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Bulletin Officiel |
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ENSEIGNEMENTS
ÉLÉMENTAIRE ET SECONDAIRE
PROTECTION DU MILIEU SCOLAIRE
Prévention
des conduites à risque et comité d'éducation à
la santé et à la citoyenneté
NOR : SCOE9801172C
RLR : 552-4
CIRCULAIRE N° 98-108 DU
1-7-1998
MEN
DESCO B4
I - Les principes fondamentaux de
la politique éducative en matière de prévention des
conduites à risque II
- La politique de l'établissement scolaire en matière de
prévention
|
o
À l'heure où les problèmes
économiques et sociaux engendrent des difficultés de tous
ordres dans la vie quotidienne d'un grand nombre d'élèves,
où les sollicitations à consommer des produits licites ou
illicites sont de plus en plus fréquentes auprès de jeunes
plus longtemps scolarisés, le rôle joué par l'école
en matière de prévention des conduites à risque est
primordial, notamment à l'adolescence, au moment où la personnalité
se structure. La prévention fait partie intégrante de la
mission éducative de l'école.
Dans ce cadre, la politique menée
par le ministère de l'éducation nationale, de la recherche
et de la technologie se fonde sur une approche positive qui se traduit
par une valorisation des capacités des élèves et leur
participation active à la vie de l'établissement. Il s'agit
de permettre aux élèves d'adhérer en toute liberté
à des règles de morale collective passant par une réflexion
sur l'image de soi, la connaissance de l'autre et l'ouverture vers les
différences.
Cette approche devra leur permettre
d'opérer des choix favorables à leur santé, leur bien-être
et leur épanouissement mais aussi de construire le lien social nécessaire
à l'apprentissage de la citoyenneté.
La présente circulaire a
pour objet de préciser les axes essentiels de la politique de l'éducation
nationale en matière de prévention des conduites à
risque et d'éducation à la santé et à la citoyenneté.
I - LES PRINCIPES FONDAMENTAUX DE LA POLITIQUE ÉDUCATIVE EN MATIERE DE PRÉVENTION DES CONDUITES À RISQUE
La prévention des conduites
à risque dans les établissements scolaires se fonde sur un
certain nombre de principes qu'il convient de rappeler :
- Les actions de prévention
s'inscrivent dans un projet éducatif d'ensemble cohérent
prenant en compte la santé des élèves et le développement
progressif de leur responsabilité citoyenne. L'ensemble des activités
auxquelles les élèves participent, à commencer par
les activités d'enseignement, concourent à la réalisation
des objectifs d'un tel projet éducatif, partie intégrante
du projet d'établissement ou d'école.
La prévention des toxicomanies
par exemple, n'est pas à isoler de celle de l'ensemble des autres
conduites à risque (violence, conduites suicidaires, usage abusif
d'alcool, de tabac ou de médicaments...) ;
- L'établissement scolaire
constitue un des lieux de vie des élèves, et donc une instance
privilégiée pour la prévention. La responsabilité
de l'ensemble des personnels de l'éducation nationale est pleinement
engagée dans ce devoir de prévention. Quelle que soit sa
fonction, tout adulte membre de la communauté éducative est
impliqué dans cette responsabilité collégiale, respectant
certes la compétence de chacun, mais nécessitant collaboration
et solidarité.
Il est important que les parents
soient informés des actions entreprises et y soient associés
individuellement et par l'intermédiaire de leurs associations ;
- En matière de prévention,
l'École est naturellement amenée à faire appel à
des partenaires extérieurs (autres services de l'État, collectivités
locales, organismes, associations). Il existe en particulier dans tous
les départements des personnels spécialisés du ministère
de l'intérieur ou de la défense nationale qui peuvent être
sollicités pour des actions d'information dans le domaine des stupéfiants,
notamment en direction des personnels des établissements. Ces policiers
en zone urbaine, ou gendarmes en zone rurale, ont reçu une formation
à cet effet et disposent d'une bonne connaissance des problèmes
locaux. Ils interviennent le plus souvent en partenariat avec des représentants
d'autres milieux institutionnels - notamment des médecins - ou associatifs.
L'intervention de ces partenaires
est placée sous la responsabilité des établissements
et s'effectue toujours, au sein d'un travail d'équipe, en présence
et avec la collaboration de personnels de l'éducation nationale.
Même si le recours à ces interventions est important, il ne
peut être le prétexte à un désengagement de
l'éducation nationale de ses responsabilités intrinsèques
dans le domaine de la prévention. On se montrera vigilant à
l'égard des associations. Je vous rappelle qu'un certain nombre
d'entre elles sont agréées par le Conseil national des associations
éducatives complémentaires de l'enseignement public (CNAECEP)
ou par les conseils académiques, conformément aux dispositions
du décret n° 92-1200 du 6 novembre 1992, en fonction du respect
des principes de laïcité, de neutralité, d'ouverture
à tous sans discrimination et compte tenu des résultats de
l'évaluation des actions qu'elles conduisent.
II - LA POLITIQUE DE L'ÉTABLISSEMENT SCOLAIRE EN MATIERE DE PRÉVENTION
La prévention des toxicomanies
et des conduites à risque ne peut en aucun cas se réduire
à la juxtaposition de quelques actions ponctuelles de sensibilisation
ou d'information. Elle se fonde sur la cohérence des discours, des
actions et des comportements de chacun des acteurs de la communauté
scolaire. Elle s'intègre dans une démarche globale de promotion
de la santé et de développement du sens des responsabilités
des élèves vis-à-vis d'eux-mêmes comme vis-à-vis
d'autrui. Elle se décline à chaque étape du projet
d'école ou d'établissement.
La politique de prévention
de l'établissement s'appuie sur un certain nombre de données
quantifiables et d'indicateurs (absentéisme, fréquence des
sanctions, recensement des phénomènes de violence, taux de
passage à l'infirmerie, etc.). Elle prend en compte les facteurs
susceptibles d'influer sur la qualité de vie des élèves
et des adultes dans l'établissement (constitution des classes, rythmes
scolaires, répartition du travail, cadre de vie, restauration scolaire,
transports, utilisation des fonds sociaux, choix des professeurs principaux,
fonctionnement des conseils de classe, évolution du règlement
intérieur, fonctionnement des instances disciplinaires, activités
des clubs, foyers et associations de l'établissement, organisation
de la communication externe et interne, organisation des relations avec
les parents, relations avec les partenaires, etc.).
L'attention particulière
que l'ensemble de la communauté scolaire doit porter à l'amélioration
des conditions de vie et de travail de chacun au sein de l'établissement
s'accompagne d'un esprit d'écoute, de respect et de disponibilité
des adultes vis-à-vis des élèves, d'une attention
constante à l'égard des signes susceptibles de traduire des
problèmes de santé ou de mal-être, d'un souci d'informer
sans délai les responsables de l'établissement et les personnels
spécialisés (assistants de service social, médecins
et infirmiers du service de santé scolaire, conseillers d'orientation
psychologues, etc.) de tout événement ou comportement mettant
en cause l'équilibre physique, psychologique ou social des élèves.
Enfin, on accordera la plus grande
importance, dans l'ensemble des enseignements et des activités organisés
par l'établissement, à tout ce qui valorise les initiatives
et les réussites des élèves et à tout ce qui
développe leur autonomie et leur sens de la responsabilité.
La prévention des conduites
à risque s'organise autour du comité d'éducation à
la santé et à la citoyenneté.
III - LE COMITÉ D'ÉDUCATION À LA SANTÉ ET À LA CITOYENNETÉ
Les comités d'éducation
à la santé et à la citoyenneté, créés
en 1990 sous le nom de comités d'environnement social, ont apporté,
là où ils existent, la preuve de leur efficacité :
fédération d'actions de prévention auparavant dispersées
et sans cohérence, mobilisation des adultes et des élèves
de la communauté scolaire autour d'objectifs clairs, renforcement
d'un partenariat efficace, amélioration significative du climat
et des relations entre adultes et élèves.
J'invite donc les recteurs et les
inspecteurs d'académie à généraliser les comités
d'éducation à la santé et à la citoyenneté
en développant une stratégie volontariste dans leur académie
ou leur département. Ils engageront fermement les chefs d'établissement,
les inspecteurs de l'éducation nationale responsables de circonscription
et les directeurs d'école à mettre en place ce dispositif
de prévention, en tenant compte des spécificités locales
et en permettant aux établissements où fonctionne déjà
un comité d'environnement social d'en garder la dénomination,
s'ils le souhaitent, dans une phase transitoire.
Dans la même agglomération,
par exemple, il est recommandé que plusieurs établissements
fassent fonctionner un comité d'éducation à la santé
et à la citoyenneté en réseau, où les écoles
primaires sont tout naturellement associées. Priorité sera
accordée au développement des comités d'éducation
à la santé et à la citoyenneté dans les zones
d'éducation prioritaires et dans les sites les plus exposés
à la violence, à commencer par les sites expérimentaux
de prévention de la violence.
3.1 Les missions du comité d'éducation à la santé et à la citoyenneté
Ces missions reposent sur le socle
de valeurs partagées en termes d'équité, de solidarité,
de respect mutuel, de laïcité ; elles se situent dans la perspective
d'une approche globale prenant en compte les besoins de l'élève
dans et hors l'école et nécessitent l'organisation d'un authentique
partenariat autour de l'école.
Elles se déclinent en six
axes :
- contribuer à la mise en
place de l'éducation citoyenne dans l'école ou l'établissement
en rendant l'élève responsable, autonome et acteur de prévention
;
- organiser la prévention
des dépendances, des conduites à risque et de la violence
dans le cadre du projet d'établissement ;
- assurer le suivi des jeunes dans
et hors l'école : le comité d'éducation à la
santé et à la citoyenneté permet aux membres de la
communauté éducative de prendre en charge les problèmes
en concertation, de faire appel aux compétences de personnels spécialisés
en interne (médecins, infirmier(e)s, assistants sociaux), ou à
des relais extérieurs ;
- venir en aide aux élèves
manifestant des signes inquiétants de mal être : usage de
produits licites ou illicites, absentéisme, désinvestissement
scolaire, repli sur soi, conduites suicidaires... ;
- renforcer les liens avec les
familles ;
- apporter un appui aux acteurs
de la lutte contre l'exclusion en renforçant les liens entre l'établissement,
les parents les plus en difficulté et les autres partenaires concernés
(comme la loi d'orientation relative à la lutte contre les exclusions
le prévoit).
3.2 L'organisation du dispositif
La création du comité
d'éducation à la santé et à la citoyenneté
est soumise au vote du conseil d'administration puis portée à
la connaissance de tous membres de la communauté éducative
et des partenaires.
Le comité d'éducation
à la santé et à la citoyenneté développe
une démarche de projet qui suppose l'analyse de la situation de
l'établissement et de son environnement, des problèmes, des
ressources, des capacités d'initiative, des compétences à
développer et la définition d'objectifs opérationnels.
Il peut fonctionner en séances
plénières mais aussi en commissions restreintes qui permettent
une plus grande souplesse.
Il est présidé par
le chef d'établissement. Sa composition est évolutive et
adaptable à chaque situation locale, mais il associe l'ensemble
de la communauté éducative : les personnels de direction,
d'enseignement, d'éducation, de surveillance, sanitaires et sociaux,
d'orientation, ATOS, les élèves dont la participation est
primordiale, qu'ils soient délégués ou non, les parents
d'élèves et les partenaires extérieurs (représentants
des collectivités locales, de la justice, de la police, de la gendarmerie,
organismes et associations habilités).
Les actions conduites font l'objet
d'un bilan annuel établi à partir de quelques indicateurs
qui permettront de fixer des repères. Cette phase est indispensable
pour s'interroger sur la pertinence des actions, leurs retombées
et envisager un recadrage éventuel.
3.3 Le partenariat
Partant d'une logique centrée sur l'établissement, l'institution éducative joue un rôle fort au sein d'un "maillage public de prévention". Le comité d'éducation à la santé et à la citoyenneté est, dans ce cadre, un outil privilégié de coordination des différents partenaires et en particulier ceux qui relèvent de politiques spécifiques : les conseils de zone d'éducation prioritaire, les groupes opérationnels d'action locale de sécurité (GOALS), les comités départementaux de prévention de la délinquance (CDPD), les comités communaux de prévention de la délinquance (CCPD), les structures de concertation de politique de la ville ainsi qu'avec les contrats locaux de sécurité institués par la circulaire du 28 octobre 1997 (Jo du 30 octobre 1997). Ces différentes institutions, pour être pleinement efficaces, doivent nécessairement mener une action concertée, chacune conservant toutefois ses responsabilités propres.
IV - LA FORMATION DES PERSONNELS
La prise en compte, par l'institution
scolaire, de la prévention, nécessite un effort particulier
d'information et de formation initiale et continue des personnels.
L'expérience montre que
sont particulièrement efficaces les formations multicatégorielles
conduites sur site associant largement les personnels des autres ministères
(justice, défense, intérieur...).
Ces formations apporteront aux
adultes des connaissances techniques dans le domaine de la prévention
(connaissance de la loi, des produits et de leurs effets, responsabilité
des différents acteurs...), des informations sur l'adolescence et
les relais possibles dans l'environnement de l'établissement.
La prévention doit être
intégrée au plan de formation des personnels de direction.
La formation initiale des futurs
professeurs des écoles, des lycées et collèges ainsi
que des futurs conseillers principaux d'éducation organisée
par les instituts universitaires de formation des maîtres prend en
compte les problèmes de prévention des conduites à
risque.
Cette prise en compte se fait de
deux manières :
- en assurant une information et
une sensibilisation à ces questions dans le cadre des actions de
formation présentes dans tous les plans de formation portant sur
l'éducation à la santé, la connaissance de la psychologie
et la physiologie de l'enfant et de l'adolescent, la connaissance de l'environnement
et la diversité des élèves ;
- en les préparant à
être des relais d'information et de communication efficaces, à
être vigilants sur ce type de risques et à travailler en étroite
liaison avec les autres personnels de l'établissement et les partenaires
extérieurs.
V - LA PARTICIPATION DES ÉLEVES AUX ACTIONS DE PRÉVENTION
Il est particulièrement efficace
d'associer les élèves aux actions menées en matière
de prévention. Leurs besoins réels sont ainsi pris en compte
et ils sont étroitement associés au choix et à l'élaboration
des actions ainsi qu'à la diffusion de l'information. Ce type de
démarche exige un projet éducatif clair et un encadrement
adulte structuré.
La vie dans l'établissement
offre de nombreuses occasions pour les élèves d'exercer des
responsabilités : travail sur le projet personnel, fonctionnement
du système de délégation (formation des délégués
en particulier), travail sur le règlement intérieur, engagement
dans des pratiques de groupe (sportif, culturel, humanitaire...).
Les élèves peuvent
gérer certaines des actions du comité d'éducation
à la santé et à la citoyenneté, entretenir
des relations avec les structures de quartier et y participer. Pour que
la prise de responsabilité puisse être effective et efficace,
il faut que les responsables d'actions soient clairement désignés
et formés, qu'ils soient accompagnés dans leur démarche,
que des outils leur soient donnés (par exemple des outils de conduite
de projet) et que des objectifs clairs leur soient assignés.
Il est important que la prise de
responsabilité se fasse dans un cadre qui la rende possible : il
n'est pas éducatif en effet de confier à des élèves
des tâches qu'ils ne peuvent accomplir. Il faut leur en donner les
moyens.
Cet exercice de la responsabilité,
bien accompagné, bien géré, aide les élèves
à se définir, à affronter les problèmes, à
les résoudre et a un effet de prévention des conduites à
risque.
VI - LE PILOTAGE ACADÉMIQUE
La souplesse et la liberté laissées aux instances locales ont fait leurs preuves dans le cadre d'un accompagnement bien compris par les académies, fédérant les actions des comités d'éducation à la santé et à la citoyenneté au sein de leur politique académique propre.
6.1 Les groupes académiques de pilotage des comités d'éducation à la santé et à la citoyenneté
Mis en place dans l'ensemble des
académies autour du recteur, les groupes académiques de pilotage
des comités d'éducation à la santé et à
la citoyenneté regroupent, autour d'un coordonnateur, les conseillers
techniques responsables de la vie scolaire et du domaine médical
ou social, sans exclure toute autre compétence.
Ils ont pour rôle de :
- définir la politique académique
à partir des orientations nationales ;
- sensibiliser et conseiller les
chefs d'établissement pour développer les comités
d'éducation à la santé et à la citoyenneté
;
- organiser la formation des équipes
d'établissement par un groupe de formateurs clairement identifiés
;
- instruire et financer les projets
des établissements ;
- accompagner les établissements
dans leur démarche d'évaluation.
6.2 Au niveau départemental
Une attention particulière
est réservée au renforcement des actions conduites dans les
départements en termes de coordination, d'impulsion et d'animation,
afin de créer une véritable interface avec les chefs de projet
toxicomanie mis en place auprès des préfets par la circulaire
du Premier ministre du 9 juillet 1996 ainsi qu'avec les contrats locaux
de sécurité.
Les inspecteurs d'académie
seront dans leur département les relais naturels de la politique
académique. Ils associeront tous les relais locaux, en particulier
les chefs d'établissements, les inspecteurs de l'éducation
nationale et les directeurs d'école.
La présente circulaire annule
et remplace les dispositions des circulaires n° 83-287 du 27 juillet
1983, n° 85-118 du 26 mars 1985, n° 93-137 du 25 février
1993 et de la lettre du 22 octobre 1990.
L'importance que revêt la
prévention des conduites à risque m'amène à
demander à chacun des acteurs de terrain une implication personnelle
forte. Au sein des établissements, l'ensemble de la communauté
éducative - personnels de direction et d'éducation, enseignants,
personnels de surveillance, personnels sanitaires et sociaux, conseillers
d'orientation psychologues, ATOS - doit se mobiliser. Les autorités
académiques s'attacheront à relancer la dynamique de prévention,
à faire en sorte que se développent les comités d'éducation
à la santé et à la citoyenneté, à proposer
les formations appropriées, à favoriser les échanges
d'expériences entre établissements et à faciliter
les indispensables partenariats.
J'attire votre attention sur l'importance
particulière que j'attache à la mise en place de ces mesures
qui feront l'objet d'un bilan annuel demandé par mes services.
Vous voudrez bien me communiquer
les observations ou propositions éventuelles suscitées par
ce texte.
La ministre déléguée,
chargée de l'enseignement
scolaire
Ségolène ROYAL
- Repères pour la prévention
des conduites à risque dans les établissements scolaires
(DLC-DGLDT 1994) - Nouvelle édition à paraître (rentrée
1998)
- Repères pour la prévention
des conduites à risque à l'école élémentaire
(DE-DLC-DGLDT 1995)
- Dépliant sur le comité
d'éducation à la santé et à la citoyenneté
(à paraître).
N.B. : pour toutes précisions
complémentaires, contacter la direction de l'enseignement scolaire-bureau
DESCO B4.