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Bulletin Officiel |
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ENSEIGNEMENTS
ÉLÉMENTAIRE ET
SECONDAIRE
ENSEIGNEMENT EN LYCÉE
Réforme
des lycées : classes de seconde générale
et technologique - rentrée
1999
NOR : MENE9901089N
RLR : 520-1 ; 524-0d
NOTE DE SERVICE N° 99-073
DU 20-5-1999
MEN
DESCO A3 ET A4
Texte adressé aux recteurs
d'académie
PRÉSENTATION GÉNÉRALE
o
La mise en place de la classe de seconde à la rentrée 1999
constitue la première étape de la réforme des lycées.
Celle-ci se poursuivra en classe de première à la rentrée
2000 et en classe terminale à la rentrée 2001. Les textes
réglementaires concernant l'organisation et les horaires de ces
trois classes sont parus au Journal officiel du 30 mars 1999 et au B.O.
du 8 avril 1999 (arrêtés du 18 mars 1999).
S'agissant du calendrier d'application
de la réforme en classe de seconde, un dispositif transitoire est
prévu pour la rentrée 1999 compte tenu de la proximité
de cette rentrée. Les dispositions essentielles de la réforme,
notamment l'aide individualisée, le nouveau cadre horaire et l'introduction
de nouveaux enseignements, entrent en vigueur dès cette rentrée.
En revanche, d'autres mesures n'interviendront qu'à la rentrée
2000 : rénovation des options technologiques et application de nouveaux
programmes disciplinaires dans certaines disciplines.
La présente note de service
a pour objet d'apporter des précisions sur les objectifs de la nouvelle
classe de seconde, sur la structure des enseignements et les nouvelles
dispositions qui la caractérisent.
L'organisation de la classe de
seconde est guidée par les principes suivants :
- préserver le caractère
de détermination de
cette classe en permettant un choix
ouvert de la série menant au baccalauréat,
- accompagner chaque élève
de manière adaptée afin qu'il trouve, dans le cadre du lycée,
toute l'aide nécessaire à l'appropriation des savoirs et
à l'acquisition de son autonomie,
- développer des enseignements
qui permettent à l'élève de mieux appréhender
le monde qui l'environne, d'exercer son jugement (éducation civique,
juridique et sociale), d'acquérir de nouvelles compétences
(pratique du débat argumenté, développement des capacités
de communication en langues, pratique des outils modernes de communication
et d'information), de s'ouvrir à la vie culturelle et artistique
(ateliers d'expression artistique).
I - La classe de seconde générale
et technologique est une classe de détermination
La classe de seconde est réaffirmée
comme une classe de détermination.
La classe de seconde comprend des
enseignements communs à tous les élèves, deux enseignements
de détermination au choix, auxquels peut s'ajouter le choix d'un
seul enseignement facultatif.
Le choix des enseignements de détermination
ne doit en aucun cas aboutir à enfermer les élèves
dans des choix d'orientation irréversibles. Les enseignements de
détermination sont conçus pour permettre aux élèves
de tester leurs goûts et leurs aptitudes. Aucun de ces enseignements
ne peut être imposé en vue de l'accès à une
série de première déterminée. Pour les élèves
n'ayant pas suivi certains de ces enseignements en classe de seconde, les
horaires des disciplines correspondantes en classe de première pourront
être renforcés. De
manière générale, le choix des enseignements de détermination
est fonction de l'état de maturité du projet d'études
de chaque élève.Deux cas de figure peuvent se présenter
:
- celui des élèves
n'ayant pas de projet particulier à l'issue de leur scolarité
en collège ou dont les choix ne sont pas encore fixés. Ces
élèves - qui constituent la majorité des élèves
de seconde - ont avantage à utiliser pleinement les enseignements
de détermination pour préciser progressivement le type de
poursuite d'études vers la série qui leur conviendra le mieux
en première.
Il faut souligner à cet
égard l'intérêt d'un panachage entre un enseignement
à dominante technologique et un enseignement de détermination
de LV2 dont il convient de recommander le suivi à un maximum d'élèves
compte tenu du fait que cette dernière fait partie des enseignements
obligatoires en premières ES, L, S, STT. Ces combinaisons présentent
l'avantage, outre d'élargir l'horizon culturel des élèves,
de préserver des possibilités d'orientation très variées
à l'issue de la seconde.
- celui des élèves
qui ont un projet de poursuite d'études dès la fin de la
troisième :
a) s'il s'agit d'élèves
décidés à s'orienter vers la voie générale,
le choix de deux enseignements généraux dont la LV2 peut
être recommandé sans exclure des combinaisons du type de celle
précisée à l'alinéa précédent.
b) s'il s'agit d'élèves
plus portés à s'orienter vers la voie technologique, le choix
de deux enseignements technologiques peut s'avérer judicieux, notamment
dans le cadre de certains parcours (STI, STL, SMS...). Ces parcours sont
mentionnés à titre indicatif en note de l'arrêté
sur la classe de seconde.
Les couplages d'enseignements technologiques
significatifs de parcours particuliers ne doivent en aucun cas être
imposés aux élèves. Ceci pourrait laisser croire aux
élèves les moins bien informés que l'admission en
classe de première peut être automatiquement subordonnée
à la combinaison de deux enseignements de détermination particuliers.
Le choix d'une LV2 en enseignement
facultatif est réservé aux élèves ayant choisi
un couplage d'enseignements technologiques. Les
élèves ayant choisi deux enseignements de détermination
technologiques peuvent être dispensés de l'enseignement de
sciences de la vie et de la Terre du tronc commun. Ils peuvent toutefois
suivre cet enseignement s'ils le souhaitent et si leur lycée peut
le leur proposer.
II - Dispositif d'accompagnement
pédagogique des élèves
Un des axes forts de la réforme
des lycées consiste à centrer plus étroitement le
lycée sur les besoins des élèves afin de favoriser
la réussite de chacun. C'est pourquoi, les heures de cours stricto
sensu ont été réduites pour laisser plus de place
aux activités d'enseignement en petits groupes permettant de répondre
plus précisément aux attentes des élèves grâce
à des approches pédagogiques variées. Le travail au
CDI sous la responsabilité des documentalistes, en laboratoire de
langue, en atelier d'informatique doit permettre de développer les
capacités d'autonomie des élèves.
Les dédoublements lorsque
les effectifs le justifient, les modules, l'aide individualisée
permettent à la fois un accompagnement pédagogique de tous
les élèves et une aide complémentaire pour ceux qui
en ont le plus besoin.
Le dispositif d'accompagnement
pédagogique implique l'ensemble de la communauté éducative
: il doit s'inscrire dans le projet d'établissement. Le conseil
d'administration arrêtera les modalités de ce dispositif après
avoir consulté le conseil de la vie lycéenne.
- l'enseignement modulaire
est organisé pour tous les
élèves dans les disciplines suivantes : français (0,5
h), LV1 (1h), histoire-géographie (0,5h), mathématiques(1,5h).
Introduits dans le cadre de la
réforme des lycées de 1992, les modules ont été
conçus pour répondre à la fois aux exigences des apprentissages,
notamment méthodologiques, requis à ce niveau de l'enseignement
scolaire et à leur mise en œuvre pour des élèves dont
les besoins sont naturellement hétérogènes.
Chaque professeur des quatre disciplines
concernées par un module a la charge d'enseigner à la fois
en cours et en module. Les professeurs peuvent enseigner à des élèves
d'autres classes si cela correspond à un projet défini par
l'équipe pédagogique.
Le récent rapport de l'inspection
générale sur les modules a bien montré l'intérêt
pédagogique, tant pour les élèves que pour leurs professeurs,
d'une mise en œuvre du dispositif complémentaire, cours et module,
telle que la prévoient les recommandations de la note de service
du 25 mai 1992 qui restent pertinentes et auxquelles les équipes
pédagogiques pourront valablement se référer.
Il a montré également
l'importance que revêt une organisation non pérenne des groupes,
conduisant à découpler les modules et à mettre en
parallèle les emplois du temps d'au moins deux classes pour conserver
la fluidité des groupes nécessaire au suivi des élèves
dont "les besoins en remédiation, méthodologie ou approfondissement
ne sont pas complémentaires à l'intérieur du groupe
classe*".
- l'aide individualisée
est apportée à des
élèves, constitués en petits groupes (huit élèves
au maximum), qui rencontrent des difficultés ponctuelles ou présentent
des lacunes plus profondes que l'enseignement en module ne peut résoudre.
Cette aide doit permettre de redonner
confiance aux élèves en leur offrant la possibilité,
avec l'appui de leurs professeurs, de s'interroger sur leurs difficultés
et sur les méthodes qui leur sont proposées. De la sorte,
ils sont ainsi mis en situation d'acquérir peu à peu une
autonomie et de nouvelles compétences pour rentrer dans la logique
du travail qui leur est demandé.
Pour la mise en place de l'aide
à la rentrée 1999, la dotation horaire globale comprend deux
heures hebdomadaires pour toutes les divisions de seconde. Cette dotation
de base est affectée au français et aux mathématiques.
Des établissements, sélectionnés
par les autorités académiques en fonction de critères
sociaux et/ou scolaires, recevront une dotation complémentaire de
deux heures pour les divisions qui en ont le plus besoin. Le volant d'aide
supplémentaire peut être utilisé soit pour créer
davantage de groupes dans les deux disciplines précitées,
soit dans d'autres disciplines en fonction des besoins des élèves.
La mise en œuvre de l'aide individualisée
peut s'effectuer de la manière suivante :
- pendant le mois qui suit la rentrée
scolaire des groupes sont constitués à partir des difficultés
individuelles mises en évidence par l'évaluation en classe
de seconde organisée en début d'année, complétée
par un entretien de l'élève avec ses professeurs :
- des objectifs et un plan de travail
pour quelques semaines sont proposés à chaque élève
par les enseignants qui procèdent ensuite à une analyse et
un bilan permettant de compléter ou de réorienter la nature
de l'aide apportée à chacun des élèves concernés.
Ce bilan interviendra plusieurs fois dans l'année scolaire selon
une périodicité définie par l'équipe éducative.
Le dispositif sera évalué
dans sa première année de fonctionnement notamment au sein
du conseil d'administration et du conseil de la vie lycéenne.
Les heures d'aide sont incluses
dans le service obligatoire des enseignants ou éventuellement rémunérées
en heures supplémentaires.
III - Autres dispositions nouvelles de la réforme
1 - Éducation civique,
juridique et sociale
Les établissements sont
non seulement des lieux d'acquisition de savoirs mais également
des lieux d'apprentissage de la citoyenneté. Les nouvelles instances
de la vie lycéenne, mises en place dans tous les établissements,
favorisent des pratiques plus responsables fondées sur les droits
et les devoirs du lycéen.
L'enseignement d'éducation
civique, juridique et sociale répond à une demande forte
des lycéens. Il vise à l'apprentissage de la citoyenneté
et de la démocratie ainsi qu'à la compréhension du
monde contemporain ; il est l'occasion de mettre en œuvre des méthodes
pédagogiques associant étroitement les élèves
au travail effectué sur des thèmes de société
et d'actualité répondant aux préoccupations de jeunes
adultes (dossiers, exposés, débats).
Cet enseignement est obligatoire.
L'horaire hebdomadaire de 0,5 heure
(en classe dédoublée) peut être regroupé par
quinzaine ou par mois pour faciliter l'organisation de débats argumentés.
Des formules souples d'aménagement des horaires seront encouragées
afin de permettre la réussite de cet enseignement novateur.
En classe de seconde, l'éducation
civique, juridique et sociale est assurée prioritairement par les
professeurs volontaires d'histoire-géographie. Dans le cadre de
l'organisation pédagogique propre à l'établissement,
d'autres professeurs, compétents dans les domaines concernés,
peuvent y contribuer, en particulier les professeurs de sciences économiques
et sociales ou de philosophie. L'éducation
civique, juridique et sociale fera l'objet d'une université d'automne
ainsi que de stages inscrits au plan national de formation et dans les
plans académiques de formation. En accompagnement des programmes,
des fiches pédagogiques seront diffusées.
2 - Langues vivantes
L'amélioration des compétences
linguistiques des élèves constitue un des objectifs de la
réforme des lycées. Celle-ci vise en effet à créer
les conditions d'un apprentissage plus efficace permettant en particulier
de développer les compétences de communication orale.
Deux types de mesures concourent
à cet objectif :
- d'une part, les modules en LV1
et l'introduction de dédoublements en LV2 et LV3. Ce nouveau dispositif
doit permettre aux enseignants d'entraîner plus intensivement les
élèves à la pratique de la langue, de diversifier
les approches pédagogiques et d'avoir plus souvent recours aux technologies
de l'information et de la communication,
- d'autre part, la participation
d'assistants étrangers à l'apprentissage. Ils aident les
élèves à se familiariser avec la conversation courante.
Les séances qu'ils conduisent
doivent être en relation directe avec le cours de l'enseignant et
préparées avec celui-ci, à partir des recommandations
élaborées par le groupe technique disciplinaire. Le recrutement
de ces assistants se fera de manière progressive. S'agissant plus
particulièrement de la rentrée 1999, les assistants disponibles
seront prioritairement affectés en classe de seconde en LV1.
Pour compléter ce dispositif,
l'organisation, pour les élèves, de stages intensifs sur
plusieurs jours, dans le cadre de l'établissement, sera encouragée.
3 - Ateliers d'expression artistique
La création et la mise en
œuvre des ateliers d'expression artistique correspondent à une attente
forte des lycéens. À côté des enseignements
artistiques facultatifs qui sont maintenus, ils apportent une formation
correspondant à la volonté de donner aux élèves,
dans une exigence de démocratisation, l'accès pour tous aux
arts et à la culture.
Chaque atelier regroupe les élèves
volontaires, tous niveaux confondus et sans distinction de série.
Prioritairement implantés
dans les établissements où il n'existe actuellement aucune
offre de formation artistique, ils seront progressivement généralisés
à tous les lycées.
Les ateliers sont de soixante-douze
heures qui seront réparties sur l'année en fonction d'un
projet conçu et encadré par un enseignant (ou une équipe
pédagogique volontaire), spécialiste d'un domaine artistique
ou ayant acquis une compétence dans les domaines artistiques. Un
professeur de l'éducation nationale peut également être
responsable de l'organisation, du suivi et de l'évaluation du travail
de plusieurs ateliers conduits par des intervenants, notamment en théâtre
et en musique.
Des professeurs d'enseignement
artistique de collège pourront intervenir dans ce type d'enseignement
en étant rémunérés en HSE. Les
ateliers d'expression artistique ont pour vocation d'être des lieux
d'ouverture, pour les établissements scolaires, à l'environnement
culturel et artistique et aux structures de formation et de diffusion qui
les animent en faisant largement appel à des intervenants sélectionnés
par des commissions mixtes rectorat et direction régionale des affaires
culturelles. Ce partenariat prendra appui sur des conventions ou des accords
de jumelage passés dans le cadre des politiques conjointement conduites
par les recteurs d'académie et les directeurs régionaux des
affaires culturelles.
Des crédits spécifiques
seront attribués pour financer l'intervention de ces partenaires.
L'atelier d'expression artistique
s'inscrit comme un élément essentiel du volet culturel du
projet d'établissement qui précise et justifie les conditions
de son renouvellement.
Les lycéens seront étroitement
associés, notamment dans le cadre de la vie lycéenne, à
la conception des projets d'atelier et à leur fonctionnement.
Une note de service apportera des
précisions sur les contenus pédagogiques des ateliers qui
s'appuieront, chaque fois que possible, sur les acquis, les aspirations
et les pratiques des élèves.
4 - Enseignement de détermination
d'EPS
Un enseignement de cinq heures,
dont une heure dédoublée, est proposé en enseignement
de détermination ; il exclut, pour les élèves qui
ont opté pour cet enseignement, le choix de l'option facultative
d'EPS.
Les objectifs, les contenus et
les conditions de mise en œuvre de cet enseignement qui pourra se prolonger
en première et en terminale en vue d'un baccalauréat technologique
EPS, seront précisés ultérieurement. Un programme
sera proposé à titre transitoire pour la rentrée 1999
dans l'attente d'un programme définitif pour la rentrée 2000.
L'implantation de cet enseignement
en seconde à compter de la rentrée 1999, s'effectuera de
manière très progressive, à raison, dans un premier
temps, de deux établissements par académie volontaire pour
l'assurer. Les critères de choix des établissements d'accueil
sont liés aux équipements sportifs des lycées et à
l'environnement immédiat ainsi qu'aux possibilités d'accueil
en internat pour les élèves.
5 - Mise à niveau en
informatique
Cet enseignement est à mettre
en place dans chaque établissement. Il ne concerne pas l'ensemble
des élèves de seconde mais un public ciblé insuffisamment
familiarisé avec la pratique de l'outil informatique au collège
pour suivre l'utilisation des nouvelles technologies dans toutes les disciplines
du lycée. Sa mise en place s'appuiera sur des informations communiquées
par les professeurs de collège en fin de troisième selon
des modalités qui seront précisées prochainement.
Son financement doit s'effectuer dans le cadre des moyens dont disposent
les établissements.
6 - Heures de vie de classe
Ces heures visent à permettre
un dialogue permanent entre les élèves de la classe, entre
les élèves et les enseignants ou d'autres membres de la communauté
scolaire, sur toute question liée à la vie de la classe,
à la vie scolaire ou tout autre sujet intéressant les lycéens.
Elles sont inscrites à l'emploi
du temps de tous les élèves. Si la fréquence et les
modalités d'organisation de ces heures peuvent être variables
selon les établissements, elles doivent cependant avoir lieu au
minimum tous les mois et être organisées sous la responsabilité
du professeur principal ou des conseillers principaux d'éducation,
avec le concours des enseignants de la classe, des conseillers d'orientation-psychologues,
des documentalistes et des personnels de santé.
Selon les thèmes et les
sujets abordés au cours de ces heures, elles peuvent être
animées par des personnels de l'établissement ou par les
lycéens eux-mêmes.
L'organisation et le contenu de ces heures sont définis par le conseil
d'administration après avis du conseil de la vie lycéenne.
IV - Les programmes pour l'année
scolaire 1999-2000
Des contenus de programmes nouveaux
et des aménagements de programmes actuellement en vigueur en classe
de seconde seront présentés au conseil supérieur de
l'éducation lors de la séance du mois de juillet 1999. Leur
publication interviendra peu après. Les enseignements suivants sont
concernés :
programmes des nouveaux enseignements
:
- éducation civique, juridique
et sociale
- éducation physique et
sportive (enseignement de détermination)
- arts : domaine danse
aménagement de programmes
d'enseignements existants
- français
- mathématiques
- sciences économiques et
sociales
- sciences et techniques médico-sociales
- sciences et techniques biologiques
et paramédicales
- techniques des sciences physiques
- histoire-géographie
Les aménagements prévus
par la circulaire n°98-212 du 27-10-1998 (B.O.
hors-série n°12 du 9-10-1998) pour les enseignements de
physique-chimie et de sciences de la vie et de la Terre sont reconduits.
Pour le ministre de l'éducation
nationale, de la recherche
et de la technologie
et par délégation,
Le directeur de l'enseignement scolaire
Bernard TOULEMONDE
* rapport de Marc Fort et Marc Baconnet de l'inspection générale de l'éducation nationale : "les modules en lycée", juin 1998.