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PROFESSEURS DES ÉCOLES Recrutement de professeurs des écoles au 1er septembre 2005 par inscription sur des listes d’aptitude NOR : MENP0500203N
RLR : 726-0
NOTE DE SERVICE N°2005-023 DU 3-2-2005
MEN DPE A4
Texte adressé aux rectrices et recteurs des académies de la Martinique, de la Guadeloupe, de la Guyane, de Paris et de la Réunion ; aux inspectrices et inspecteurs d’académie, directrices et directeurs des services départementaux de l’éducation
nationale ; au chef du service de l’éducation nationale de Saint-Pierre-et-Miquelon
En application du relevé de conclusions relatif à l’enseignement primaire du 10 juillet 1998, au titre de l’année 2005, 20 735 emplois de professeurs des écoles seront pourvus par la voie des listes d’aptitude et des premiers concours internes. Chaque recteur ou inspecteur d’académie, directeur des services départementaux de l’éducation nationale, recevra, en vue du recrutement par liste d’aptitude et après un dialogue avec l’administration centrale, la notification de son contingent d’emplois.
I - Conditions requises pour déposer sa candidature à l’inscription sur la liste d’aptitude départementale ouvrant l’accès au corps des professeurs des écoles
Peuvent faire acte de candidature à l’inscription sur la liste d’aptitude, les instituteurs titulaires qui justifient, à la date du 1er septembre 2005, de cinq années de services effectifs en cette qualité. La candidature de tous les instituteurs remplissant cette condition de services effectifs est recevable quelle que soit la position dans laquelle ils se trouvent. Tous les instituteurs, quelle que soit leur affectation actuelle, doivent faire acte de candidature auprès de l’inspecteur d’académie, directeur des services départementaux de l’éducation nationale de leur département de rattachement. Les instituteurs qui auront atteint l’âge de soixante ans avant le 1er septembre 2005 ne peuvent, sous réserve de l’application des dispositions concernant le recul de la limite d’âge et les prolongations d’activité (cf. décret modifié n° 48-1907 du 18 décembre 1948 et article 69 de la loi n° 2003-775 du 21 août 2003 portant réforme du code des pensions) déposer leur candidature pour l’accès au corps des professeurs des écoles puisque, à cette date, ils dépasseront la limite d’âge du corps des instituteurs.
II - Constitution des dossiers de candidature
Le déploiement de l’application I.prof
offre dans la majorité des départements, comme le rappelle la lettre ministérielle n° 478 du 8 septembre 2004, la possibilité aux enseignants d’accéder à SIAP (système d’information et d’aide aux promotions) qui permet l’automatisation de la gestion de la liste d’aptitude pour l’accès au corps des professeurs des écoles. Les inspecteurs d’académie concernés informeront les instituteurs de leur département des modalités de cette procédure électronique qui leur permettra de saisir leur candidature. Les enseignants des autres départements ou les enseignants qui ne pourront pas accéder à cette nouvelle procédure pourront toujours constituer un dossier qui sera remis à l’inspecteur d’académie avant la date limite qu’il a fixée. Ce dossier comprend : - une demande manuscrite, datée et signée par le candidat ; - une fiche de renseignements établie suivant le modèle fourni en annexe ; - les photocopies des diplômes universitaires ou de leurs équivalences ; -les photocopies des diplômes professionnels. Il est complété par les services de l’inspection académique. Chaque inspecteur d’académie prépare les dossiers des candidats en complétant les fiches de renseignements et en y joignant les pièces nécessaires.
III - Critères de choix
L’examen, au niveau de chaque département, des candidatures s’effectue à partir des critères de choix suivants : l’ancienneté, la valeur professionnelle exprimée par la notation, l’exercice de certaines fonctions spécifiques (affectation en ZEP, direction d’école), la possession de diplômes universitaires ou professionnels. Pour permettre un traitement identique, sur le plan national, de l’ensemble des candidatures, ces critères de choix sont pondérés entre eux dans les mêmes conditions : ancienneté pour quarante points (maximum), notation pour quarante points (maximum), affectation en ZEP pour trois points, exercice des fonctions de directeur d’école pour un point, diplômes universitaires ou professionnels pour cinq points.
1) Ancienneté
L’ancienneté à retenir est l’ancienneté générale des services pris en compte dans la constitution du droit à une pension du régime des fonctionnaires de l’État, y compris donc ceux effectués en qualité de non-titulaire qui ont été validés ou qui sont en cours de validation, les services de stagiaire accomplis avant l’âge de 18 ans et les périodes d’études ayant fait l’objet d’un rachat en vu d’augmenter la durée des services accomplis. Les périodes de travail à temps partiel sont assimilées à des périodes à temps plein et le service national doit être comptabilisé dans l’ancienneté générale des services. Un état de ces services doit être établi pour chaque candidat. L’ancienneté sera prise en compte au 1er septembre 2005, au maximum pour quarante points, à raison d’un point par année complète. Pour les fractions d’année, il sera accordé un douzième de point par mois complet. Les durées inférieures à un mois ne seront pas prises en compte.
2) Note pédagogique
La valeur attribuée à la note pédagogique est de quarante points. Pour le calcul des points correspondant à ce critère, il convient d’attribuer le coefficient 2 à la dernière note pédagogique connue avant la réunion de la commission administrative paritaire départementale convoquée pour l’établissement de la liste d’aptitude. Pour que les situations individuelles puissent être traitées avec équité, il faut donc que les notes prises en compte ne soient pas trop anciennes. Il me paraît, à cet égard, qu’on peut considérer comme acceptables les notes pédagogiques attribuées au cours des trois dernières années. Lorsque les notes sont anciennes et qu’il n’aura pas été possible de procéder à une nouvelle inspection des intéressés, vous devrez alors recourir à une actualisation de la note dans les conditions que vous déterminerez, après avis de la commission administrative paritaire départementale. L’actualisation doit tenir compte du nombre d’années sans inspection sous réserve de neutralisation des trois dernières années mais ne doit évidemment pas conduire à dépasser la note maximale attribuée dans votre département. Pour les personnels qui n’exercent plus dans une école et qui ne reçoivent qu’une note administrative, je rappelle que c’est la dernière note pédagogique qui doit être actualisée en tenant compte de la fourchette des notes des instituteurs classés dans le même échelon. Il convient qu’il n’y ait pas de distorsion sensible entre cette note pédagogique actualisée, la note administrative et l’appréciation s’y rapportant. Je vous demande donc de nouveau de veiller à l’application de dispositions qui visent à éviter une pénalisation d’une catégorie des candidats à l’inscription sur la liste d’aptitude.
3) Situations spécifiques
Les contraintes liées à l’affectation actuelle en ZEP et à l’exercice des fonctions de directeur d’école sont prises en compte lors de l’examen des candidatures.
3.1 Affectation en ZEP
Trois points sont attribués aux personnels exerçant leurs fonctions en ZEP durant l’année scolaire 2004-2005 et qui auront, au 1er septembre 2005, accompli trois années de service continu en ZEP (y compris la présente année scolaire). Seuls les congés de longue maladie, de longue durée, de formation professionnelle ainsi que les congés parentaux suspendent (sans interrompre) le calcul des trois ans passés en ZEP. Les enseignants doivent avoir accompli pendant la période concernée la totalité du service dû en ZEP que ce soit à temps plein ou à temps partiel et quelle que soit l’affectation administrative.
3.2 Exercice des fonctions de directeur d’école et de directeur d’établissement spécialisé
Les personnels exerçant les fonctions de directeur d’école ou de directeur d’établissement spécialisé durant l’année scolaire 2004-2005 bénéficient d’un point. Les instituteurs nommés à titre provisoire directeurs d’école pourront prétendre à cette majoration d’un point, sans être inscrits sur la liste d’aptitude aux fonctions de directeur d’école, à la condition d’assurer ces fonctions pendant toute l’année scolaire. Cet avantage est cumulable avec celui lié à l’affectation en ZEP.
4) Diplômes universitaires
Les candidats qui ont des diplômes universitaires doivent en fournir la copie sauf s’ils ont déjà validé ces données sur SIAP. Les diplômes universitaires, à l’exclusion du baccalauréat et de ceux qui sanctionnent des études d’une durée inférieure à une année universitaire, donnent droit à cinq points quel que soit leur nombre ou leur niveau (y compris lorsqu’ils sanctionnent la première année d’études universitaires, propédeutique par exemple, ou les anciens certificats : MGP, MPC, SPCN, ...). Le DEUG mention “enseignement du premier degré” attribué durant la formation des élèves-instituteurs est également pris en compte. En revanche, la première année universitaire conduisant au DEUG ou à la licence ne peut être prise en compte. Les titres, diplômes et qualifications admis en équivalence du DEUG pour se présenter aux concours de recrutement des élèves-instituteurs, cités dans l’annexe I de l’arrêté du 7 mai 1986 modifié, sont, sous réserve des dispositions mentionnées sous la rubrique diplômes professionnels, considérés en l’espèce comme équivalents des diplômes universitaires. Ne sont pas pris en compte, sous réserve de l’application de l’arrêté du 7 mai 1986, les attestations, les certificats sanctionnant une partie des études supérieures conduisant à un diplôme universitaire, les diplômes étrangers sauf ceux qui sanctionnent un cycle d’études post-secondaires délivrés dans un autre état de l’Union européenne élargie ou d’un autre État partie à l’accord sur l’Espace économique européen. Ne sont également pas pris en compte les niveaux d’études qui n’ont pas donné lieu à une décision de validation en application du décret n° 85-906 du 23 août 1985 en vue d’une inscription en première année ou en deuxième année de second cycle ou en troisième cycle d’études supérieures.
5) Diplômes professionnels
Les candidats qui ont un diplôme professionnel autre que le certificat d’aptitude pédagogique, le certificat de fin d’études normales, le diplôme d’instituteur ou le diplôme d’études supérieures d’instituteur, bénéficieront de cinq points, soit le maximum pour ce critère. Les diplômes professionnels sont ceux qui ont été obtenus en qualité d’instituteur et qui étaient, ou sont encore, nécessaires pour exercer certaines fonctions occupées par un instituteur. Il peut s’agir notamment : - de diplômes qui ne sont plus attribués actuellement, comme celui de directeur d’établissement spécialisé, ou les certificats d’aptitude à l’enseignement dans les écoles annexes et les classes d’application (CAEAA), les certificats d’aptitude à l’éducation des enfants et adolescents déficients ou inadaptés (CAEI), les diplômes de psychologue scolaire, les certificats d’aptitude à l’éducation musicale et à l’enseignement du chant choral (CAEM), les certificats d’aptitude à l’enseignement dans les classes pratiques (CAEP), les certificats d’aptitude à l’enseignement dans les classes de transition (CAET), les certificats d’aptitude à l’enseignement des travaux manuels (CAETM) ; - ou des diplômes actuels tels le diplôme de directeur d’établissement d’éducation adaptée et spécialisée (DDEAS), le certificat d’aptitude aux fonctions d’instituteur maître-formateur (CAFIMF), le certificat d’aptitude aux actions pédagogiques spécialisées d’adaptation et d’intégration scolaire (CAPSAIS). Je vous rappelle que des équivalences ont été prévues par les décrets instituant ces diplômes, notamment le décret n° 85-88 du 22 janvier 1985 (article 9, 11 et 12). Il a également été décidé de prendre en compte le certificat d’aptitude à l’enseignement des sourds-muets d’Asnières (CAESMA) délivré par l’institut Gustave-Baguer et le certificat de qualification aux fonctions de conseiller en formation continue dès lors que les instituteurs concernés continuent à exercer ces dernières fonctions. Les diplômes exigés pour assurer certains enseignements dans d’autres administrations ou dans certaines collectivités territoriales ne sont pas retenus. Cependant, doivent être comptés comme diplômes professionnels le certificat d’aptitude à l’enseignement dans les collèges d’enseignement général (CAPCEG) et le certificat d’aptitude à l’enseignement agricole (CAEA) exigés des instituteurs pour exercer certaines fonctions. Tous les diplômes mentionnés ci-dessus sont considérés comme diplôme professionnel et ne peuvent être pris en compte deux fois. Il en est de même des diplômes de psychologue scolaire ou des diplômes d’État de psychologie scolaire délivrés par les universités. Toutefois, lorsque le candidat possède en plus un autre diplôme universitaire de psychologie, celui-ci compte alors comme diplôme universitaire.
IV - Procédure
Les critères de choix pris en compte dans les conditions mentionnées ci-dessus permettront à chaque inspecteur d’académie de préparer la liste d’aptitude au titre de l’année scolaire 2005-2006. Les instituteurs seront éventuellement départagés en fonction de leur ancienneté générale de services. La commission administrative paritaire départementale unique, compétente pour émettre un avis sur les demandes d’intégration dans le corps des professeurs des écoles, sera réunie sur convocation de l’inspecteur d’académie. Je vous rappelle que les pièces et les documents nécessaires, et notamment la liste des candidats, devront être communiqués aux membres de cette commission huit jours au moins avant la date de la séance. Aucun instituteur ayant accompli trente-sept annuités et demie (hors bonification) ne doit être admis à la retraite sans avoir été nommé professeur des écoles s’il en a fait la demande et s’il remplit les conditions pour être effectivement installé en cette qualité. La situation de ces personnels doit donc être considérée par anticipation, avant l’obtention de trente six annuités, afin que les intéressés puissent effectivement partir à la retraite l’année où ils totalisent trente-sept annuités et demie. Si les critères de choix permettent de classer les candidats, facilitant ainsi l’examen des candidatures, je vous demande, comme les années précédentes de répondre au souci de faire accéder au corps des professeurs des écoles, avant leur cessation d’activité, le maximum des instituteurs actuellement en fonction. Le nombre total de postes attribués à chaque département doit vous aider à atteindre cet objectif. En tout état de cause la situation des instituteurs susceptibles de faire valoir leurs droits à la retraite à la rentrée scolaire 2005 ou à la rentrée scolaire 2006 parce qu’ils sont âgés au moins de 55 ans devra, compte tenu du nombre de leurs annuités liquidables pour leur pension, être examinée en priorité. Les modalités d’application de ce dispositif sont dans tous les départements définies et mises en œuvre après avis de la commission administrative paritaire départementale. Vous voudrez bien veiller particulièrement, dans ce cadre, à la situation des enseignants qui ont dû interrompre momentanément leur carrière pour élever leurs enfants en bas âge. Lorsque la commission aura émis son avis sur toutes les demandes d’intégration, l’inspecteur d’académie arrêtera la liste des candidats retenus compte tenu du nombre d’emplois qui lui a été notifié. Dans la limite de 50 % de ce nombre, une liste complémentaire à la liste principale pourra être établie.
V - Décisions
Je vous rappelle que les nominations pour ordre sont impossibles. Pour cette raison, et parce que toute nomination dans un corps de fonctionnaires est liée à la vérification de l’aptitude physique de l’intéressé, les instituteurs en congé de longue durée ou de longue maladie qui seront inscrits sur la liste d’aptitude ne pourront être nommés professeurs des écoles que si leur aptitude à l’exercice des fonctions postulées est reconnue, avant la fin du mois de juin 2005, après examen par un spécialiste agréé et avis favorable du comité médical compétent. L’obligation de différer l’intégration des instituteurs en congé de longue maladie ou de longue durée ne doit pas vous conduire à les exclure de l’inscription sur la liste d’aptitude. Sous réserve de leur installation effective à la rentrée, l’inspecteur d’académie prononcera, à compter du 1er septembre 2005, la nomination des candidats retenus et tiendra compte des précisions suivantes : Les emplois vacants de professeurs des écoles à cette date seront utilisés pour accueillir les professeurs des écoles issus des concours externes, des seconds concours internes et des troisièmes concours qui seront titularisés au 1er septembre 2005 (après avoir suivi une formation en IUFM ou après avoir été externés sur le terrain pendant leur année de stage), les professeurs des écoles ayant sollicité leur réintégration après détachement, disponibilité ou congé. En ce qui concerne les candidats détachés dont vous envisagez la nomination, il vous appartiendra d’en informer le bureau DPE B4 qui procédera à leur détachement en qualité de professeur des écoles à compter de la date de leur nomination si l’organisme d’accueil est favorable à leur maintien en détachement en cette qualité. Dans l’hypothèse d’un avis défavorable de l’organisme d’accueil, ils devront être réintégrés et affectés sur un des emplois vacants de votre contingent s’ils souhaitent conserver le bénéfice de leur nomination. En revanche lorsque vous aurez la certitude que les intéressés que vous aurez nommés professeurs des écoles ne réintégreront pas leur département de rattachement durant l’année scolaire 2005-2006, vous pourrez alors prononcer la nomination, dans le corps des professeurs des écoles, de candidats inscrits sur la liste complémentaire de façon à pourvoir les emplois ainsi libérés. Si des candidats figurant en rang utile sur la liste d’aptitude ne peuvent être nommés ou refusent leur intégration dans le nouveau corps, il vous appartiendra de nommer des candidats inscrits sur cette même liste complémentaire pour les remplacer. La liste d’aptitude fait l’objet d’une publication sous la forme d’un affichage dans les locaux de l’inspection académique et d’une insertion au bulletin départemental ou d’une diffusion par la voie d’une note de service. Les nouveaux professeurs des écoles devront être installés dans leur poste par vos soins : il vous appartient, à cet effet, de faire préparer les procès-verbaux.
VI - Situation des professeurs des écoles
Lorsqu’un instituteur sera intégré dans le corps des professeurs des écoles, il continuera à exercer les mêmes fonctions et conservera l’affectation qui lui avait été attribuée en qualité d’instituteur. tel est le cas, par exemple, des enseignants qui exercent en collège. Pour les professeurs des écoles recrutés au titre d’un département auquel ils étaient rattachés administrativement en 2004-2005 et qui auraient obtenu une mutation dans un autre département pour la rentrée scolaire 2005, il y aura lieu de transmettre à l’inspecteur d’académie du département d’accueil la nomination des intéressés pour qu’ils y soient installés et reclassés, à compter du 1er septembre 2005.
VII - Reclassement dans le corps des professeurs des écoles
Il convient sur ce point de se référer aux dispositions des notes de service n° 92-134 du 31 mars 1992 et n° 93-178 du 24 mars 1993. Il devra être tenu compte de la jurisprudence du Conseil d’État en matière de rappel des services militaires (arrêt Koenig, 21 octobre 1955) aux termes de laquelle un fonctionnaire qui change de corps a droit au report dans le nouveau corps des bonifications et majorations d’ancienneté précédemment obtenues sous réserve que sa situation à l’entrée dans le nouveau corps ne soit pas déjà influencée par l’application desdites majorations et bonifications.
VIII - Indemnité différentielle pour les professeurs des écoles qui, en tant qu’instituteurs, étaient logés ou percevaient l’indemnité représentative de logement
Les modalités de calcul de cette indemnité prévues par le décret n° 99-965 du 26-11-1999 modifié par le décret n° 2000-1288 du 21-12-2000 (JO des 28-11-1999 et 29-12-2000) ont fait l’objet d’une circulaire d’application n° 00-961 du 29 août 2000 dont vous avez été destinataire. Vous voudrez bien me saisir, sous le présent timbre, des difficultés que vous pourriez rencontrer pour l’exécution des instructions qui précèdent.
Pour le ministre de l’éducation nationale,de
l’enseignement supérieur et de la recherche et par délégation, Le directeur des personnels enseignants
Pierre-Yves DUWOYE
FICHE
DE RENSEIGNEMENTS
CANDIDAT À L’INTÉGRATION DANS LE CORPS DES PROFESSEURS
DES ÉCOLES
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