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Combien coûte l’éducation ? Quels agents économiques, État, collectivités territoriales, ménages, entreprises, en assurent le financement ? Quelle est la dépense moyenne pour un élève ou pour un étudiant ? En répondant à ces questions, le Compte de l'éducation vise à apporter une mesure de l'effort monétaire que la collectivité nationale consacre au système éducatif. Il est en cohérence avec la Comptabilité nationale dont il constitue un compte satellite.

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Ce numéro de la revue Éducation & formations s’intéresse aux expériences de vie et de formation des élèves de la voie professionnelle. Il met en perspective  le bien-être des élèves, leur parcours scolaire et leur orientation, et en regard les conditions de travail et le bien-être de leurs enseignants. Deux articles hors thèmes abordent l’accès en licence après un baccalauréat technologique et la motivation des élèves à répondre à un test standardisé.

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La lutte contre le décrochage scolaire représente un enjeu majeur de cohésion sociale et d’équité du système éducatif. Les études rassemblées dans ce numéro de la revue Éducation & formations analysent les différentes situations et facteurs propices à l’abandon prématuré d’une formation. La connaissance des multiples causes du décrochage permet, en effet, d’identifier autant de leviers d’intervention publique pour prévenir l’échec et favoriser l’insertion des jeunes dans la vie professionnelle.

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En 2016, les jurys ont examiné 18 700 candidatures à un diplôme professionnel de l’Éducation nationale et prononcé 12 840 décisions de validation totale, soit respectivement 3 % et 2 % de moins qu’en 2015. Plus en amont du parcours, le nombre de recevabilités et de dépôts de candidatures ont baissé plus fortement (- 6 et - 5 %).

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Deux indicateurs, l’un français, l’autre européen, permettent d’estimer le faible niveau d’études des jeunes. Du point de vue de leur mesure, ces deux indicateurs sont cohérents bien qu'ils diffèrent à la fois dans leur mode de calcul et dans ce qu’ils cherchent à mesurer.

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Depuis 2003, l’évolution de la formation professionnelle se traduit, dans les universités, par un accroissement de la place des entreprises qui se manifeste davantage par leur contribution financière que par le nombre de leurs salariés formés.

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La pratique du redoublement a considérablement diminué au cours des vingt dernières années. La baisse concerne tous les niveaux et résulte d’une politique mise en œuvre dans toutes les académies. Cette politique a eu un effet positif sur la fluidité des parcours des élèves et leur réussite aux examens, mais cette évolution profite davantage aux milieux favorisés. À l’échelle internationale, la France demeure l’un des pays où le retard est le plus important et où la discrimination en fonction de l’origine sociale est la plus forte.

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La formation continue dans les universités accueille plus de 300 000 stagiaires en 2012, soit 21 % de plus qu’en 2001. Les salariés et les demandeurs d’emploi représentent une part de plus en plus grande des inscrits. La part des formations diplômantes s’est renforcée sur tout le territoire, grâce notamment au succès rencontré par la licence professionnelle en formation continue.

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La série S regroupe des spécialités présentant des caractéristiques différentes tant au niveau du taux de réussite que des profils des candidats (milieu social et retard scolaire). L’obtention du baccalauréat au premier groupe d’épreuves est fortement liée à l’âge : à caractéristiques identiques, deux ans de retard ou plus font baisser le taux de réussite de 30 points.

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Note d'information - Le nombre de dispositifs relais est passé de 424 à 448 entre les années 2007-2008 et 2009-2010. Cette augmentation, conjuguée à la croissance de leur capacité d’accueil, a permis de prendre en charge 9 000 élèves en 2009-2010 contre 8 000 deux ans auparavant. Les classes relais continuent à accueillir peu d’élèves, plus âgés, en grande difficulté et pour des durées d’accueil plus longues, et les ateliers, davantage d’élèves, jeunes et moins "décrocheurs", pour de plus courtes durées.