ;
- dans le cas d'une demande
de réintégration après disponibilité ou d'une mutation
pour raison médicale : un certificat médical établi par
un médecin agréé.
La signature par le candidat
à mutation de sa confirmation de demande vaut engagement d'accepter l'affectation
obtenue dès lors qu'elle
correspond à l'un de ses vux, sauf cas particulier grave.
III - Assistance
Le logiciel Internet
de saisie des vux comporte à chaque étape de celle-ci une
aide en ligne qui assiste l'agent dans sa démarche.
Les services des divisions
de personnels ATOS, les points d'information du réseau des relations
et des ressources humaines ainsi que les centres informatiques pourront bien
entendu apporter, chacun dans leur domaine de compétence, l'assistance
complémentaire dont les candidats à mutation pourraient avoir
besoin.
IV - Calendrier : personnels médico-sociaux
|
CTSS |
ASS |
MEN |
Saisie et modification
des demandes |
Du 17-12-2001 |
Du 17-12-2001 |
Du 12-3-2002 |
par les agents |
au 22-1-2002 |
au 22-1-2002 |
au 10-4-2002 |
Envoi des confirmations
aux agents |
Le 23-1-2002 |
Le 23-1-2002 |
Le 11-4-2002 |
Date limite
de retour des confirmations à
l'administration centrale |
Le 8-2-2002 |
Le 8-2-2002 |
Le 30-4-2002 |
Pour le ministre de l'éducation nationale
et par délégation,
La directrice des personnels
administratifs, techniques
et d'encadrement
Béatrice GILLE
MOUVEMENT
Mouvement
national des médecins de l'éducation nationale - rentrée
2002
NOR : MENA0102396N
RLR : 627-4
NOTE DE SERVICE N°2001-234
DU 7-11-2001
MEN
DPATE C1
Texte adressé aux rectrices
et recteurs d'académie
o La
présente note a pour objet de préciser les modalités mises
en place pour l'organisation du mouvement national des médecins de l'éducation
nationale, titulaires ou stagiaires pour la rentrée 2002.
1 - Publication des postes offerts au mouvement
Les postes de médecins
déclarés vacants sont offerts par département au mouvement
national ; la liste indicative des vacances fera l'objet d'une mise en ligne
sur le serveur Internet du ministère, www.education.gouv.fr (rubrique
"personnels"), en mars 2002. Les additifs ou modificatifs apportés éventuellement
à cette liste seront également portés à la connaissance
des agents sur Internet.
2 - Établissement et acheminement des demandes de mutation
Les médecins
qui demandent un changement d'affectation, même si le département
sollicité est situé dans leur académie d'affectation actuelle,
prennent part au mouvement national.
D'une manière générale,
il est précisé que dans l'intérêt du service, une
stabilité de 3 ans dans le poste actuel est recommandée, sauf
situations exceptionnelles (raisons de santé, motifs familiaux...), qui
feront l'objet d'une attention particulière.
2.1 Établissement
des demandes
Chaque demande comporte
6 vux au maximum. Les médecins désirant obtenir un changement
d'affectation ne sont pas tenus de limiter leurs vux aux seuls postes
signalés vacants, en particulier s'ils souhaitent pouvoir bénéficier
éventuellement des possibilités qui apparaîtraient en cours
de mouvement (toute mutation entraînant une nouvelle vacance). Ils peuvent
notamment demander tout poste dans une académie. En revanche, il ne sera
pas donné suite aux demandes portant sur un secteur précis au
sein d'un département.
L'attention des médecins
est appelée tout particulièrement sur la saisie des demandes :
en cas de mention erronée ou incomplète le dossier ne pourra pas
être pris en compte.
2.2 Acheminement des
demandes
Les confirmations des demandes
de mutation doivent parvenir par la voie hiérarchique, au bureau DPATE
C1 avant le 30 avril 2002.
Les demandes d'annulation
ou de modification de vux doivent être exclusivement saisies sur
Internet jusqu'au 10 avril 2002.
Les dossiers de demandes
de mutation ou de réintégration doivent être accompagnés
en tant que de besoin des pièces justificatives, en particulier s'agissant
de demandes effectuées au titre d'un rapprochement de conjoints.
Les certificats médicaux
doivent être adressés directement sous pli fermé au médecin
conseiller technique de la DPATE.
Les rapports sociaux doivent
être adressés directement sous pli fermé à la conseillère
technique de service social de la DPATE.
2.3 Responsabilité
et engagement du médecin candidat à une mutation
Par ailleurs, le médecin
qui reçoit une affectation conforme à ses vux, ne peut refuser
le poste qui lui est attribué sauf en cas de demande de mutation conditionnelle
n'ayant pu aboutir.
3 - Dispositions applicables aux situations particulières
3.1 Rapprochement
de conjoints
Peuvent bénéficier
d'un rapprochement de conjoints :
- les agents mariés
justifiant de la séparation effective au 1er mars 2002 (joindre une attestation
de l'activité professionnelle du conjoint) ;
- les agents placés
en disponibilité, depuis au moins le 1er septembre 2001, pour suivre
leur conjoint muté pour des raisons professionnelles (joindre l'arrêté
de mise en disponibilité) ;
- les personnes ayant conclu
un pacte civil de solidarité (PACS) dès lors que celui-ci est
inscrit sur le registre tenu au greffe du tribunal d'instance du lieu de naissance
de chacun des partenaires (joindre les justificatifs), justifiant de la séparation
effective au 1er mars 2002 (joindre une attestation de l'activité professionnelle
du partenaire du PACS) ;
- les personnes vivant en
concubinage sous réserve que le couple vivant maritalement ait à
charge un enfant reconnu par l'un et l'autre, ou un enfant reconnu par anticipation
dans les mêmes conditions (joindre les justificatifs), justifiant de la
séparation effective au 1er mars 2002 (joindre une attestation de l'activité
professionnelle du concubin).
Le rapprochement de conjoints
est considéré comme réalisé lorsque la mutation
est effectuée dans le département où est fixée l'adresse
professionnelle du conjoint.
3.2 Mutations conditionnelles
Sont considérées
comme demandes de mutations conditionnelles les demandes liées exclusivement
à la situation professionnelle du conjoint, du partenaire d'un PACS ou
du concubin. Dans le cas où ce dernier n'est pas muté, le poste
attribué au médecin lors du mouvement est automatiquement repris
pour être attribué à un autre candidat.
Les médecins doivent
impérativement informer l'administration avant
le 17 juin 2002 du résultat
de cette demande de mutation.
3.3 Réintégration
après disponibilité, détachement, congé de longue
durée
Les médecins concernés
qui sollicitent une réintégration soit dans leur académie
d'origine (celle de leur dernière affectation) soit dans une autre académie
doivent formuler une demande dans le cadre du mouvement.
En application des dispositions
de l'article 49 du décret n° 85-986 du 16 septembre 1985 modifié
relatif au régime particulier de certains positions des fonctionnaires
de l'État et à certaines modalités de cessation définitive
de fonctions, les demandes de réintégration après disponibilité
doivent être accompagnées d'un certificat médical établi
par un médecin agréé, attestant de l'aptitude physique
de l'agent à exercer ses fonctions.
3.4 Réintégration
après congé parental
En application de l'article
54 de la loi n° 84-16 du 11 janvier 1984 modifiée portant dispositions
statutaires relatives à la fonction publique de l'État, les agents
réintégrés à l'expiration de leur congé parental
sont réaffectés :
- soit dans leur ancien
emploi ou si celui-ci ne peut leur être proposé, dans l'emploi
le plus proche de leur dernier lieu de travail ;
- soit dans l'emploi le
plus proche de leur domicile : dans cette éventualité, leur demande
est examinée en concurrence avec celles des médecins bénéficiant
d'un rapprochement de conjoints (cf. 3.1).
Dans les deux cas, il convient
de déposer une demande dans le cadre des opérations de mouvement.
4 - Détachements
4.1 Les
demandes de détachement dans le corps des médecins de l'éducation
nationale formulées par les personnels remplissant les conditions fixées
à l'article 16 du décret n° 91-1195 du 27 novembre 1991,
sont soumises à l'avis de la commission administrative paritaire nationale.
Ces demandes, accompagnées
de l'avis des autorités de gestion dont relève l'agent, d'une
lettre de motivation dans laquelle seront indiqués les vux d'affectation,
d'un curriculum vitae, des trois dernières fiches de notation et du dernier
arrêté de promotion (corps ou cadre d'emplois, grade, échelon,
indice brut) doivent parvenir au bureau DPATE C1 avant
le 26 avril 2002.
4.2 Les
demandes de détachement auprès d'autres administrations doivent
parvenir au bureau DPATE C1 sur papier libre, revêtues de l'avis des autorités
hiérarchiques, avant
le 26 avril 2002.
5 - Prise en charge des frais de changement de résidence
5.1 Mutations sur
le territoire métropolitain
Le remboursement des frais
de changement de résidence sur le territoire métropolitain est
régi par le décret n° 90-437 du 28 mai 1990 fixant les conditions
et les modalités de règlement des frais occasionnés par
les déplacements des personnels civils sur le territoire métropolitain
de la France lorsqu'ils sont à la charge des budgets de l'État,
des établissements publics nationaux à caractère administratif
et de certains organismes subventionnés.
L'ouverture de ces droits
relève de la compétence des recteurs d'académie.
5.2 Cas particulier des
départements d'outre-mer (DOM)
Les modalités de
prise en charge des frais de changement de résidence lors d'une mutation
de la métropole vers un DOM ou vice-versa ainsi que d'un DOM vers un
autre DOM sont fixées par le décret n° 89-271 du 12 avril
1989 modifié.
Ce décret lie la
prise en charge de frais de changement de résidence à l'accomplissement
de quatre années de service en métropole ou dans un département
d'outre-mer indépendamment de l'ancienneté dans le poste.
La décision d'ouverture
des droits incombe au recteur de l'académie de départ (cf. note
de service n° 93-218 du 9 juin 1993 publiée au BOEN n° 21 du
17 juin 1993).
6 - Éléments du barème national indicatif
I - Valeur professionnelle
Note administrative : x
2
II - Ancienneté dans
le poste
L'ancienneté dans
le poste sera affectée du nombre de points suivants :
- moins de 3 ans : 0
- à partir de 3 ans
: 5 points par année dans la limite de 10 ans dans le poste.
III - Ancienneté
de service
Deux points par an dans
la limite de 10 ans dans le corps.
IV- Ancienneté dans
la fonction publique
Les services à considérer
sont ceux effectués en qualité de titulaire ou de non titulaire
pour le compte de l'État.
Un point par année
jusqu'à concurrence de 10 points.
V - Rapprochement de conjoints
Cette bonification proportionnelle
à la durée de la séparation ou de la disponibilité
pour suivre le conjoint n'est accordée que pour les vux portant
sur le département où est fixée l'adresse professionnelle
du conjoint.
- un an : 40 points
- deux ans : 50 points
- trois ans et plus : 60
points.
VI - Nombre d'enfants à
charge
En cas de rapprochement
de conjoints, 4 points par enfant à charge sont attribués si une
copie du livret de famille est jointe au dossier ainsi qu'un certificat de scolarité
pour les enfants de plus de 16 ans.
VII - Travailleurs handicapés
L'article 60 de la loi n°
84-16 du 11 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à
la fonction publique de l'État prévoit qu'une priorité
est donnée, dans toute la mesure compatible avec le bon fonctionnement
du service, aux fonctionnaires ayant la qualité de travailleur handicapé
reconnue par la commission prévue à l'article L. 323-11 du code
du travail.
VIII - Zone d'éducation
prioritaire
Les agents exerçant
en ZEP urbaines et établissements sensibles depuis au moins 5 années
consécutives au 1er septembre 2002 bénéficient de 25 points.
Pour le ministre de l'éducation
nationale
et par délégation,
La directrice des personnels
administratifs,
techniques et d'encadrement
Béatrice GILLE
N.B. - Les avis de vacances d'emplois
de médecin de l'éducation nationale-conseiller technique, publiés
au B.O., précisent la procédure ainsi que les conditions requises
pour la nomination dans ces emplois.
MOUVEMENT
Mouvement
des conseillers techniques et des assistants de
service social - rentrée 2002
NOR : MENA0102397N
RLR : 627-1
NOTE DE SERVICE N°2001-235
DU 7-11-2001
MEN
DPATE C1
Texte adressé aux rectrices
et recteurs d'académie ; aux présidentes et présidents
d'université ; au recteur, directeur du CNED ; au directeur du CNOUS
; aux vice-recteurs de Mayotte, de Nouvelle-Calédonie, de Wallis-et-Futuna,
de Polynésie française ; au chef du service de l'éducation
nationale à Saint-Pierre-et-Miquelon
o La
présente note de service a pour objet de préciser les modalités
du mouvement des conseillers techniques et assistants de service social organisé
par l'administration centrale, au titre de l'année 2002.
D'une manière générale,
il est précisé que dans l'intérêt du service, une
stabilité de 3 ans dans le poste actuel est recommandée, sauf
situations exceptionnelles (raisons de santé, motifs familiaux...), qui
feront l'objet d'une attention particulière.
Les dispositions spécifiques
applicables au mouvement national des conseillers techniques de service social
d'une part, au mouvement inter-académique des assistants de service social
d'autre part, sont précisées dans les deux premières parties
de la présente note, la troisième regroupant les règles
générales du mouvement pour l'ensemble des deux corps.
1 - Mouvement national des conseillers techniques de service social
Les dispositions en
vigueur l'année précédente sont reconduites à l'occasion
du présent mouvement.
1.1 Postes offerts
Ils sont de trois types
:
- postes de conseiller technique
auprès du recteur ;
- postes de conseiller technique
auprès de l'inspecteur d'académie ;
- postes de conseiller technique
de service social implantés :
. au service social en faveur
des élèves,
. au service social en faveur
des personnels,
. au CROUS,
. au service universitaire
de médecine préventive,
- à l'administration
centrale.
1.2 Personnels concernés
Ce mouvement concerne les
conseillers techniques de service social régis par le décret n°
91-784 du 1er août 1991.
Les personnels mis à
disposition d'une autre administration ou d'un organisme en application de l'article
1er du décret n° 85-986 du 16 septembre 1985 modifié relatif
au régime particulier de certains positions des fonctionnaires de l'État
et à certaines modalités de cessation définitive de fonctions,
placés en position de détachement, mis en disponibilité,
bénéficiant d'un congé de longue durée, ou accomplissant
le service national, qui sollicitent une réintégration et une
réaffectation formulent leur demande dans le cadre du mouvement national.
Les personnels bénéficiant
d'un congé parental sont réaffectés soit dans leur ancien
emploi ou, si celui-ci ne peut leur être proposé, dans l'emploi
le plus proche de leur dernier lieu de travail. Les agents souhaitant être
réaffectés dans l'emploi le plus proche de leur domicile, si celui-ci
n'est pas situé dans leur académie d'origine, participent au mouvement
national où leur demande est examinée en concurrence avec celles
des conseillers techniques de service social bénéficiant d'un
rapprochement de conjoints (cf. 3.3.1).
1.3 Formulation des vux
Chaque demande comporte
6 vux au maximum. Les conseillers techniques de service social désirant
obtenir un changement d'affectation ne sont pas tenus de limiter leurs vux
aux seuls postes signalés vacants, en particulier s'ils souhaitent pouvoir
bénéficier éventuellement des possibilités qui apparaîtraient
en cours de mouvement (toute mutation entraînant une nouvelle vacance).
Ils peuvent notamment demander tout poste dans une académie. En revanche,
il ne sera pas donné suite aux demandes portant sur un secteur précis
au sein d'un département.
Les vux peuvent donc
porter :
- sur des postes faisant
l'objet d'une mise en ligne sur le serveur Internet du ministère, www.education.gouv.fr
(rubrique "personnels"), au cours du mois de décembre 2001. Les additifs
ou modificatifs seront portés à la connaissance des agents sur
Internet ;
- sur des postes non publiés,
susceptibles de se découvrir notamment à l'occasion des opérations
de mutation ;
- sur tout poste dans une
académie.
L'attention des conseillers
techniques de service social est appelée tout particulièrement
sur la saisie des demandes : en cas de mention erronée ou incomplète
le dossier ne pourra pas être pris en compte.
S'agissant plus particulièrement
des postes de conseiller technique d'un recteur ou d'un inspecteur d'académie,
les dossiers de confirmation de candidatures édités à l'issue
de la procédure d'inscription au mouvement sur Internet et transmis par
les conseillers techniques de service social au bureau DPATE C1 par la voie
hiérarchique sont communiqués par l'administration centrale au
recteur ou à l'inspecteur de l'académie concernée. Ces
candidatures, revêtues de leur avis motivé, doivent ensuite être
transmises dans les meilleurs délais, à la direction des personnels
administratifs, techniques, et d'encadrement (bureau DPATE C1).
1.4 Déroulement
des opérations de mutation
Les demandes de mutation
des conseillers techniques de service social sont soumises à l'examen
de la commission administrative paritaire nationale.
L'agent muté ne peut
refuser le poste qui lui a été attribué que dans le cas
où il a formulé une demande de mutation conditionnelle qui n'a
pu être satisfaite.
1.5 Demandes de détachement
1.5.1 Accueil en détachement
dans le corps
Les demandes de détachement
dans le corps des conseillers techniques de service social du ministère
de l'éducation nationale formulées par les personnels remplissant
les conditions fixées à l'article 12 du décret n°
91-784 du 1er août 1991 sont soumises à l'avis de la commission
administrative paritaire nationale.
Ces demandes, accompagnées
de l'avis de l'autorité de gestion dont relève l'agent, du dernier
arrêté de promotion et des trois dernières fiches de notation,
doivent parvenir par la voie hiérarchique au bureau des personnels administratifs,
techniques, ouvriers et de service et des personnels sociaux et de santé
(DPATE C1) avant le 8 février
2002.
1.5.2 Départ en détachement
des agents titulaires du corps
Les demandes de détachement
auprès d'autres administrations doivent parvenir au bureau des personnels
administratifs, techniques, ouvriers et de service et des personnels sociaux
et de santé (DPATE C1) sur papier libre et revêtues de l'avis des
autorités hiérarchiques avant
le 30 avril 2002.
En application de l'article
11 du décret du 1er août 1991 précité, les conseillers
techniques de service social ne peuvent être placés en position
de détachement qu'après avoir accompli deux années de services
effectifs dans leur corps.
2 - Mouvement interacadémique des assistants de service social
Les règles applicables
au mouvement 2002 reconduisent les dispositions mises en uvre précédemment.
Le mouvement interacadémique
est organisé, à la fois, sur des postes précis et sur des
possibilités d'accueil.
2.1 Postes offerts
Il s'agit :
a) de postes précis,
implantés :
- au service social en faveur
des élèves, publiés par département ;
- au service social en faveur
des personnels ;
- dans les services centraux
des établissements publics à caractère administratif ;
- à l'administration
centrale ;
- dans les CROUS ;
- au service universitaire
de médecine préventive.
b) de possibilités
d'accueil dans les académies qui correspondent :
- à des postes vacants
offerts au mouvement interacadémique et dont la spécification
sera précisée à l'occasion du mouvement intra-académique
;
- à des postes devenus
vacants par le jeu du mouvement interacadémique, de quelque nature qu'ils
soient. Il est rappelé qu'un agent quittant une académie par le
biais d'une mutation, permet d'offrir une possibilité d'accueil supplémentaire
dans cette même académie, indépendamment de celles déjà
publiées.
2.2 Personnels concernés
Le mouvement interacadémique
est ouvert aux assistants de service social, régis par le décret
n° 91-783 du 1er août 1991.
Les assistants de service
social en poste dans les territoires d'outre-mer, les services centraux des
établissements publics à caractère administratif et à
l'administration centrale, qui demandent une mutation dans une académie
ou sur un poste précis, participent au mouvement interacadémique.
Les assistants de service
social occupant à titre provisoire pour la durée de l'année
scolaire 2001-2002 des fonctions de conseiller technique départemental
sont informés que leurs fonctions sont susceptibles d'être assurées
par des conseillers techniques de service social titulaires ou stagiaires dès
la rentrée 2002. Ils sont invités, en conséquence, à
prendre toutes dispositions, en liaison avec les autorités académiques,
pour que soient définies leurs nouvelles attributions.
Les personnels mis à
disposition d'une autre administration ou d'un organisme en application de l'article
1er du décret n° 85-986 du 16 septembre 1985 modifié relatif
au régime particulier de certaines positions des fonctionnaires de l'État
et à certaines modalités de cessation définitive de fonctions,
placés en position de détachement, mis en disponibilité,
bénéficiant d'un congé de longue durée, ou accomplissant
le service national, formulent une demande de réintégration dans
le cadre du mouvement intra-académique s'ils souhaitent être réaffectés
dans leur académie d'origine, dans le cadre du mouvement interacadémique
s'ils souhaitent être réaffectés dans une autre académie
ou sur un poste précis publié.
Les personnels bénéficiant
d'un congé parental sont réaffectés soit dans leur ancien
emploi ou, si celui-ci ne peut leur être proposé, dans l'emploi
le plus proche de leur dernier lieu de travail. Dans ce cas, les agents concernés
formulent une demande de réintégration dans le cadre du mouvement
intra-académique. Les agents souhaitant être réaffectés
dans l'emploi le plus proche de leur domicile, si celui-ci n'est pas situé
dans leur académie d'origine, participent au mouvement interacadémique
où leur demande est examinée en concurrence avec celles des assistants
de service social bénéficiant d'un rapprochement de conjoints
(cf. 3.3.1).
2.3 Formulation des vux
Les demandes sont limitées
à 6 vux.
Ces vux peuvent porter
:
- sur des postes faisant
l'objet d'une mise en ligne sur le serveur Internet du ministère, www.education.gouv.fr
(rubrique "personnels"), au cours du mois de décembre 2001. Les additifs
ou modificatifs seront portés à la connaissance des agents sur
Internet ;
- sur une académie,
que des possibilités d'accueil y soient publiées ou non.
2.4 Déroulement
des opérations de mutation
Après avis de la
commission administrative paritaire nationale consultée sur le mouvement
interacadémique, les assistants de service social dont la mutation est
proposée sont, soit affectés sur un poste précis, soit
autorisés à entrer dans une académie sur une possibilité
d'accueil.
Les agents entrant dans
une académie prennent part au mouvement intra-académique, pour
y être affectés sur tout type de poste, en concurrence avec les
assistants de service social sollicitant une nouvelle affectation au sein de
leur académie.
L'agent muté, soit
sur un poste précis soit sur une possibilité d'accueil, ne peut
refuser le poste qui lui a été attribué que dans le cas
où il a formulé une demande conditionnelle qui n'a pu être
satisfaite.
2.5 Demandes de détachement
Les demandes d'accueil en
détachement dans le corps des assistants de service social du ministère
de l'éducation nationale formulées par les personnels remplissant
les conditions fixées à l'article 16 du décret n°
91-783 du 1er août 1991 sont soumises à l'avis des commissions
administratives paritaires académiques.
Ces demandes, accompagnées
de l'avis de l'autorité de gestion dont relève l'agent, du dernier
arrêté de promotion et des trois dernières fiches de notation,
doivent être adressées par la voie hiérarchique au recteur
de l'académie sollicitée.
Les demandes de détachement
auprès d'autres administrations doivent parvenir au bureau des personnels
administratifs, techniques, ouvriers et de service et des personnels sociaux
et de santé (DPATE C1) sur papier libre et revêtues de l'avis des
autorités hiérarchiques avant
le 14 avril 2002.
2.6 Recommandations pour
les mutations dans les territoires d'outre-mer (TOM)
Les demandes de mutation
dans les territoires d'outre-mer doivent parvenir au bureau DPATE C1 sur papier
libre, revêtues de l'avis des autorités hiérarchiques, avant
le 8 février 2002.
Outre la confirmation de
demande de mutation et les pièces justificatives habituelles, le dossier
de candidature doit obligatoirement comporter une lettre de motivation ainsi
que la fiche de renseignements jointe à la présente note de service
dûment complétée et les trois dernières fiches de
notation.
En application des décrets
n° 96-1026 et n° 96-1027 du 26 novembre 1996 respectivement relatifs
à la situation des fonctionnaires de l'État et de certains magistrats
dans les territoires d'outre-mer de Nouvelle-Calédonie, de Polynésie
française et de Wallis-et-Futuna et de Mayotte, la durée de l'affectation
est limitée à deux ans avec possibilité d'un seul renouvellement.
Cette limitation ne s'applique pas à Saint-Pierre-et-Miquelon.
L'attention des agents est
appelée sur la particularité de certains postes implantés
dans les TOM qui nécessitent parfois une grande adaptabilité aux
traditions locales. Par ailleurs, les enfants des personnels mutés dans
les TOM ne bénéficient pas d'un tissu scolaire aussi complet qu'en
métropole. Il est donc vivement recommandé aux candidats de prendre
tous renseignements utiles avant de postuler.
Les agents qui ont formulé
une demande de mutation pour les académies de métropole ou des
départements d'outre-mer et corrélativement pour les territoires
d'outre-mer doivent impérativement faire connaître l'ordre de priorité
dans lequel ils classent ces demandes respectives.
2.7 Retour des agents
affectés en TOM
Les agents concernés
qui sollicitent une mutation dans leur académie d'origine (c'est-à-dire
celle de leur dernière affectation) doivent formuler une demande dans
le cadre du mouvement intra-académique.
Les agents devront faire
parvenir un double de leur demande à l'administration centrale, bureau
DPATE C1.
Les agents qui demandent
une mutation dans une académie différente de leur académie
d'origine ou qui sollicitent un poste précis mis en ligne sur Internet
doivent formuler leur demande dans le cadre du mouvement interacadémique.
3 - Dispositions communes aux deux mouvements
3.1 Publication des
postes offerts
L'ensemble des possibilités
offertes pour chacun des deux mouvements organisés au niveau central
font l'objet d'une mise en ligne sur le serveur Internet du ministère,
www.education. gouv.fr (rubrique "personnels"). Les additifs ou modificatifs
seront également portés à la connaissance des agents sur
Internet.
La liste des postes situés
dans une zone d'éducation prioritaire ou un secteur comportant un ou
plusieurs établissements sensibles peut être communiquée
aux agents par les services académiques. Les candidats devront être
informés par ceux-ci des caractéristiques propres aux fonctions
sur de tels postes.
3.2 Établissement
des demandes de mutation
Il est rappelé aux
agents en fonctions dans un établissement d'enseignement supérieur
qui souhaitent une mutation hors de leur établissement vers un autre
établissement d'enseignement supérieur, un service déconcentré,
un établissement public local d'enseignement, que leur demande de mutation
doit être soumise à l'avis de la commission paritaire d'établissement
fonctionnant en pré-CAP ainsi que le précisent les dispositions
de la circulaire n° 99-160 du 14 octobre 1999 d'application du décret
n° 99-272 du 6 avril 1999 relatif aux commissions paritaires d'établissement
des établissements publics d'enseignement supérieur.
Le respect de cette procédure
est un préalable nécessaire à l'examen de la demande de
mutation de l'agent par la commission administrative paritaire nationale.
Les agents qui sollicitent
une mutation hors de leur académie d'origine, ou qui demandent un poste
précis publié sur internet (même si ce poste est situé
dans leur académie d'origine) participent au mouvement national (conseillers
techniques de service social) ou au mouvement interacadémique (assistants
de service social).
La confirmation de demande
de mutation, revêtue de l'avis des autorités hiérarchiques,
doit parvenir au bureau des personnels administratifs, techniques, ouvriers
et de service et des personnels sociaux et de santé (DPATE C1) au
plus tard le 8 février 2002 pour
le mouvement des assistants de service social et pour celui des conseillers
techniques de service social.
Aucune demande de modification
ou d'annulation de vux ne sera acceptée après les dates
de clôture de saisie sur Internet (22 janvier 2002 pour les assistants
de service social et pour les conseillers techniques de service social).
Les demandes de mutation
doivent être accompagnées d'un état de services des candidats,
visé par le recteur, qui procédera à la vérification
des dossiers et des pièces justificatives jointes, avant de les transmettre
à l'administration centrale.
3.3 Cas particuliers
3.3.1 Rapprochement de conjoints
Peuvent bénéficier
d'une bonification pour rapprochement de conjoints :
- les agents mariés
justifiant de la séparation effective au 1er mars 2002 (joindre une attestation
de l'activité professionnelle du conjoint) ;
- les agents placés
en disponibilité, depuis au moins le 1er septembre 2001, pour suivre
leur conjoint muté pour des raisons professionnelles (joindre l'arrêté
de mise en disponibilité) ;
- les personnes ayant conclu
un pacte civil de solidarité (PACS) dès lors que celui-ci est
inscrit sur le registre tenu au greffe du tribunal d'instance du lieu de naissance
de chacun des partenaires (joindre les justificatifs), justifiant de la séparation
effective au 1er mars 2002 (joindre une attestation de l'activité professionnelle
du partenaire du PACS) ;
- les agents vivant en concubinage,
sous réserve que le couple ait à charge un enfant reconnu par
l'un et l'autre, ou un enfant reconnu par anticipation dans les mêmes
conditions (joindre les justificatifs), justifiant de la séparation effective
au 1er mars 2002 (joindre une attestation de l'activité professionnelle
du concubin).
Le rapprochement de conjoints
est considéré comme réalisé lorsque la mutation
est effectuée dans le département où est fixée l'adresse
professionnelle du conjoint.
3.3.2 Mutations conditionnelles
Sont considérées
comme demandes mutations conditionnelles les demandes liées exclusivement
à la situation professionnelle du conjoint, du partenaire d'un PACS ou
du concubin. Dans le cas où ce dernier n'est pas muté, le poste
attribué au fonctionnaire lors du mouvement est repris pour être
pourvu par un autre agent inscrit sur la liste complémentaire établie
lors de la réunion de la commission administrative paritaire nationale.
Les intéressés
doivent faire connaître leur renonciation à leur mutation, dans
cette hypothèse, impérativement au
plus tard le 17 juin 2002.
3.3.3 Raisons médicales
ou sociales
Les certificats médicaux
doivent être adressés directement sous pli fermé au médecin
conseiller technique de la DPATE.
Les rapports sociaux doivent
être adressés directement sous pli fermé à la conseillère
technique de service social de la DPATE.
4 - Prise en charge des frais de changement de résidence
4.1 Mutations sur
le territoire métropolitain
Le remboursement des frais
de changement de résidence sur le territoire métropolitain est
régi par les dispositions du décret n° 90-437 du 28 mai 1990
fixant les conditions et les modalités de règlement des frais
occasionnés par les déplacements des personnels civils sur le
territoire métropolitain de la France lorsqu'ils sont à la charge
des budgets de l'État, des établissements publics nationaux à
caractère administratif et de certains organismes subventionnés.
L'ouverture de ces droits
relève de la compétence des recteurs d'académie.
4.2 Cas particulier des
départements d'outre-mer (DOM)
Les modalités de
prise en charge des frais de changement de résidence lors d'une mutation
de la métropole vers un DOM ou vice-versa ainsi que d'un DOM vers un
autre DOM sont fixées par le décret n° 89-271 du 12 avril
1989 modifié.
Ce décret lie la
prise en charge des frais de changement de résidence à l'accomplissement
de quatre années de service en métropole ou dans un département
d'outre-mer indépendamment de l'ancienneté dans le poste. La décision
d'ouverture des droits incombe au recteur de l'académie de départ
(cf. note de service n° 93-218 du 9 juin 1993 publiée au BOEN n°
21 du 17 juin 1993).
4.3 Cas particulier des
territoires d'outre-mer (TOM)
Le décret n°
98-844 du 22 septembre 1998 fixe les conditions et les modalités de règlement
des frais occasionnés par les déplacements des personnels civils
de l'État à l'intérieur d'un territoire d'outre-mer, entre
la métropole et un territoire d'outre-mer, entre deux territoires d'outre-mer
et entre un territoire d'outre-mer et un département d'outre-mer, la
collectivité territoriale de Mayotte ou celle de Saint-Pierre-et-Miquelon.
Pour le ministre de l'éducation
nationale
et par délégation,
La directrice des personnels
administratifs,
techniques et d'encadrement
Béatrice GILLE
Annexe
ÉLÉMENTS DU BARÈME
NATIONAL INDICATIF
A - Conseillers techniques de
service social
a) Valeur professionnelle
Note administrative x 2
b) Ancienneté
dans le corps des conseillers techniques de service social du ministère
de l'éducation nationale
2 points par année,
jusqu'à concurrence de 40 points.
c) Ancienneté
dans le poste actuellement occupé en qualité de conseiller technique
de service social
- 3 ans : 30 points
- 4 ans : 35 points
- 5 ans et plus : 40 points.
Exercice en ZEP urbaine
(codée "ZU" dans le RNE) ou en établissement sensible :
5 ans et plus d'exercice
consécutifs : 25 points.
d) Bonifications liées
à la situation familiale
Rapprochement de conjoints
Cette bonification proportionnelle
à la durée de la séparation ou de la disponibilité
pour suivre le conjoint n'est accordée que pour les vux portant
sur le département où est fixée l'adresse professionnelle
du conjoint.
- 1 an : 40 points
- 2 ans : 50 points
- 3 ans et plus : 60 points.
Enfants à charge
En cas de rapprochement
de conjoints, 4 points par enfant à charge sont attribués si une
copie du livret de famille est jointe au dossier ainsi qu'un certificat de scolarité
pour les enfants de plus de 16 ans.
e) Réintégration
après détachement
Bonification de 30 points
pour rentrer dans la dernière académie d'affectation.
f) Agents exerçant
des fonctions d'encadrement
Bonification de 30 points
pour les agents justifiant au 1er septembre 2002 de deux années au moins
d'exercice de responsabilités particulières ou de fonctions d'encadrement
ou de coordination, au sens de l'article 2 du décret n° 91-784 du
1er août 1991.
Les arrêtés
rectoraux ou ministériels attestant de l'exercice de ces fonctions doivent
être joints au dossier de mutation.
g) Priorité donnée
aux travailleurs handicapés
L'article 60 de la loi n°
84-16 du 11 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à
la fonction publique de l'État prévoit qu'une priorité
est donnée, dans toute la mesure compatible avec le bon fonctionnement
du service, aux fonctionnaires ayant la qualité de travailleur handicapé
reconnue par la commission prévue à l'article L323-11 du code
du travail.
B - Mouvement interacadémique des assistants de service social
a) Valeur professionnelle
Note administrative x 2
b) Ancienneté
dans le corps des assistants de service social du ministère de l'éducation
nationale
2 points par année,
jusqu'à concurrence de 40 points.
Est également prise
en compte l'ancienneté acquise dans leur corps d'origine par les personnels
intégrés dans le corps des assistants de service social du ministère
de l'éducation nationale en application des dispositions des décrets
n° 85-516 du 13 mai 1985, n° 91-200 du 21 février 1991 et n°
91-783 du 1er août 1991.
c) Ancienneté
dans le poste actuellement occupé
- 3 ans : 30 points
- 4 ans : 35 points
- 5 ans et plus : 40 points.
Exercice en ZEP urbaine
(codée "ZU" dans le RNE) ou en établissement sensible :
5 ans et plus d'exercice
consécutifs : 25 points.
d) Bonifications liées
à la situation familiale
Rapprochement de conjoints
Cette bonification proportionnelle
à la durée de la séparation ou de la disponibilité
pour suivre le conjoint n'est accordée que pour les vux portant
soit sur une possibilité d'accueil dans une académie où
est fixée l'adresse professionnelle du conjoint, soit sur un poste précis
publié sur Internet, situé dans le département où
est fixée l'adresse professionnelle du conjoint.
- 1 an : 40 points
- 2 ans : 50 points
- 3 ans et plus : 60 points.
Enfants à charge
En cas de rapprochement
de conjoints, 4 points par enfant à charge sont attribués si une
copie du livret de famille est jointe au dossier ainsi qu'un certificat de scolarité
pour les enfants de plus de 16 ans.
e) Priorité donnée
aux travailleurs handicapés
L'article 60 de la loi n°
84-16 du 11 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à
la fonction publique de l'État prévoit qu'une priorité
est donnée, dans toute la mesure compatible avec le bon fonctionnement
du service, aux fonctionnaires ayant la qualité de travailleur handicapé
reconnue par la commission prévue à l'article L 323-11 du code
du travail.
téléchargez
le formulaire de demande de poste dans les territoires d'outre-mer
(format PDF, 26 Ko)
DROITS ET OBLIGATIONS DES
FONCTIONNAIRES
Protection
juridique des fonctionnaires
NOR : MENG0102373N
RLR : 610-7e
NOTE DE SERVICE N°2001-227
DU 7-11-2001
MEN
DAJ A1
Réf. : N.S. n° 83-346
du 19-9-1983
Texte adressé aux rectrices et recteurs d'académie
o
Par décision du 25
juillet 2001, le Conseil d'État a annulé la décision implicite
de rejet d'une demande de la Fédération des syndicats généraux
de l'éducation nationale et de la recherche publique (SGEN-CFDT) tendant
à l'abrogation d'une disposition de la note de service n° 83-346
du 19 septembre 1983, relative à la protection juridique des fonctionnaires,
imposant au fonctionnaire de déposer plainte pour que le ministre porte
plainte en cas d'infractions réprimées par la loi du 29 juillet
1981 sur la liberté de la presse (diffamation et injure commises par
la voie de la presse ou tout autre moyen de publication).
En conséquence, le
douzième paragraphe de la note de service précitée est
abrogé et
remplacé par
un paragraphe ainsi rédigé :
"S'il désire porter
plainte lui-même, il doit le faire dans le délai de prescription
de l'action publique qui est réduit à trois mois, en vertu des
dispositions de l'article 65 de la loi du 29 juillet 1881".
Pour le ministre de l'éducation
nationale
et par délégation,
Le directeur des affaires
juridiques
Jacques-Henri STAHL