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L’appel à projets de soutien annuel aux associations nationales apportant leur concours à l'enseignement public au titre de l’année 2025 est ouvert.

En permettant que "deux ou plusieurs personnes mettent en commun, d'une façon permanente, leurs connaissances ou leur activité dans un but autre que de partager des bénéfices", la loi du 1er juillet 1901 relative au contrat d’association structure une grande partie de l’organisation sociale en France.

Ce rapport d’inspection générale analyse de façon détaillée les enseignements les plus spécialisés du lycée pour les métiers dits "au cœur du numérique", au sein de parcours multiples dans chacune des voies générale, technologique et professionnelle.

Depuis 2017, en parallèle de dispositifs dédiés (Pass Culture, service national universel, tarifs des CROUS, etc.), les ministères en charge de l’éducation nationale, de la jeunesse et de l’enseignement supérieur ont joui de moyens en sensible augmentation.

Deux ans après la création des écoles académiques de la formation continue (EAFC), le rapport examine leur fonctionnement et les effets de leur mise en place en faveur du développement professionnel des enseignants.

Aujourd’hui en France, près de 44 000 directrices et directeurs d’école œuvrent chaque jour au fonctionnement de l’école dont ils ont la charge. Le rapport est consacré à l’évolution de leurs missions, notamment celle du pilotage pédagogique, dans le contexte de la loi Rilhac.

Le travail conduit sur l’hybridation des programmes de l’école primaire articule deux axes de la coopération franco-sénégalaise : le projet de classes bi-programmes développé dans les écoles franco-sénégalaises et l’enrichissement des missions d’inspection pour améliorer la qualité du système éducatif.

La note de fin d’année scolaire 2023-2024 fait la synthèse des observations conduites par les correspondants territoriaux de l’IGÉSR pour rendre compte du fonctionnement des services en académie. Ce rapport privilégie des dispositifs en relation avec les priorités ministérielles récentes.

Les 7 500 chefs d’établissement du second degré sont les principaux cadres de terrain de l’éducation nationale, au plus près des usagers et des personnels. La mission de l’IGÉSR a permis d’identifier des points d’attention sur cette fonction essentielle, tant dans son attractivité que sur la réalité des fonctions occupées.

Les maîtres du premier degré à Wallis-et-Futuna relèvent actuellement d’un statut de droit privé, principalement régi par une convention de concession datant de 1969. Une mission d’inspection générale a examiné les prérequis législatifs et réglementaires permettant une transformation en statut d’agent de l’État.